Vendredi 13 octobre 5 13 /10 /Oct 15:59
Il était minuit lorsque François se leva et se tourna vers moi :

- On va se coucher ?
- Mmhhh ? Oui ... J'arrive !

Comme un parfait petit couple, nous nous dirigeâmes vers sa chambre à coucher l'un après l'autre.

Sans un mot nous commençâmes à nous déshabiller ... méthodiquement ... Je me drappais dans une robe de chambre puis je n'y tins plus : je me saisis de François et l'embrassai goulûment.

Il me laissa faire quelques minutes puis me repoussa fermement. Puis il m'emmena nous coucher. Il éteignit la lumière juste avant de me prendre dans ses bras. Je m'endormis bientôt, lovée dans son cou, ma tête calée contre son menton, mes lèvres collées à son épaule et mes seins nus écrasés contre son torse glabre et musclé. Je léchais furtivement sa peau satinée ébène comme pour m'imprimer le goût avant de m'assoupir chastement, les jambes calées entre les siennes. Pour la première fois depuis longtemps, mon sommeil ne fut pas peuplé de rêves tortueux et inconfortables. J'étais tout simplement bien ...

Plus tard, dans le noir, je me réveillais : le pénis de François s'était mis en érection et, érigé, appuyait fortement contre mon pubis. Il dormait encore mais presque de concert avec moi, son souffle régulier s'interrompit et sa bouche prit la mienne dans un long baiser langoureux et interminable. Il me tenait le visage de ses mains et frottait son pubis contre le mien presque sans bouger outre mesure. Nous continuâmes à nous embrasser durant de très longues minutes. Sa langue lécha l'intérieur de ma bouche puis aspira ma propre langue dans sa bouche.
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Vendredi 13 octobre 5 13 /10 /Oct 13:27
J'étais estomaquée par tant de goujaterie. Néanmoins, je le suivis. La chaleur du salon de quatre cents mètre-carré me réchauffa agréablement. Je me débarassais de mon manteau tandis que François s'assit dans le sofa que je connaissais jusque dans ses moindres replis. Je m'assis en face. J'étais comme soulagée pourtant François restait silencieux. Il se désintéressa de ma présence en feuilletant un magazine. Moi aussi, je me désintéressais un peu de lui : étrangement, sa seule présence à proximité me suffisait.

Je voulais juste me mettre à l'aise et quand bien même il ne se passerait rien de plus, ça me suffisait. J'essayais tout de même de le provoquer en prenant des poses lascives puis bientôt je me décourageais et finissais par lire comme lui, un magazine.

Mon téléphone sonna : c'était mon mari ! Toute seule, j'aurais eu le coeur qui battrait la chamade mais en cet instant, je répondis calmement, abrégeant rapidement la conversation :

- Oui mon chéri ... Je vais me coucher ... Je suis souffrante.
- ...
- Non rien de grave ... Une migraine !
- ...
- Je t'embrasse. Je t'aime aussi.

Je l'aime mais l'idée de le tromper incessament sous peu ne me semblait plus incompatible avec cela. Je coupais la communication : François n'avait même pas levé un sourcil. Moi, je repris le magazine que je lisais et m'allumais une cigarette.
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Jeudi 12 octobre 4 12 /10 /Oct 14:47
Ah si je pouvais, ne serait-ce que me mettre mon pantalon et mes boots remisés dans la Mercedes d'Omar, garée plus loin ... Mais non, impossible : on était loin de la fin de la nuit, il n'était que 11 heures du soir.

Soudain, une voiture s'est mise face à mon trottoir manquant de m'écraser ... Un gros 4x4 ... Ses phares m'éblouissaient et je n'arrivais pas à distinguer les occupants : juste vaguement distingué qu'ils étaient plusieurs ... Une voix m'apostropha sans aucune forme de politesse. J'avais peur de tomber sur des psychopates ... comme toujours ... Mais Kassim ne me permettait jamais de refuser une avance ...

- Accroupis-toi, salope ...

Comme j'hésitais sur la conduite à tenir ...

- Allez ... Et montre ce que tu as en dessous ... Là ! Allez ... Montre, sinon tu vas morfler ...

Comme mûe par un réflexe, la violence me fit obéir précipitamment. Je me laissais lentement glisser contre le mur et je relevais ma robette rouge, dévoilant mon absence de dessous. Un grand coup de klaxon accueillit mon exhibition.

- Encore ... Montre tes nibards ...

Une fois satisfaits, les occupants du 4x4 n'insistèrent pas plus ...

Tout juste si j'entendais un vague : "Bof ... ils sont pas terribles ... De toutes façons elle n'est pas terrible" puis "Tu as raison, je préfère les meufs blacks ..."

Ce dernier opéra une spectaculaire marche arrière et repartit dans un crissement de pneus aussi strident que menaçant. Je soufflais en me réajustant ...

La tranquillité revint lentement engourdissant mes pensées en même temps que le froid ... Je pus repartir dans mes réflexions ...
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Jeudi 12 octobre 4 12 /10 /Oct 12:47
Ca faisait des heures que je faisais les cents pas sur ce trottoir par ce temps humide et froid. J'étais engourdie par ce froid glacial qui semblait geler jusqu'à tout mon sang. Je trainais une bronchite depuis plusieurs semaines : j'avais réussi à obtenir un arrêt maladie pour ne pas aller bosser au lycée mais pour le reste, Kassim a balayé toute idée que je puisse faire une pause ...

-  Teuh ... Heu ... Teuh ...

Je toussais méchamment sous le regard inquiet de mes proches consoeurs : un peu de sang teintait le crachat que je dégurgitais ... Je ne sais même plus si ça n'est qu'une bronchite ... J'en doute ... Je me répète simplement le diagnostic du médecin mais qui date de plus d'un mois maintenant. Le froid était terrible en cette nuit hivernale : ma tenue raccoleuse attirait certes les regards mais ne faisait rien pour me protéger du froid.

-  Ca va Charlie ? m'apostropha Anita, tout aussi engourdie par le froid que moi

-  Ca va ... ça va ... répondis-je, articulant avec difficulté
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Mercredi 11 octobre 3 11 /10 /Oct 18:24
Je ne pensais plus, ne réfléchissais plus. Je pris notre grosse berline et sans vraiment savoir où aller, seulement mûe par un réflexe, c'est l'autoroute que je pris. La route était dangereuse, glissante, obscure par cette nuit d'hiver mais elle me conduisait aussi sûrement à travers tous les embranchements vers un certain portail dans l'Oise. Je sonnais ! Personne ne répondit et la maison au loin restait obscure et déserte. Là, la raison aurait dû me pousser à rebrousser chemin mais non : j'éteignis le moteur et garais ma voiture sur les abords. Des heures durant j'attendis dans le noir, emmitouflée dans mon manteau, luttant contre le froid ... Je m'engourdissais puis m'endormis ...

Je fus réveillée par quelqu'un qui frappait doucement à ma vitre. Je poussais un cri effrayée mais aucune attitude menaçante ne transparut dans les yeux du vigile que je reconnus pour être l'un de ceux qui suivaient François, la première fois que je l'ai rencontré : il se contenta de m'indiquer le portail. La maison était cette fois-ci éclairée faiblement ... Etais-je au bon endroit ? "Oui, bien sûr, m'indiqua mon subconscient, il ne pouvait y avoir de doute !". J'engageais ma BMW dans l'allée, crissant sur les gravillers. François m'attendait sur le perron, dans un costume noir et une chemise blanche impeccables. Il ne sembla pas plus étonné de me voir après un mois.

- Ca fait longtemps que tu attends ? Je viens juste d'arriver ...

Mais il sembla regretter aussitôt ces excès d'explications. Sa phrase s'éteignit en cours de route et il tourna les talons en m'invitant tacitement à le suivre.
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Mercredi 11 octobre 3 11 /10 /Oct 10:15
Mais il repartit de nouveau après une semaine de bonheur. Cette fois-ci pour le Moyen-Orient ... Et François, comme par magie, revint hanter mon esprit. Je m'acharnais à téléphoner à tout moment à mon mari mais celui-ci n'était pas en mesure de répondre à mes appels à chaque fois ce qui me fit lâcher prise. Je tentais de rallier Emilie à ma détresse en lui demandant de passer le week-end en ma compagnie mais par manque de chance, elle avait elle-même cédé aux sirènes de son nouvel amoureux qui l'avait invitée à aller à Marrakech. Parfois j'enviais l'insoucience d'Emilie ... Du coup, je n'ai pas osé lui parler de François ...

Mais qu'est ce qu'il m'arrivait d'être obsédée par cet inconnu ? Inconnu intime mais inconnu tout de même ! Je ne connaisais ni son nom de famille ni ses coordonnées et j'étais à peine vaguement capable de savoir où il habitait mais je lui avais déjà ouvert mon corps et mon âme : il m'avait baisée, il m'avait éjaculé dessus, il m'avait profondément sodomisée et pire, il m'avait arraché le meilleur orgasme de ma vie. Et par dessus tout, il avait colonisé mon esprit ce qui est la pire chose qui puisse arriver à une femme. Oui, que m'arrivait-il ?

Il se passa ainsi trois semaines : trois semaines de doute et de folie parfois destructrice. Mon mari revint, puis repartit ... comme d'habitude ... Cette fois-ci trois semaines durant. Je maudissais cette actualité internationale qui faisait tourner à plein l'activité de mon mari ! Avant, chaque départ était pondéré par le futur bonheur du retour mais aujourd'hui, chaque départ générait une peur panique de rester seule à devoir combler le vide de mon corps. Le premier week-end fut un prétexte à aller voir mes parents mais dès le jeudi suivant, je pétais les plombs ! Mon supérieur me conseilla adroitement de prendre mon vendredi : j'obtempérais.

Peut-être pas la meilleure idée finallement : pour tromper mon ennui habituellement, il y avait le travail. Aujourd'hui, le shopping, la télé, le téléphone ne suffisaient plus. J'essayais mes achats mais ça ne suffsait pas non plus. Puis toute raison m'abandonna !
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Mardi 10 octobre 2 10 /10 /Oct 13:10
Durant la semaine, je me surpris à attendre que la sonnerie de mon portable sonne, mais ce n'était jamais LUI. Ce qui est parfaitement stupide car François non plus ne s'est pas soucié de récupérer mes coordonnées. J'aurais été plus à l'aise sans doute pour le rayer de mes pensées s'il avait été plus attentionné comme le faisaient tous les hommes qui me courtisaient mais son indifférence étaient autant de drogue qui alimentaient mon manque. Je ne voulais parler à personne d'autre : je refusais systématiquement les communication d'Emilie, ma meilleure amie et, pire, même mon mari vit ses appels, une fois ou deux, rester sans réponse. Lorsque je daignais prendre ses appels, comme pour conjurer le mauvais sort qui semblait s'acharner à me tourmenter, je faisais des excès de démonstration d'amour en lui disant que je l'aimais à n'en plus finir. Surpris, mon mari répondit avec bonheur à mes câlins vocaux en me répondant la même chose sans se poser des questions sur les raisons.

Son retour de Thaïlande, le jeudi soir fut comme une bouchée d'oxygène qui me maintint en "vie". Nous vécûmes un week-end torride comme rarement ce fut le cas depuis quelque temps. Oui mais j'étais d'une humeur exécrable avec lui. Il me semblait que rien n'allait dans ce qu'il faisait. Lui de son côté voulait se faire pardonner ses longues absences et était une crème. Il semblait avoir perdu son côté macho qui le caractérisait.

Etrangement, nous profitions excessivement de notre sauna personnel plus que d'habitude. D'une part, mon mari n'était pas tellement adepte (ce fut un caprice de ma part !) et puis vu la dernière fois que j'avais pratiqué ... Je me surpris à le prendre pour François lorsque nous faisions l'amour ... Fort heureusement, aucune gaffe ne vint me trahir ...
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Mardi 10 octobre 2 10 /10 /Oct 10:40
Je ne suis rentrée que le dimanche soir, à la fin du week-end. Mon chat n'avait pas mangé depuis trois jours et miaulait violemment à mon arrivée pour marquer son mécontentement. J'avais honte ... honte ... tellement honte ... Je me fis couler un bain et durant des heures, je barbotais dans l'eau, pleurant de honte, criant toute seule dans notre grand appartement vide ... J'aurais tellement voulu que mon mari soit là mais il en avait encore pour une semaine avant de rentrer.

En même temps, la simple pensée de François me troublait et me faisait mouiller toute seule dans notre grand appartement vide.

Je m'aperçus avec horreur que j'avais oublié un de mes anneaux mammaires et mon alliance chez François. Ce petit symbole certi de diamants était tellement important pour empêcher ma raison de basculer définitivement. Mais le destin semble vouloir s'acharner pour me faire fauter : malgré moi, j'étais libérée de l'attache matrimoniale. Car évidemment, il était hors de question que je puisse le récupérer : je n'avais pas récupéré les coordonnées de François comme pour conjurer ce sort néfaste. Je m'ôtais les piercings restants et les jettais dans la cuvette des toilettes. Le bruit de la chasse d'eau sembla me soulager de mes tourments momentanément. Mais ça ne dura pas : quelqu'un obsédait mes pensées perpétuellement et ce n'était pas mon mari ... Je suis folle !!!
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Lundi 9 octobre 1 09 /10 /Oct 13:10
Nous nous écroulâmes de concert sur le sofa mais François ne s'est pas retiré de mon cul. Il me serrait dans ses bras, nous gardant collés pendant que son pénis perdait peu à peu vie dans mes entrailles. J'avais les larmes aux yeux. Je n'avais jamais joui aussi fort ... et ça me faisait peur car mon mari était loin, très loin d'être maladroit dans nos rapports sexuels ... Bien au contraire ...

La lumière du jour filtrait à travers les rideaux mais n'arrivait pas à altérer la rassurante pénombre qui régnait dans la bâtisse. Un coup d'oeil sur la pendule murale m'indiqua déjà neuf heures du matin. Je voulus me lever mais les bras musclés de François somnolant me serraient toujours la taille comme un étau. Je tournais la tête et lui volais un baiser sur la bouche qui ne le réveilla même pas. Il s'endormit et je m'endormis également non sans sentir dans un demi-sommeil son pénis devenu inconsistant s'échapper de mon anus. Du sperme commença à s'écouler en continu de mon ouverture laissée béante ...
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Lundi 9 octobre 1 09 /10 /Oct 09:40
De la suite, je ne me souvenais plus ... Je m'étais écroulée d'épuisement, ça c'est certain mais le reste ... Je m'étais juste rendue compte, une fois réveillée que j'étais seule dans une cave humide d'où suintait en continu des écoulements d'eau, toujours nue comme un ver.

Mon corps était strié des stigmates de ma nuit infernale : des ecchymoses, des plaques de rougeur
tapissaient ma peau de blanche qui marquait facilement. J'avais mal partout et surtout aux orifices ; j'avais la bouche pâteuse.

J'avais envie de vomir : une gueule de bois, la puanteur ambiante, mon dégoût pour mon propre corps.

Un rapide coup d'oeil autour de moi révéla que des détritus et des brocantes m'entouraient. Moi-même étais allongée sur une table brinquebanlante qui menaçait de s'écrouler au moindre mouvement. On m'avait jetée comme une ordure ici une fois qu'on avait fini de se servir de moi et quelque part, je ne me sentais pas en droit de leur reprocher ... Je finis par apercevoir ce qui avait dû être mes vêtements : ils étaient roulés en boule dans une flaque d'eau croupie, trempés, boueux malodorants. Je me vétis tant bien que mal et, dans une parfaite scène de surréalisme, je sortis du sous-sol où on m'avait jeté dans une court où passants et enfants me regardaient ébahis devant ma tenue de soirée en lambeaux.

Je pus néanmoins rentrer chez moi où je pris un bain en me lamentant sur mon sort, durant des heures. J'avalais à nouveau des cachets que Kassim avait royalement laissé dans mon sac à main : il me tenait et j'étais à lui ... La rebellion ne me faisait plus réagir ...

Au contraire ... Un sourd sentiment malsain me poussait à vivre à fond cette déchéance. Je savais d'ores et déjà que dès que je serais remise sur pied, je répondrais favorablement à l'invitation de Kassim à une prochaine sauterie.

Je savais que c'est une invitation de ce genre qui faisait tinter la boîte de réception de SMS de mon portable à intervalles réguliers, rythmant inexorablement le lourd silence qui pesait sur mon minuscule appartement ...

Je n'étais plus seulement accro aux substances, j'étais également accro au dégoût ...

J'ai beau me lamenter sur mon sort et j'ai beau savoir qu'il existe des moyens de s'en sortir de redevenir tant bien que mal cette petite bourgeoise de province telle que l'on m'a conçue, mais j'en avais de moins en moins envie.

Certes, il faudra encore quelque temps pour que les tiraillements contradictoires qui hantaient mon esprit s'éteignent mais la victoire du mal était inéluctable. Et cette pensée qui clora cet épisode ne domine pas encore mon être mais dans quelque semaines, quelques mois, elle le fera ...

"Je suis à toi, mon terrible monstre. Je reviendrai chez toi pour que tu me jettes à nouveau en pâture à tes voraces appétits sexuels ainsi que ceux de tes congénères"
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