Lundi 23 octobre 1 23 /10 /Oct 16:42
Je titubais et commençais à retirer mes vêtements ... L'habitude ... J'avais omis de mettre des dessous. Plus le temps, je m'étais habillée en catastrophe enfilant jean, T-Shirt, blouson et tennis ... Une manie héritée de ma pudeur d'avant me faisait également faire le même rituel : je retirais toujours le bas avant le haut car j'estimais que la vision des seins nus était plus choquante que la nudité du pubis. Néanmoins, j'achevais complètement de me déshabiller. Je levais les yeux hagards vers Kassim. Mes yeux étaient aussi rouges que ceux d'un lapin. Il comprit et me présenta une pipe que je m'empressais d'innhaler pour calmer lentement l'enfer qui détruisait mon corps ... Petit à petit, une quiétude s'empara de mon être ...

Kassim attendit patiemment, m'observant me droguer comme un serpent guettant sa proie hypnotisée. Je finis par m'allonger sur le divan, mes soubresauts se calmant lentement. Kassim s'était déshabillé et s'allongea derrière moi. Il me susurra à l'oreille d'une petite voix faussement langoureuse :

-  Tu m'as manqué Charlotte chérie ... Est-ce que je t'ai manqué un peu aussi ?
-  Ou ... OuOui
-  Dis-moi ce que tu veux ...

Une nausée me saisit soudain et je vomis sur la moquette. Kassim me caressa doucement la tête pour me laisser me vider ... Tranquillement ... Sûr de lui ... Sûr de moi ...
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Lundi 23 octobre 1 23 /10 /Oct 10:10
Mais l'affaire qui m'a fait réellement basculer comme Anita ou Stella pour ne citer qu'elles fut encore plus insidieuse : si je m'étais fait à l'idée de n'être que le jouet sexuel de Kassim, il décida de me faire passer encore au niveau supérieur ... Malgré ma soumission, il me restait tout de même des miasmes de résistance qu'il s'attachait à briser méthodiquement ...

C'était l'automne dernier ... Je venais toujours chez lui régulièrement pour "payer" en nature mes doses de crack ou d'héro, surtout le week-end mais cela ne lui suffisait plus alors, quand il se lassait un peu de moi ou que ses gros clients ne venaient pas, il m'a demandé de "renforcer" sa bande de prostituées : celle qu'il maquait sur le boulevard intérieur. "Demandé" est un bien grand mot ... Il m'a surtout menacé de me couper les vivres si je refusais ...

J'avais refusé ...

Durant quelques temps, chaque fois que je revenais chez Kassim, je trouvais porte close. Mes élèves, comme par miracle recommençaient à me pourrir la vie en classe (Il y a certainement du Abdou dessous !!!). J'essayais de m'approvisionner ailleurs mais chaque dealer minable, en me voyant remballait sa marchandise. Je recommençais à souffrir du manque ... Je n'osais pas aller voir un médecin : lui, n'aurait eu aucun mal à diagnostiquer ma toxicomanie et alors, les conséquences seraient terribles (enfin, je pensais pire qu'alors ...). Pendant plusieurs jours j'agonisais dans mon appart retranché : tout était saccagé sous l'effet de mes crises ... Un matin, n'en pouvant plus après m'être regardée dans la glace, amaigrie, des cernes permanentes sous les yeux, les veines ressorties, je retournai voir Kassim, en désespoir de cause ... Il ne m'ouvrit pas ... Je tambourinais ...

-  Kassim ... Kassim ... C'est OK ... C'est OK ... Tout ce que vous voudrez ... Kassim, s'il vous plait ...
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Vendredi 20 octobre 5 20 /10 /Oct 10:20
Tandis que le jet chaud m'arrosa, je m'étonnais d'une attitude de midinette qu'à l'âge de vingt-huit ans, il ne me semblait plus devoir avoir : un simple regard de François et il me semblait fondre ; je faisais des caprices comme une gamine de dix ans ... et ça continuait ! En effet, j'aperçus l'ombre de François derrière le rideau de douche. Je tirais brusquement le rideau pour le surprendre et c'est moi qui fut surprise ! François braquait sur moi un camescope et me filmait en train de me doucher. J'éclatais de rire, franchement, simplement, sans pouvoir me retenir. Je devais être aussi heureuse que Marilyn Monroe dans "Sept ans de réflexion" dans sa fameuse scène sur la grille de métro. Une midinette vous dis-je ! Je rougis et j'éclaboussai François d'eau ce qui ne sembla pas le perturber. Il s'assit sur une chaise tout en continuant de me filmer en train de prendre ma douche. Je pris bien soin de m'exhiber à l'objectif. Je me savonnais longuement le corps, sensuelle à souhait et je voyais que je produisais de l'effet car il dut sortir son sexe de son boxer qui devait le lui comprimer à en faire mal. Il se tortilla pour se mettre à l'aise. Je riais encore plus à gorge déployée :

- Mmmhhh ... Je te fais de l'effet mon chéri ...
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Jeudi 19 octobre 4 19 /10 /Oct 13:02
Moi, ça ne me dérangeait pas outre mesure car ce qui me rendait heureuse c'était d'être à ses côtés. Le plus étrange était que François depuis des heures que nous étions ensemble, n'avait prononcé en tout et pour tout que deux phrases. Cet état de fait reste un grand mystère pour moi : moi amoureuse de mon mari et qui n'adore rien de moins que nos échanges passionnés sur n'importe quel sujet, je me suis compromise avec un taciturne dont je ne connaissais même pas le nom et dont j'avais laissé me faire tout ce qu'il voulait après seulement deux rencontres. Je m'endormis sur cette incapacité à faire la lumière dans mon esprit.

Le lendemain, je me réveillais paresseusement quand la lumière m'éblouit brusquement : François, élégamment vêtu d'un seul boxer moulant ses fesses, venait de tirer les rideaux. Il se tourna vers moi et d'un ton neutre :

- Veux-tu prendre une douche à côté ?

A vrai dire, ce n'était pas vraiment une question ni un ordre. Mais, il ne me vint absolument pas à l'idée d'en débattre. Je me levais et me débarrassais des lambeaux en dentelle des dessous, dandinant un peu des fesses pour susciter un tant soit peu d'intérêt. Il me regardait avec autant d'intérêt que si j'étais vêtue d'une combinaison de ski. Lasse, je passais devant lui et m'arrêtais pour saisir à travers le coton son braquemart rangé dans son boxer et embrasser sa main avec un regard énamouré vers au dessus de ma tête, un point qui culminait à trente-cinq centimètres : pas plus d'intérêt n'éveilla François. Je lui fis une moue faussement fâchée puis j'allais sous la douche ainsi qu'il me l'avais demandé.
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Mercredi 18 octobre 3 18 /10 /Oct 19:45
Un cri accompagna un soupir dans ma bouche sans que je ne puisse le reffréner : François s'était attaqué à l'autre sein avec tout autant d'adresse. Je me saisis de ses cheveux crépus dans mes mains et comme une naufragée, m'accrocha à sa tête. Il glissa vers le bas lentement tout en continuant à m'embrasser le ventre. Puis ses dents se saisirent de la dentelle de mon slip, au niveau de ma chatte et d'un mouvement de tête il tira dessus comme un pitt-bull déchiquetant un os. Le craquement du tissu qui cédait déchira le silence de la nuit. J'entendis dans le noir le crachat rageur des lambeaux de tissu. J'étais démunie avec juste l'élastique de mon slip me ceinturant encore les hanches : le reste pendouillait partout ... Dans la semi-obscurité de la nuit, je vis François émerger de l'horizon de ma poitrine et me couvrir complètement le ciel du plafond. Son ombre me couvrit, m'engloutit et son pénis se colla à ma vulve, presque sans tâtonner. Avec un glissement soyeux, François prit possession de mon ventre. Son pubis se colla au mien en quelques secondes. Mon vagin se détendit pour se mouler autour de son énorme pénis. Mon ventre l'accueillait bien. Je poussais un petit cri d'oiseau blessé. Mes jambes anéanties pendaient de part et d'autre de ses hanches massives, comme celles d'une poupée de son, me contentant de subir ses assauts qui me couvraient par vagues. Semi-levé, la silhouette courbée au dessus de moi, François ressemblait à un tyrannosaure achevant de se repaître de sa proie. Ses coups de reins achevèrent de me liquéfier. J'arquais le dos sous la violence des coups de reins de François et criais de douleur ... Je tirais la langue en espérant des moments meilleur, voire du plaisir mais il vint rapidement ...

Après et un ultime coup de rein, il me souleva littéralement le bassin de plusieurs centimètres au dessus du matelas, me maintenant en équilibre embroché sur son penis qui éjacula abondamment dans mon vagin frissonant et chaud.

Sans se soucier de mon plaisir, François s'arrêta aussitôt après m'avoir ensemencé et m'entrainant dans son mouvement, il se posa sur le côté tout en restant fiché au plus profond de moi. Il avait juste tiré son coup et il n'avait plus besoin de rien d'autre que de s'endormir.
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Mercredi 18 octobre 3 18 /10 /Oct 09:38
Je commençais à me surprendre à penser à lui quand je ne le voyais pas. Puis je me surpris à jalouser les autres femmes pourtant aussi esclaves que moi, qu'il possédait.

Une fois, pour avoir osé amorcer un caprice amoureux, j'avais été rouée de coups et sautée avec plus de violence encore qu'habituellement. J'avais subi silencieusement puis comme pour le récompenser de me traiter de façon aussi violemment mâle, j'avais eu un orgasme surpassant tous les précédents : douloureux, massif et simplement sublime. J'avais pleuré, hurlé, supplié tandis qu'il se déversait en moi.

Après, je le suppliais encore et encore de me faire l'amour pendant qu'il me garrotais le bras pour m'injecter lentement ma dose d'héro ... Petit à petit, je me mis à planer ... Mes propos devinrent incohérents au fil des secondes ... Tout mon être devint léger comme une plume ...

Juste avant de sombrer dans le nirvana, je me suis souvenue qu'il avait obtempéré à mes suppliques pour me faire jouir encore. Comme se déverser en moi constituait juste une faveur qu'il m'offrait. Ca l'était dans mon esprit malade ...
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Mardi 17 octobre 2 17 /10 /Oct 14:38
Il me dévorait le corps, puis recrachait le déchet qui en restait. Ce déchet fut parfois encore digéré par ses amis. Moi, il ne me restait plus que l'humiliation à vivre.

Pire, à chaque passage, comme érodé par ses coups de reins que je subissais avec une violence haineuse, il me dévorait également l'âme.

Par la force ... puis par habitude ... puis par l'envie, je devais perpétuellement afficher une attitude de soumission complète face à lui ... Je ne pouvais faire certes faire autrement mais en plus, chaque unité temporelle qui passait me convainquit que j'étais à lui et que, même sans entraves, je ne disposais plus de ma liberté de penser ni même de vivre sans lui.

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Mardi 17 octobre 2 17 /10 /Oct 09:36
Après cette mémorable première soirée qui m'avait éreintée littéralement, je revins régulièrement voir mon Monstre.

Le manque ? Je revins le voir par nécessité !

L'habitude ? Je revins le voir par habitude !

La peur ? Je revins le voir par crainte !

Mélangez toutes ces raisons ...

La finalité de cette fréquentation macabre était quasiment toujours la même : je devais donner de mon corps meurtri pour assouvir la voracité sexuelle de Kassim.


J'en suis malgré moi tombée amoureuse. Je finis par le vouloir perpétuellement en moi, lui qui avait su m'imposer un joug que même le pire des bestiaux ne pourrait supporter.
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Lundi 16 octobre 1 16 /10 /Oct 13:55
Une heure ... Deux heures ...

Trempée jusqu'aux os, je profitais d'une accalmie pour aller me changer : si ma tenue se devait toujours d'être provocante, je pris le risque de me couvrir en plus de mi-bas et d'un gilet.

J'observais mes orteils bleuis par le gel à travers les lanières de mes sandales à talons haut. Mon vernis était écaillé ... de la boue s'est insinuée entre mes orteils ... Pourvu que Omar ou les filles ne caftent pas : c'est le genre de détail qui me vaudrait de me faire rouer de coups par Kassim s'il venait à l'apprendre. Je ne me rappelle que trop bien Stella, une des autres filles lorsqu'elle est venue bosser, la robe déchirée parce qu'elle s'était fait agresser par un client. Comme par hasard, Kassim passant par là, l'avait vue et l'avait aussitôt embarquée dans sa voiture pour ne la rendre que quelques heures après, le bras et quelques côtes cassées.

Je me souviens avoir hurlé à ce moment là prise par une crise de nerf indescriptible. C'est Anita qui m'avait fait taire presque brutalement en me mettant la main sur la bouche et en me tirant en arrière. Kassim nous avait observé de loin attendant de savoir si Anita réussirait à me faire taire ou s'il devait s'en charger ...

Elle avait réussi ... pour mon salut ...

Depuis, nous faisons toutes attention ...

Comment en suis-je arrivée là ? Mon coeur se serra ...
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Lundi 16 octobre 1 16 /10 /Oct 08:50
Comme un gendarme invisible, mon portable sonna à nouveau. Je savais que c'était encore mon mari qui ne regardait jamais l'heure pour m'appeller : un peu étourdi, il ne calculait jamais le décalage horaire. Je me détachais péniblement de la bouche de François et à force de torsions, réussis péniblement à me saisir de mon portable :

- Oui ... Allô ?
- Chérie, c'est encore moi ... J'étais inquiet.

Je me mordis la lèvre pour ne pas crier : François avait posé sa bouche sur l'un de mes seins et commençait à mordiller indifféremment aussi bien mon téton rose durci que l'onyx qui ornait l'anneau en or qui y était passé. Je repris difficilement mes esprits pour engueuler froidement mon mari, inconscient que sa femme le trahissait :

- Je t'avais dit que j'avais mal à la tête. Tu m'as réveillée ... Bien joué ! Tu as d'autres idées comme ça ?
- Je suis désolée ma chérie. Je te rappelle quand il fera jour, d'accord ?
- Oui c'est ça.

Je raccrochais et éteignis cette fois-ci mon portable. Il était temps !
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