Dimanche 1 octobre 7 01 /10 /Oct 17:24

J'appellais un taxi puis achevais de m'habiller en passant un manteau pour masquer ma tenue provocante. J'indiquais au chauffeur surpris, l'adresse maudite

- Vous êtes sûre que c'est par là-bas que vous voulez aller, objecta-t-il ?

- Oui, s'il vous plait.

 

Ma voix d'outre-tombe trahit immanquablement toute ma détresse. Il n'insista plus et me conduisit vers l'enfer.

Il était 23 heures lorsque je sonnais à la porte du monstre. Une musique sourde s'échappait de l'intérieur de l'appart. Mes jambes ne me portaient plus, l'anxiété ravageait mon visage. Je voulais me rassurer en oubliant les paroles de Kassim ... Peut-être que ... Non, il ne fallait pas rêver ! Juste se dire que ce n'est qu'un mauvais moment à passer.

Sa voix rocailleuse résonna à travers la porte :

- Qui est est là ?

- Charlotte ! Celle qui ...

La porte s'ouvrit aussitôt ...

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Dimanche 1 octobre 7 01 /10 /Oct 12:55

Tout un week-end en étant stone, c'était impossible !!! Non Nico, ce n'est plus possible mais il ne m'entendait plus ...

 

Je me tortillais dans mon lit tellement l'état de manque me rongeait le corps. Je me déshabillais, me rhabillais, lisais, écoutais de la musique, regardais la télé sans jamais pouvoir me débarrasser de cette souffrance latente.

Je pris un bain mais rien n'y changea. En sortant de la baignoire, comme une automate, je me saisis des produits à maquillage dans l'armoire de la salle de bain et commençais à me farder les yeux. Je me maquillais excessivement le visage ...

 

Puis les ongles ...

 

A vernir comme si ma vie en dépendait ...

 

En rouge écarlate ...

 

Comme mon sang que je vomissais sous les affres du manque.


Lorsque je vis le résultat dans la glace, j'eus un choc : je me faisais belle pour faire de mon corps une offrande ! 

 

Mais il était sans doute trop tard pour les regrets : tout mon corps se décomposait ...

 

J'avais besoin d'une dose ... tout de suite ! Je dois le rejoindre ... Je dois retrouver le monstre ... Lui seul pouvait me soulager ...

 

Je me mis à farfouiller maladroitement dans mon armoire et sortis une robe de soirée chic. Je tentais une dernière fois de me soustraire à mon sort en distrayant mon esprit. Mais je fus à nouveau prise de tremblements ... Je vomis un peu de sang à nouveau en constatant tristement que plus rien ne pouvait m'empêcher de sombrer dans l'inéluctable.

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Dimanche 1 octobre 7 01 /10 /Oct 08:11
Mon ventre devint incontrôlable, crispé par les saccades qui me secouèrent tandis que je jouissais.

François, toujours imperturbable s'immobilisa pour me laisser consommer mon plaisir qui semblait donner des coups de marteaux sur mes parois vaginales. Lorsque je me cambrais pour extraire les dernières miettes de plaisir, il me prit de ses bras aux hanches pour me relever en même temps qu'il se leva, toujours fiché profondément au coeur de mon intimité. Il n'eut aucun mal à se tenir debout : moi, toujours cloué à son pubis, je restais accroché à lui, les jambes battant l'air à trente centimètres du sol. Je me tins à ses bras musclés, presque aussi larges que mon abdomen. Il marcha le plus normalement du monde pour remonter les escaliers nous ramenant vers le salon tandis que je sentais les battements de son coeur se transettre à mon ventre par le biais de son pénis toujours aussi dur.
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Samedi 30 septembre 6 30 /09 /Sep 13:00

Le lendemain, ça allait mieux et je pus aller travailler.

Abdou me lança un regard interrogateur, inquiet, visiblement mis au courant de mon escapade de la veille dans sa cité. Je soutins son regard pour la première fois depuis longtemps ... D'un regard plein de défi comme pour exorciser ma culpabilité. Mais lui y lut un désarroi abyssal ...

 


Réellement inquiet, il dit juste qu'il allait m'aider sans plus de précision. Quand et comment ? Je ne tardais pas à le savoir : si auparavant je me faisais écraser par mes élèves sous l'influence perverse d'Abdou, il s'en servit cette fois-ci pour leur imposer de me laisser tranquille. Dès lors, je devins la prof qui eut le moins de problème de tout le lycée. Finallement, à chaque chose, malheur est bon dit-on ...

 

Le jeudi soir, je téléphonais à Nicolas : je n'eus que son répondeur. Je lui dis que j'avais besoin de lui, que j'avais besoin d'aide. C'était la première fois que je me confiais. Le lendemain, ce fut Mélissa qui me rappella : elle me dit de laisser Nicolas tranquille, que c'était fini entre nous. Tous les reproches que j'avais à faire à mon ex-meilleure amie sortirent sans que je ne puisse y faire grand chose. Je savais que c'était le meilleur moyen de me couper de Nicolas définitivement mais cet appel fut la goutte qui fit déborder le vase. Je lui reprochais d'avoir régulièrement piqué mes rares petits amis. Il faut dire que Mélissa avait un physique de mannequin auprès duquel je ne pouvais m'aligner. Le seul qui ait échappé durablement à ses appétits de mecs fut Nicolas, jusqu'à il y a quelques mois. Lorsque je raccrochais violemment, mon appart résonna de mes sanglots en continu tout le reste de la nuit.

 

Dès le jeudi soir, j'avais terminé la demi-tablette de calmants que Kassim m'avait fourni. Je commençais à ressentir les affres du manque. La nuit fut insomniaque pour moi. Je ne pus aller au lycée le vendredi. Mon corps fut à nouveau saisi de tremblements et une nausée perpétuelle me vint jusqu'au bord des lèvres. Je ne tiendrais pas longtemps. J'étais résolue à oublier Kassim et son commerce sordide mais à 20 heures, je fus saisie d'une série de vomissements qui accentuaient encore plus mon état de manque. "Pas question de céder" hurlais-je toute seule dans mon appartement comme pour tenter de faire reculer l'inéluctable. Je n'en pouvais plus. Le téléphone sonna : c'était cette fois-ci Nicolas. Je lui racontais tout, absolument tout. Il compatit mais il était parti en mission dans le sud de la France. Il ne pouvait pas venir m'aider à tenir :


- Essaie de tenir bon jusqu'à lundi soir, je serai de retour et je t'aiderai ...
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Samedi 30 septembre 6 30 /09 /Sep 07:09
Conquise, je saisis la main de François qui me maintenait l'épaule en signe de soumission. Mon corps disparaissait sous sa masse noire. Seules mes jambes battirent l'air furtivement pour reprendre l'équilibre. Déjà, mon mâle amant commençait à me pistonner le bassin pour m'élargir. Je tendis mon bassin en offrande. Je voudrais me retenir mais mes lèvres ne purent empêcher de lâcher des suppliques gémissantes ...

François toujours drappé dans son silence méprisant continuait imperturbable à me gratifier de ses coups de hanches réguliers et puissants. Ses mains crochées comme des serres sur mes épaules ou griffant mon dos me faisaient mal mais je n'en avait cure.

A cet instant, mon pauvre mari n'était plus qu'un vague souvenir. Je haletais sans discontinuer tandis que François, toujours à son allure de métronome, me labourait les reins. Il n'y avait aucune tendresse dans on acte mais je n'en voulais plus : je voulais juste être la chose dont il se servait pour masturber sa bite. De toutes manières, il n'avait pas l'intention de m'en offrir plus. Je l'entendis marmonner des mots sans suite, à peine audibles :

- Vas-y petite ... vas-y ...

Je poussais des petits cris en sentant mon orgasme arriver.
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Vendredi 29 septembre 5 29 /09 /Sep 11:41
- Tu t'appelles comment, demanda-t-il ?

- Charlotte

- Eh bien Charlotte, tu es bonne

- ...

- Si ça te dit, tu peux repasser vendredi soir à 22h, j'organise une soirée avec des potes. Tu es invitée et il y en aura beaucoup plus pour toi, m'annonça Kassim en ne me jetant qu'une demi-tablette de mes calmants sur ma poitrine.

Je m'habillais, à nouveau honteuse et humiliée de cette aumône. Les larmes me remontaient aux yeux mais je me forçais néanmoins à sourire tandis qu'il me déposa un bisou paternel sur le front, accentuant encore mon humiliation.

Combien de temps cette aumône allait-elle me durer ? Je trouvais tout de même le courage de lui rétorquer :

- Non non, c'était juste pour me dépanner. Je ne suis pas accro ...

Un sourire carnassier barra ses rides surprises par ma résistance. Il passa furtivement sa langue sur ses lèvres avant de me répondre, contenu :

- Pas de problème ... Si tu changes d'avis, fais-toi belle et passe me voir ...

Je rentrais à la maison puis commençai à me gaver de calmants. Je pris un bain dans lequel je me frottais tout le corps comme pour me nettoyer d'une saleté morale.  Mais il est des salissures qui ne partiront jamais ... JAMAIS ... JAMAIS ...
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Vendredi 29 septembre 5 29 /09 /Sep 10:45

Mais je ne veux pas aimer ça, protestais-je en mon for intérieur. Il opéra un va-et-vient avec ses hanches, explorant largement mon appareil génital. J'étais emplie de souffrance autant physique que psychologique, humiliée et réduite à l'état de déchet.

Je pleurais ... Je pleurais ... J'avais l'impression que ça durait des heures et des heures.

Puis il éjacula ... me clouant au fond du sofa. Sa puissance me balaya, ses lourds jets de sperme furent autant de salves qui firent abdiquer mes dernières résistances. J'étais en nage malgré la fraicheur de cette nuit printanière. Je n'étais plus qu'un animal craintif en plein milieu de cette jungle urbaine qu'est la zone. Mon prédateur, inconnu encore quelques jours auparavant, venait de m'ensemencer avec l'assurance d'un loup dévorant l'agneau ... J'étais sa victime, j'étais cet agneau et c'est comme si je regardais me faire dévorer le corps ... et de façon résignée ...

Il se retira tout aussi brusquement de moi, laissant un désagréable courant d'air frapper ma paroi vaginale béante de laquelle dégoulinait son récent plaisir. J'étais exténuée.

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Vendredi 29 septembre 5 29 /09 /Sep 10:24
Je me deshabillais. Ma veste ... puis mon T-Shirt ... puis mon pantalon tombèrent sur la moquette. Je fis une pause une fois en sous-vêtements, espérant une clémence de sa part. Elle ne vint pas : il tapa d'impatience du pied sur le plancher en continuant à s'astiquer pour maintenir son érection au maximum. Je dégraphais mon soutien-gorge en me cambrant involontairement. Mes seins laiteux tombèrent légèrement quand leur support fut retiré. La fraicheur fit friper mes tétons roses. Je me levais pour retirer ma culotte. J'étais nue tandis que Kassim était toujours en peignoir. Ce n'était pas gênant pour lui. Je me rassis : il me retourna sur le ventre en se positionnant sur mon corps dénudé, me forçant à m'allonger sur le sofa.

Si mes parents voyaient leur petite fille prête à se faire enfiler par un Noir ... Eux qui, bien que n'étant pas trop racistes, excluaient tout mélange des races en amour !!!

Il s'enfonça dans mon vagin.

- J'ai l'habitude de baiser ainsi, me souffla-t-il, comme un animal ...

Je n'étais pas préparée à le recevoir : j'eus mal comme jamais. Mais il atteignit le fond de ma matrice sans peine. Mon deuxième partenaire sexuel après Nicolas était un sordide dealer Noir. Quelle déchéance !

- Détends toi, tu vas aimer, me dit Kassim
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Jeudi 28 septembre 4 28 /09 /Sep 11:19
Je tournais à nouveau la tête pour tenter de le dissuader de continuer. La vision que le miroir du plafond me renvoyait me fit un choc qui me dissuada de protester : je vis un magnifique tableau digne d'un document animalier. Tel un prédateur achevant sa proie, François se soulevait légèrement de mon bassin oppressé pour faire glisser son épée noire ébène qu'on devinait seulement dans la semi-obscurité. Il la faisait glisser le long du creuset albâtre et lumineux de mes fesses. Il la présenta plus bas, dans l'ouverture qu'il s'était aménagé par ses massages. François le prédateur allait égorger Flower, sa proie. La petite oie que je suis ravalla ses certitudes pourtant acquises des années auparavant auprès d'amants multiples : lorsqu'il plongea sa lourde massue à la longueur interminable dans l'étroit fourreau de ma chatte, je me mordis la main pour ne pas crier ... Je ne sais plus pour quelle raison : douleur, honte, plaisir ... ou tout cela à la fois. L'intromission sembla durer des heures et ma crainte de ne jamais pouvoir engloutir un tel engin s'estompèrent au fur et à mesure que les millimètres noirs disparaissent dans mon ventre, avalés. Je me souvins de son pénis posé sur mon dos plus tôt, lors de la séance de massage, j'évaluais la longueur et la panique me prit soudainement : il allait me transpercer, c'est sûr ! Ce n'était pas possible que son pénis puisse m'arriver jusqu'aux côtes ! Il va me déchirer ! François calma ma panique avec une fermeté exemplaire. Il appuya fermement sur mon cou pour me courber l'échine tout en poursuivant sa conquête de mon vagin. Je sentis ce dernier se distendre excessivement pour gober le large pénis du noir. Je sentais son corps couvrir entièrement le mien, sa tête au-delà de mon crâne, son souffle rauque. Lorsque mes yeux se relevèrent, je ne pouvais voir que le plat de son menton : sa salive s'écoulait abondamment sur mes cheveux, mon front. Un rictus barrait son visage de brute. Au terme de plusieurs secondes de lutte, François prit possession de moi d'un coup de rein : il acheva de se projeter au fond de mon ventre.
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Jeudi 28 septembre 4 28 /09 /Sep 10:19
Je lâchais, dans un souffle :

- Viens ...

François ne répondit même pas, m'affichant son air méprisant du conquérant vainqueur devant sa proie le suppliant de l'épargner. Il continua à m'élargir de ses pouces. Je coulais comme une fontaine. Je gémis de frustration à nouveau.

- Prends-moi ... Hhhh ...

François continuait toujours à me masser les parois internes, lisses de ma mouille. Je n'en pouvais plus. Je tentais de reprendre le dessus sur mon indécence.

- Non ... Tu vas trop loin, laisse-moi.

Mon corps esclave trahit mon desarroi : mes jambes s'écartèrent au maximum et je faillis tomber de la table si ce n'était François solidement assis sur mes épaules, me calant de ses cents kilos, m'écrasant tout contre la table de massage.



 Il se releva comme pour obtempérer à mes suppliques. Je poussais un soupir autant de soulagement que de frustration. Mais lorsque je tentais de me relever, décidée à échapper aux mains du grand noir, il me saisit fermement aux épaules puis se coucha sur mon dos pour m'immobiliser : je sentis à nouveau son pubis armé de son braquemart appuyer sur mes fesses, se moulant dans son creuset ... Je poussais à nouveau un soupir, plus résigné cette fois-ci.
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Moi c'est Flower ... Je n'ai pas de talent particulier pour l'écriture mais j'adore la littérature érotique (et le sexe en général mais ça, vous verrez plus tard si vous êtes gentils). Aussi je me lance dans l'aventure du blog avec cette volonté.

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