Mercredi 4 octobre
3
04
/10
/Oct
17:54
François se contenta de me fixer avec ses yeux perçants sans daigner me répondre. Pour toute réponse, il me saisit les hanches et m'allongea confortablement sur le dos. Je le laissais faire les yeux interrogateurs ...
Porter mes quarante-cinq kilos ne semblait pas lui réclamer plus d'effort que si je n'avais pesé que quelques grammes. Il me cala alors un coussin sous le dos pour surélever mon bassin. François par quelques mouvements écarta mes cuisses et se cala entre de ses larges hanches. Je pouvais assister à notre coït sur l'immense miroir mural. J'y voyais François se saisir d'une bougie tout proche du sofa. Il le pencha lentement au dessus de mon dos. Je devinais où il voulait en venir : je commençais enfin à me remettre en osmose avec lui. La première goutte de cire brûlante éclata entre mes seins : je me mordis les lèvres devant la souffrance. Plusieurs gouttes tapissèrent ensuite mes tétons, agréablement picotant.
Ca faisait longtemps que je n'avais ressenti du plaisir dans la souffrance. C'était notre jeu avec mon mari il y a quelques années mais nous avions fini par abandonner l'idée.
Puis il me fit retourner et opéra de même sur tout mon dos jusqu'à l'intérieur de la raie de mes fesses et la cire s'écoula un peu dans mon sillon creux, diffusant sa brûlure avant de se figer. Je le vis tapoter les mares de cire sur mon dos avec son pénis toujours aussi fortement dressé.
Ce contact doux me sembla être une bénédiction de la nature.
Mercredi 4 octobre
3
04
/10
/Oct
15:52

Mais il se leva et m'arracha les doigts de ma douceur intime. Puis il pinça fortement mon clitoris dressé comme minuscule un pain de sucre, ce qui m'arracha un cri de douleur et annihila mon élan orgasmique. Je compris alors ce qu'il voulait : il se satisfait de constater que mon clitoris n'avait rien perdu de sa dureté. Il fit apparaître dans sa main un autre de mes anneaux de piercing. Assis en tailleur entre mes jambes posées sur ses genoux, François avec des doigts de fée qu'on ne lui soupçonnait aucunement, me caressa longuement le clitoris. Il tâtonna à peine pour loger mon bijou dans l'artificiel canal creux de mon clitoris. Il le ferma et le fit glisser longuement comme pour me caresser avec le bijou. Seul mon mari savait faire ça ... avant François et sans que je ne lui ai exprimé, il détecta que cet acte intime qui consistait à me masturber avec mon anneau. Je rejettais ma tête en arrière ne voulant pas donner le spectacle de ma jouissance aux regards de François imperturbable. Il me lissa encore et encore le clitoris. Je pris ses mains dans les miennes pour accompagner son mouvement, le guider. Je me sentis à nouveau venir petit à petit mais lorsque je crus atteindre le point de non retour, François pinça à nouveau mon clitoris et un cri de douleur sortit de ma bouche ... Je le regardais offusquée !
- Mais qu'est-ce qu'il te prend ?
Mercredi 4 octobre
3
04
/10
/Oct
11:11
De son autre main, François me prit l'autre main puis l'emmena à se poser sur ma chatte béante dans une invite tacite. Je compris ce qu'il voulait : je commençais à me caresser longuement le clitoris, dans un mouvement de masturbation.
Mes doigts s'affairèrent longuement sur ma chair la plus intime et François se détacha de moi pour se caler à l'autre bout du sofa, assis tranquillement en train de se rouler un joint qu'il sortit du tiroir à côté. Ainsi positionné, il avait une vue magnifique sur mes jambes écartées, mon sexe béant à peine masqué par mes doigts qui y opposaient un va-et-vient incessant. François n'avait pas besoin de me parler : nous étions tellement en symbiose que chacune de ses pensées se transmettait à mon esprit instantanément. Il leva un sourcil et alors, je portais mes doigts actifs à ma bouche et me dégustais la mouille. Jamais je ne me suis autant délectée de mon ambroisie de secrétion. Puis je me remis à me masturber ... Le sexe ramolli de François reprit bientôt de la vigueur devant le spectacle. Moi de mon côté je sentais un plaisir sourd remonter du fond de mes entrailles, torturant mes hanches graciles. Je halletais à nouveau crescendo. François ne perdait pas une miette et par simple télépathie semblait guider mon corps vers l'orgasme. Je me sentais venir ... Ce n'est plus qu'une question de secondes ...
Mardi 3 octobre
2
03
/10
/Oct
14:15
Je suis entrée dans le salon ... déjà nue ... déjà prête ... J'avais gardé mes escarpins ... une froide détermination m'avait saisi mais c'est la dernière chose dont je me souviens clairement. Je ne me rebiffais plus : ce n'était plus l'endroit ni le moment.
Le reste ne me revient plus que par bribes ... Il vaut mieux ...
Je me souviens vaguement avoir été portée par les hommes au milieu de la pièce, jetée comme un paquet avec les deux autres femmes ... A ma place ...
Je me souviens vaguement avoir été prise par un homme ... peut-être Kassim mais je ne suis pas sûre ... par derrière ... J'ai crié ma douleur ...
Par Flower
-
Publié dans : Charlotte - La Prof
0
Mardi 3 octobre
2
03
/10
/Oct
11:23
Ce cri ! Son auteur en begayait de fureur et de rage ... Il était tellement violent et agressif que mes jambes se dérobèrent ... Même si je ne suis pas arrivée à détecter qui en était l'auteur dans cette assemblée que mon regard floué par les larmes et destabilisé avait de plus en plus de mal à distinguer ... Cette peur primale qui m'enveloppait lentement répondait à une fureur primale qui ramenait l'humanité dans sa pire bassesse ... Dans ces temps primitifs, où les hommes étaient tout et les femmes n'étaient rien ... Je n'étais plus rien, juste un objet que ceux qui étaient tout allaient disposer à leur guise : j'étais là pour ça si d'avance quelques doutes nés d'espoir avaient commencé à poindre dans mon esprit quand j'avais avancé le long du couloir qui m'avait emmené devant la porte d'entrée du monstre ...
"Je n'étais plus rien !" : cette phrase me hantait plus d'une fois ...
Kassim me soutint fermement pour m'empêcher de m'écrouler :
- Je te laisse te préparer ... Ici, dans le vestibule ... Quand tu auras fini, tu peux nous rejoindre.
"Je n'étais plus rien !" ...
Son ton poli aurait pu être appréciable si on oubliait le sort qui m'attendait. Il me laissa là pour pénétrer dans le salon. Je m'écroulais enfin ...
"Je n'étais plus rien !" ...
Mon effeuillage dura de longues minutes, ponctué de malaises dont plus personne ne se souciait à présent ...
"Je n'étais plus rien !" ...
"Je n'étais plus rien !" ...
Plusieurs fois, l'idée de fuir me traversa l'esprit mais telle une souris hypnotisée par le regard mortel d'un serpent, je poursuivis ma préparation au sacrifice ...
"Je n'étais plus rien !" ...
"Je n'étais plus rien !" ...
"Je n'étais plus rien !" ...
"Je veux mourir !" ...
Par Flower
-
Publié dans : Charlotte - La Prof
0
Mardi 3 octobre
2
03
/10
/Oct
10:44
Il était là, souriant, en tenue de soirée ... Oui, son visage était souriant mais son regard, et cela me hantera toute ma vie, étaient froid et perçant. Il me regardait comme on regarde de la viande, sans triomphalisme aucun : je n'existais pas pour lui ; je n'avais même pas l'impression d'être un trophée ; ma détresse ne représentait rien d'autre qu'un moyen de pression pour lui.
Il me prit par la taille et me fit la bise chastement :
- Tu es en retard ...
Il se reprit aussitôt :
- Ce n'est pas grave ... Viens que je te présente, dit-il en me retirant mon manteau.
La main sur l'épaule, nous passâmes la tête à l'embrasure de la porte du salon. Il annonça :
- Notre dernière invitée est arrivée. Dites-bonjour à Charlotte les amis.
Mon coeur chavira : non pas seulement à cause de l'atmosphère étouffante, ni de l'odeur aigre de la sueur et de l'alcool qui embaumait la pièce, ni encore de la musique abrutissante à force d'être assourdissante mais surtout à cause du spectacle qui m'était offert dans cette pénombre ... Deux filles nues étaient allongées lascivement au milieu du salon dont on a débarassé les meubles et elles étaient entourées d'une vingtaines d'hommes assis à même le sol qui sous une apparence de chics cadres supérieurs renvoyaient l'image d'une meute de hyènes en rut, bavant et affamés : ils étaient là pour les gibiers ... Et visiblement, j'étais l'un de ceux-là.
Quelques salutations se détachèrent du brouhaha ambiant mais un cri enragé fusa :
- Emmène-la ... Ss .. Salope ... Sale putain ...
Par Flower
-
Publié dans : Charlotte - La Prof
0
Lundi 2 octobre
1
02
/10
/Oct
15:38

François clipsa le bijou et le lâcha puis se rallongea à mes côtés sans même daigner me répondre. Ma conversation sembla profondément l'ennuyer aussi il se contenta de faire glisser son index sur l'amas de sperme qui couvrait maintenant la base de mon piercing, puis il le remonta ...
Je persistais néanmoins à lui parler :
- Non ? C'était super-marrant ...
Il ne m'écoutait toujours pas : avec son index, il badigeonna ma bouche de sa semence. Je me tus interloquée puis, me prenant au jeu, je le laissais recouvrir copieusement mes lèvres de cette substance gélatineuse blancheâtre en me taisant et en fermant les yeux ...
Au final, lorsqu'il eut terminé, je passais doucement ma langue autant par excitation intense que pour lui donner un gage de ma soumission ...
C'était fou : habituellement, je détestais cela mais j'étais en train de me repaitre du sperme d'un homme dont je ne me doutais pas de l'existence il y a quelques heures ...
Lundi 2 octobre
1
02
/10
/Oct
14:58
Nous restâmes longuement ainsi, sans parler, juste quelques baisers furtifs que je lui posais ici et là sur le menton, la bouche ou la poitrine.
Puis, je me détournais de lui pour me rasseoir sur le sofa ... Je me massais doucement l'entrejambes endolori ...
Durant ce temps, François fouilla brièvement dans le canapé et finit par trouver ce qu'il cherchait : un de mes anneaux apparut entre son index et son pouce. Il se redressa un peu plus puis il trempa l'épingle de la fermeture de mon anneau de piercing dans l'amas de sperme qui noyait toujours mon téton droit. A tâtons, il chercha dans le liquide épais et délicieusement odorant la perforation de mon sein pour y glisser l'épingle. Plusieurs fois, il ne la trouva pas aussi quelques piqûres me brûlèrent le délicat et sensible mamelon mais rien de bien insupportable, bien au contraire au vu de la tension érotique qui n'arrivait toujours pas à retomber. Je l'aidais alors en saisissant la base de mon sein dans ma paume puis en lui en faisant l'offrande. Il trouva enfin la cavité.
Notre silence était assourdissant : je trouvais cela tellement bizarre que je tentais d'engager la conversation.
- Tu sais comment je me suis faite mes piercings ?
Lundi 2 octobre
1
02
/10
/Oct
12:55
La pièce était, comme au sous-sol seulement éclairé par une grande cheminée et des dizaines de bougies odorantes disséminées ça et là dans la pièce. Seul les craquements occasionnels du bois dans
la cheminée, nos halètements, nos corps qui glissaient l'un contre l'autre ainsi que les froissements du tissu du sofa agréaient le silence qui régnait dans la demeure de François. Parfois encore,
mes faibles gémissements couinaient mais sinon, aucune vie ne semblait animer la pièce : on se serait cru dans un cimetière.
Par quelques touchettes sur mon corps, François me fit retourner. Le plus incroyable est que nous n'avons pas échangé un mot depuis la sortie du sauna. François, un genou posé sur le sofa, entre
mes cuisses semblait admirer une oeuvre. Moi, j'admirais son pénis toujours au maximum, luisant de ma mouille, battant sur ses cuisses. Je suivis la direction de son regard en me redressant sur le
coude et le mien tomba sur mon entrejambe, sur le gouffre béant qui m'ornait le pubis. Ma chatte ressemblait à une bouche grande ouverte et dégoulinante. Je passais furtivement mon index sur les
parois internes laissées à l'air libre ... François ne me laissa pas plus le temps et il posa sa main sur mon épaule pour me forcer à me recoucher complètement : j'obéis et François avança le pubis
vers mon visage. Pensant qu'il voulait me le faire sucer, je commençais à ouvrir la bouche mais François s'arrêta lorsque son pénis tendu fut au dessus de ma poitrine. Il prit son engin dans sa
main droite et commença à le masturber posément avec un rythme aussi lent que lorsqu'il me pilonnait les reins quelques secondes plus tôt. Il se masturba ainsi longuement, me faisant admirer ses
mouvements fermes, allongée sous lui, entre ses cuisses. Il se masturbait toujours ... Puis il commença à accélérer quelque peu ses mouvements ... Puis il accéléra encore et sa jouissance vint
brusquement, comme une riviére souterraine jaillisant après avoir été comprimée durant des siècles. Les jets puissants jaillissaient par vagues pour atterrir sur mes seins : il visa mes mamelons
pour finir par les couvrir d'une mare visqueuse et blanc épais. J'étais un peu étonnée de cette manière de parachever un orgasme mais mes yeux grands ouverts continuaient à le regarder avec
admiration alors même qu'il finissait de s'épancher, les yeux clos, un sourd et léger râle au fond de sa gorge. Il avait ses muscles tendus et saillants comme la corde d'un arc. Je restais immobile
: je ne voulais pas rompre le charme en prenant la moindre initiative. Il s'allongea délicatement à côté de moi. Je n'avais pas joui cette fois-ci mais l'osmose était telle que je haletais de
concert avec François quand il reprit son souffle, posé sur le coude et allongé tout contre mon corps. Je me retournais sur le côté pour lui faire face et mes frêles jambes se perdirent entre ses
immenses cuisses noueuses. De mes orteils, je lui caressais délicatement la peau ébène, comme une chatte reconnaissante et ronronnante. Son sperme figé restait collé presque sans couler sur mes
tétons durcis et partout entre mes seins.
Lundi 2 octobre
1
02
/10
/Oct
11:13
Lorsque François grimpa les escaliers pour nous ramener au salon, moi accrochée à son bras et son pénis pronfondément enfoui au fond de mon vagin, je fus quelque peu balottée. Il m'élargit involontairement les parois.
Puis il me déposa avec une délicatesse que mon poids n'altéra absolument pas sur le large sofa, tout en restant penché au dessus, le pénis toujours en possession de ma cavité vaginale. Nous étions nus et détrempés par la sueur animale qui nous faisait briller le corps : j'avais toujours les yeux mi-clos lorsque je sentis la bouche de François m'embrasser le cou puis sa main me saist la tête et il posa à nouveau ses lèvres sur ma bouche ma lançant un langoureux et passionné baiser. Il se saisit de mes longs cheveux comme pour s'essuyer le front, s'imprégner de mon odeur de sexe qui me suintait à travers les pores de ma peau.
Tout en continuant à m'embrasser, il me prodigua des coups de reins lents, faisant glisser son pénis dans mon fourreau sexuel. C'en était trop pour moi, je sentis instantanément un orgasme me secouer. François me saisit la poitrine et de ses doigts, il pinça doucement mes mamelons roses et durcis comme du granit. Je gémis sans pouvoir m'arrêter. La notion du temps devint quelque chose de particulièrement difficile à évaluer pour moi : il me sembla que François me pistonna durant des heures ...
Je me sentais ramollir de partout en subissant le rythme lent et régulier de François : chaque caresse de son pénis sur mes parois vaginales étaient une douceur fabuleuse. Je halletais puis me calmais mais François semblait vouloir me maintenir dans cet état pré-orgasmique pour longtemps, ralentissant le rythme encore plus dès qu'il me sentait monter. Puis il finit par se retirer sans qu'aucun de nous n'ait eu un orgasme une fois de plus.
Exprimez-vous ...