Dimanche 8 octobre 7 08 /10 /Oct 11:52
Las, sans avoir réussi à réitérer l'exploit de me faire jouir en me torturant, ils nous ordonnèrent à l'une des filles et à moi de se remettre à "copuler comme des chiens". Nous nous étions regardées interrogatrices sans comprendre ce qu'ils voulaient, pensant que plus rien de pire ne pouvait nous être infligé.

Fatale erreur ... Une fois de plus ...

Le mâle ivre du goût de sang et de puissance peut toujours trouver pire. J'ai fait mienne cette maxime terrible et évidente maxime depuis.

Je ne me souviens plus très bien comment ils nous l'avaient expliqué mais ils nous l'avaient expliqué.
Et c'est ainsi que, dans mes souvenirs flous, je me rappelle avoir été liée à ma compagne d'infortune, les fesses collées les unes aux autres "comme des chiens".


Et c'est ainsi que, comble de l'humiliation, nous avions été obligées de japper en nous trainant au milieu des jambes qui nous donnaient régulièrement des coups de pieds parfois violents.
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Dimanche 8 octobre 7 08 /10 /Oct 11:39
Je me souviens vaguement que l'un d'eux avait eu l'idée de m'insérer le poing dans la chatte : je crus atteindre le summum de la souffrance, écartelée, déchirée par ce poing conquérant ... Je m'écartais les jambes des deux mains en soufflant pour faciliter l'intromission, pour soulager mon corps meurtri.


Involontairement, j'aidais, je participais à la torture de mon propre corps ...

Je me souviens vaguement qu'on m'ait mis un godemiché dans la main et comment j'avais terminé quelques minutes plus tard ...
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Dimanche 8 octobre 7 08 /10 /Oct 08:35
Toujours est-il que cela décupla les hurlements et l'excitation des mâles : tout le monde voulait faire encore jouir la pute blanche ... C'était du pain béni pour eux : il se la disputèrent ...



Je sanglotais :

- Je ne suis pas une pute ... je ne suis pas une pute ... Pitié ... Laissez-moi ...

M'entendaient-il seulement ? En avaient-ils envie ? J'aurais dit que mes suppliques ne faisaient que les exciter encore d'avantage ...

Mes deux compagnes harrassées furent délaissées et tout le monde se mit autour de moi pour me pénétrer, me tripoter. J'étouffais, je hurlais ma détresse mais tout le monde ne voulait plus me voir que comme une machine à jouir. Et j'aurais aimé leur donner raison pour avoir la paix. Je fus enterrée sous un amas de mâles en rut. L'idée d'être une souillure qu'on enterre me traversa furtivement l'esprit sans qu'aucune autre métaphore ne puisse me qualifier mieux.
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Samedi 7 octobre 6 07 /10 /Oct 08:24
Je me souviens vaguement ... Non, tout est flou ! Ce qui est arrivé est dû à quoi ?

La peur primale ?

L'angoisse qui m'étreignait ?

Le désespoir qui m'enveloppait ?

La drogue ?

L'ecsta me donnait des palpitations ... Si j'étais en manque de calmants en arrivant, ce "truc" m'a "guéri" ... Une bonne chose ... Ma morale le réprouve peut-être mais avais-je encore les moyens d'en avoir une ?

Peut-être aussi la tension violente qui allourdissait l'atmosphère ?

Ou encore ma macabre résignation à acecpter mon sort au mieux puisqu'il est convenu que je n'y échapperais plus jamais ?

Ce qui est arrivé est dû à quoi ? L'une ou toutes ces raisons suffiraient-elles à expliquer ce qui me tomba dessus quelques secondes plus tard ? Ou alors, j'étais irrémédiablement une folle furieuse, une chienne en rut telle que le loup et les mâles de sa meute s'évertuaient à me qualifier : mon corps me trahit et je sombrais définitivement dans la dépravation ...

J'ai joui ... J'ai joui ... Et cette jouissance est, à ma grande honte, la plus intense que j'ai eue. Cet orgasme me fauchait le corps et enterrait définitivement la dernière once de ma fierté : c'était la dernière et la plus humiliante offrande que je pouvais faire au monstre que je devinais hilare ...

Durant de longues secondes, qui me parurent être des heures, mon corps fut agité de soubresauts, je cherchais mon souffle mais mon ventre, rebelle à ma volonté, s'embrasait perpétuellement.

Je criais et je pleurais à la fois mais mes cris n'avaient plus rien d'une souffrance ... plutôt d'une délivrance ...

Tout du moins furtive et artificielle ...
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Vendredi 6 octobre 5 06 /10 /Oct 16:13
J'eus une pensée coupable pour mon mari cocu mais j'avais François dans la peau et rien ne semblait pouvoir l'en extraire durablement maintenant. Ce dernier retira le pan de cire complètement déformé par la pression de mes sphincters puis il le jeta au loin, dans la cheminée qui produit un mouvement de flamme menaçant. Maintenant l'écartement de mes fesses, François y posa alors son propre pénis puis s'enfonça facilement dans l'ouverture préparée par son jouet. C'est quasiment sans effort qu'il installa son doux pénis au fond de mes entrailles.

Je poussais un soupir de soulagement de ne pas avoir eu mal. Désormais, il avait lâché mes fesses qui se refermèrent maternellement sur la base poilue de son sexe et il tint mes hanches comme s'il domptait un cheval. Il me sodomisa à une profondeur jamais atteinte et je me sentais tout simplement bien d'être fraichement explorée aussi loin. C'est comme un dépucelage dans ma tête. Le côté romantique de la chose me fit alors jouir d'une manière aussi brutale que soudaine. Ma tête s'affala sur le sofa et je râlais comme jamais pour accompagner les soubresauts qui me secouaient le vagin pourtant vide ... François s'arrêta pour me laisser consommer mon plaisir et, une fois mon corps apaisé, il recommença à faire ses allers-retours incessant dans mes entrailles délicieusement martyrisés. Le miroir me renvoya l'image de ce noir donnant des coups de reins dans mon corps albâtre comme s'il jouait au flipper. Je lâchais un quasiment inaudible "je t'aime" que je regrettais aussitôt. Mais François l'entendit néanmoins et en reconnaissance, il me caressa la tête paternellement tout en continuant à me gratifier de ses coups de reins violents et dévastateurs. A chaque effort, ses muscles ressortaient comme s'il soulevait des haltères. Je sentais à nouveau mon plaisir poindre tout au fond de mon ventre comme si mon corps ne voulait jamais arrêter de se repaître de ce pénis généreux qui le possédait.

Je lâchais des suppliques larmoyantes :

- Je vais venir ... je vais venir ... laisse-moi jouir ... ne t'arrête pas ... Aaaahhhhh

La vague déferla à nouveau dans mon vagin avec une violence encore plus forte. Et François me couvrit complètement, me serrant les épaules comme s'il voulait briser mes frêles os et souffla bruyamment. Il se crispa et se projeta le plus loin possible dans mon intestin et éjacula longuement, noyant mon tube de sa semence abondante. Il me mordit le cou en maintenant sa femelle sous sa domination comme sous un joug. Je me sentis saigner mais la douleur n'arrivait même pas à déranger la fin de mon orgasme qui se prolongeait indéfiniment.
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Vendredi 6 octobre 5 06 /10 /Oct 11:49
Il m'abandonna tandis que je me délectais de ma douleur, les yeux mi-clos. Un picotement de plaisir sourdait lentement au fond de mon ventre ... Il revint avec de solides cordages. J'eus un sursaut mais sans me laisser le temps de réagir plus, il avait déjà entrepris de me ligoter les cuisses et le corps. Je me laissais faire avec un petit sourire entendu qu'il ne releva même pas ...

Lorsque je fus immobilisée, il me retourna sur le dos lentement pour dégager mes fesses qu'il connaissait déjà si bien ... Puis il écarta d'une main, mes globes fessiers pour dégager le passage de ma rose intime. Il y posa tout contre l'ouverture crispée le bout effilé de la bougie et commença à la tourner tout en l'enfonçant fermement. Je me mis à participer à ma propre souffrance en me détendant, soumise à la déviance de cet inconnu. Je me décrispais, me détendis au fur et à mesure que la bougie conquit mes entrailles. Durant de longues minutes l'objet conique dans les mains du grand noir prit peu à peu possession de moi tel un prédateur. Au fur et à mesure que le bout éffilé conquit ce territoire inconnu, la base elle, plus large écartelait mes sphincters presque à m'en faire mal. Je gémis autant de douleur que de plaisir. François commença alors à opérer un va-et-vient lent dans mes intestins, achevant de m'ouvrir complètement. La bougie ne rencontra plus aucune résistance dans mon intestin : il glissait aussi sûrement que si mes boyaux étaient moulés autour de ce corps étranger.
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Jeudi 5 octobre 4 05 /10 /Oct 14:51
Je me souviens vaguement avoir été forcée à faire l'amour avec mes congénères ... Non, il n'y a pas d'autre mot pour qualifier les bêtes de somme que nous étions devenues mes compagnes et moi ...

Je me souviens vaguement que Kassim m'avait forcé à ingurgiter de l'ecstasy ... plusieurs fois : j'obéissais à toutes les invectives sans réfléchir. Ca avait l'avantage de me redonner de l'énergie que j'aurais aimé ne plus avoir ... Rien à faire : mon corps ne m'appartenait plus depuis longtemps ; mon esprit devenait la seule entité résistante à ces assauts mais elle s'éteignait petit à petit.

Les autres filles étaient dans le même état de détresse que moi ... et dans le même état de résignation également.

La femme en tant qu'être humain se meurt lentement dans ce sombre salon.
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Jeudi 5 octobre 4 05 /10 /Oct 11:53
Je me souviens vaguement qu'ils s'y sont mis à deux, à trois, à quatre sur mon corps : moi et mes compagnes devions satisfaire la bestialité d'une vingtaine d'hommes. On ne nous octroyait plus le droit d'exister que pour cela.

Je me souviens vaguement que pour parfaire la mise en scène, ces pourris ont balancé des billets de banque sur nos corps trempés de sueur, de salive et de sperme ... comme prix de notre labeur ...

Plutôt de notre humiliation ...
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Jeudi 5 octobre 4 05 /10 /Oct 11:46
Je me souviens vaguement avoir été sodomisée pour la première fois de ma vie ... J'ai eu mal, très mal. Mal comme jamais.
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Jeudi 5 octobre 4 05 /10 /Oct 11:37
Je me souviens vaguement avoir reçu un braquemart dans ma bouche ...

Qu'on m'ait éjaculé dessus ...

Je devais faire semblant d'aimer cela, je crois ...

La seule chose dont je sois sûre est que l'ambiance, la musique, le bruit, la pénombre étaient autant des ennemis qui m'enveloppaient pendant que mon corps subissait les outrages successifs de ces mâles déchainés.
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