Mercredi 27 septembre 3 27 /09 /Sep 10:44
J'avalais finallement, non sans mal non plus. Enfin, il me permit de me relever mais saisit à nouveau mon bras pour m'empêcher de me lever du sofa.
Il reprit son souffle durant de longues minutes. Puis :

- Ranime-le, je vais te sauter

J'ouvris des yeux exorbités, terrorisée. Kassim me "rassura" :

- T'inquiète ... Cette fois, tu prendras ton pied. Je n'ai jamais déçu mes meufs.

C'était censé me rassurer !!! Mais j'étais toujours coincée, aussi j'obtempérais à nouveau. Je repris son sexe en bouche et il ne tarda pas à bander à nouveau. Je me relevais quand il fut au maximum à en faire mal. Puis il saisit un flacon rempli d'huile et enduit son pénis :

- Vire tes frusques !
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Mercredi 27 septembre 3 27 /09 /Sep 10:16
J'eus les larmes aux yeux ... J'hésitais encore mais l'état de manque était trop douloureux ... Il me fallait mes cachets. Je relevais une mèche qui masquait ma bouche lorsque je me penchais puis commençais à poser des petits bisous sur le gland circoncis de Kassim. Il me tapotta la tête d'impatience :

- Dépêche, je n'ai pas que ça à foutre

J'avalais fermement alors l'appendice qui commençait à prendre vie. Kassim releva lui-même mes cheveux jais qui masquaient le spectacle pour pouvoir en profiter. Ma bouche menue eut du mal à engloutir la totalité du pénis rugueux de Kassim. Ma langue eut du mal à se mouvoir, plaquée entre mon maxilaire inférieur et le pénis remplissant ma bouche. Durant une éternité, ma tête fit des va-et-viens, guidée par Kassim qui me tenait toujours les cheveux dans sa main. Je le sentais venir ... Je n'avais pas envie qu'il jouisse dans ma bouche, mais rien à faire : la poigne de fer noire plaqua ma tête contre son pubis. J'eus à peine la liberté de ne pas m'étouffer par la longueur de son pénis au fond de ma gorge. La première giclée, lourde et puissante se déversa directement au fond de ma gorge. La seconde me tapissa le palais puis le reste inonda ma langue. Je pleurais d'humiliation, craintive : je ne savais pas ce qui trainait comme cochonnerie chez ce Noir alors qu'il se déversait sans aucune précaution dans ma bouche.

J'étais coincée ! Une fois achevé, il maintint sa pression pour que ma tête reste en position. J'eus du mal à recracher sa semence, son pénis, à peine dégonflé bouchait toujours mon orifice buccal.

- Avale, sinon tu restes comme ça.

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Mardi 26 septembre 2 26 /09 /Sep 17:14
François satisfait de mon excitation latente insinua ses deux pouces entre mes grandes lèvres pour les masser fermement, les ouvrant, béants et affamés. La frustration du pénis de François posé sur mon dos libre et tentant devint une torture. Je gémis, outrée d'être ainsi encore et toujours délaissée alors même que tout mon corps s'est soumis et humilié à attendre que le mâle en prenne possession. François, imperturbable, avait maintenant ses deux pouces au plus profond de ma fleur intime, massant les parois de mon vagin par l'intérieur. Je m'agitais de plus en plus pour faciliter l'accès de François à ma pudeur foulée. J'étais ouverte, indécente, prête à me faire posséder par cet inconnu. Je relevais mon bassin, puis ondulait, mimant un acte sexuel dans le vide. Je l'espérait depuis que je l'ai vu dans ce bar ce noir, depuis presque dix heures. Je l'attendais depuis qu'il m'a invité dans son sauna, depuis deux heures. Deux heures de préliminaires !!! C'en était trop pour ma patience. Mes sanglots éclatèrent de façon aussi soudaine qu'incongrue.

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Mardi 26 septembre 2 26 /09 /Sep 11:54
François remonta ensuite ses mains tout le long de mon dos avec une lenteur qui semblait chasser toutes les énergies négative de mon corps. Il me massa ensuite les épaules en s'étant replacé à califourchon sur mon dos. Ses genoux repliés bloquaient mes aisselles sur le côté. Je sentais à nouveau son pénis en érection reposer paternellement sur le canal central de mon dos, tout contre ma colonne vertébrale.



Puis, toujours à califourchon sur mon dos, François se retourna : cette fois-ci, il me tournait le dos, ses fesses se calèrent contre ma nuque. Je sentis contre mon cou, les aspérités de l'intérieur de la raie de François. Je saisis ma chevelure pour l'évaser et dégager mon cou. François avait à nouveau saisi mes globes fessiers pour les masser longuement. Puis il en écarta les pans pour, comme tout à l'heure, titiller mon anus. Mais il ne s'attarda pas plus une fois de plus : ses doigts glissèrent encore plus bas, de ma raie des fesses vers l'intérieur de mes cuisses. Il écarta ses dernières et atteint enfin ma fleur d'amour restée ouverte par l'excitation latente. François la laissa quelque minutes à l'air libre, se contentant de maintenir l'écartement de mes fesses et de mes cuisses de ses mains.

Je me tortillais pour tourner la tête et jeter un coup d'oeil sur le miroir au plafond. Furtivement, j'y vis la scène la plus érotique qu'il m'ait été donné de contempler : le corps noir de François chevauchant le mien, les fesses calées contre ma tête semblait se confondre avec les ombres et la lumière, luisant faiblement selon les dessins de sa transpiration qui m'inondait le dos, se mêlant à la mienne. Mon corps, lui semblait rouge et blanc à la lueur du feu de cheminée vibrant comme une onde au gré des coups de reins de François. Je mouillais instantanément ce que François dut voir car son index quitta furtivement le gras de mes fesses pour passer le long de ma fente et essuyer la coulure que j'avais tendance à produire.
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Mardi 26 septembre 2 26 /09 /Sep 11:47
Je retrouvais enfin l'entrée, légèrement calmée par les litres de café que je bus toute la fin d'après-midi. Je frappais à la porte qui s'ouvrit aussitôt sur le visage inquiétant de Kassim. Aussitôt un sourire barra ses cicatrices :

- Entre, je te prépare ton paquet ...



Je m'assis sur le même fauteuil tandis qu'il s'afférait en cuisine. Quelques minutes plus tard, il revint, ayant troqué son costume contre un peignoir. On y était !!! Il me saisit le bras, toujours souriant et me força à me lever.



Ensuite il me fit asseoir sur le grand sofa, à côté de lui. Les pans de sa robe de chambre s'écartèrent, laissant apparaître son entrejambe nu.

- Je ne couche jamais qu'avec des Blanches me dit-il. Tu sais pourquoi ?

Je secouais la tête en baissant la tête de honte, hésitante.

- Ce sont les seules qui savent sucer. Chez les Noires, y a comme un tabou ...

Je dégluttis avec difficulté. Nicolas adorait ça mais jamais je n'aurais imaginé le faire avec quelqu'un d'autre. Kassim dénoua la ceinture de sa robe de chambre et mit à l'air un sexe à la taille impressionnante, même au repos :

- Allez, bouge, il commence à avoir froid.

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Lundi 25 septembre 1 25 /09 /Sep 14:46
Il eut l'air dubitatif mais ne me contredit pas. Il me raccompagna sagement jusqu'à la gare de RER. A cette heure-ci je ne risquais plus de rencontrer des collègues. Le week-end fut atroce. Il ne me restait plus de cachets, Nicolas ne passa pas comme à l'accoutumée alors que je pensais que rien que sa présence m'aurait réconfortée.



Durant deux jours, je fus en proie à des tremblements, des insomnies et des délires. Je pleurais, hurlais ma souffrance.



Je restais prostrée dans mon sofa. Le lundi, mon état ne s'améliora pas.



Je ne pouvais pas aller travailler. Je téléphonais au proviseur, ayant du mal à produire une voix normale. Je n'en pouvais plus.



Il me fallait quelque chose : je retournais à la cité d'Abdou. Je l'attendis à l'entrée de la cité, sachant qu'il passait par là en revenant du lycée. Il ne vint pas ... J'enchainais café sur café mais tout mon être se déglinguait à l'intérieur. Je me résolus à aller voir directement Kassim. Je retrouvais difficilement le chemin dans le dédale des immeubles de la cité. Je ne vis pas grand monde si tard le soir mais les quelques-unes personnes que je croisais (des adolescents) me sifflèrent copieusement. Une blanche sur leur territoire était une attraction !
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Lundi 25 septembre 1 25 /09 /Sep 14:32
Il obtempéra néanmoins. Nous traversâmes les ruelles sombres de la cité et dans un immeuble, Abdou frappa à une porte. Un grand Noir d'une quarantaine d'années ouvrit, le visage scarifié et ridé. Il portait un bermuda et T-Shirt. Sans qu'il ne soit menaçant de quelque manière que ce soit, une peur primale me saisit à sa vue. Abdou lui expliqua mon problème. Kassim, après l'avoir écouté lui aboya quelque chose comme : "C'est bon, je m'en occupe ... Va attendre en bas". Abdou me dit qu'il m'attendait en bas, le regard plein d'inquiétude. Je ne l'avais jamais vu dans cette attitude là au lycée. Kassim me fit entrer et asseoir dans un fauteuil.



Il jeta sur la table un sac plastique duquel s'échappaient plusieurs boîtes de mes cachets favoris :

- Je peux te les vendre au même prix qu'avant mais je veux autre chose en échange

- Quoi ? Dis-je, l'air faussement empreint de défi

- Tu sais bien, il faudra juste être très gentil avec moi

Je me levai d'un bond et me précipitai à la porte :

- Jamais

Kassim sourit et me lança, sans chercher à me retenir :

- Reviens quand tu seras décidée ... Mon offre tient toujours.

Sans me retourner, je descendis quatre à quatre les marches de l'escalier de service. Abdou m'attendait en bas, l'air interrogateur.

- Rien, lui dis-je avant qu'il n'ait articulé le moindre son. Tu as raison, je vais arrêter.

- Vous avez raison, mais ça ne va pas être facile. Allez voir un médecin.

- Pas question, je m'en sortirai seule.
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Lundi 25 septembre 1 25 /09 /Sep 12:42
Allongée sur le ventre, les mains ramenées sous le menton, les yeux clos, je m'abandonnais entres les mains expertes de François. Cet inconnu noir rencontré quelques heures auparavant me voyait nue et de ses mains larges, il me massa : chaque muscle de mon dos, de mes jambes passait entre ses doigts qui les détendit. Il commença par mon cou qu'il dégagea d'abord de ma coiffure éparse. Il me faisait face aussi, chaque fois que j'ouvrais paresseusement les yeux, je voyais son pubis faiblement poilu orné de son appendice redevenu au repos mais malgré cela, sa taille flirtait avec celle d'un taureau. Ses doigs, à la base de mon crâne, derrière mon cou opéraient un régulier mouvement délicieux qui semblaient me détendre à tel point que mon cou sembla ne plus supporter le poids de mes soucis et de ma tête. J'ouvrais de temps à autre mes yeux sur la vision sublime de son pénis lourdement balancé par ses mouvements mais dès que je fais mine d'agiter la tête, François me serra faiblement le cou afin de me dissuader de prendre une quelconque initiative. J'obtempérais à chaque fois me repaissant de cette frustration du plaisir prolongé.

Puis ayant achevé de me détendre le cou, François s'attaqua à mon dos. Il fit le tour de la table et s'installa sur moi, à califourchon, sur le bas de mon dos. Un frisson de plaisir parcourut mon échine lorsqueje sentis le bout de son pénis et ses testicules, au gré de ses mouvements, se poser sur mon dos. Ses mains avaient repris leur travail en me massant lentement chaque parcelle de peau, de muscle ...



Il faillit m'arracher un orgasme lorsqu'il s'attaqua à la colonne vertébrale, tellement le sentiment de délectation fut accentué par le climat torride dans cette pénombre, seulement éclairée par un feu de cheminée. De plus, je sentis son gland sur mon dos se durcir, lentement mais sûrement. J'étais soufflée : assis presque sur mes fesses, ses testicules reposant sur le bas de mon dos, le bout de son pénis, je le sentais quasiment au niveau de la partie inférieure de mes omoplates. Je gémis, térrassée par ma pensée de plus en plus déstabilisée, envahie par des troubles on ne peut plus lubriques. Tout en continuant à me masser patiemment le cou, je me rendis compte que François ne voulait plus laisser retomber la tension de son sexe. Ce faisant il accompagnait les mouvements de ses mains sur mon dos de furtifs coups de reins dans le vide afin de masturber son pénis sur mon dos. Je sentis une trace de mouille un peu plus chaude saliver sur mon dos. Je ne pouvais participer à son bonheur, bloquée par son poids qui pesait sur mon bassin. Je me contentais alors de me caresser les cheveux et le cou, lascivement de mes mains seules libres de mouvement. A ce moment, par la seule volonté, j'aurais pu atteindre l'orgasme le plus dévastateur que je n'ai jamais eu mais je voulais garder tout cette frustration lente dans mon esprit et garder toute mon énergie pour le moment où, je n'en doute pas, François, se déchainerait pour me posséder. Ces préliminaires, je voulais qu'elles durent le plus longtemps possible. Le bassin de François glissa, passant de mes fesses vers mes jambes. Je sentis son pénis glisser à l'intérieur de la raie de mes fesses, puis les quitter pour se poser vers le haut de mes cuisses. Ses mains saisirent le rebondi de mes fesses pour les presser, les masser. Il en écarta les globes, passant ses doigts à l'intérieur de la raie, passant sur la fermeture plissée de mon anus. Je gigotais mal à l'aise mais déjà, François referma le trésor de ma raie. Il me massa les cuisses. Il descendit de la table pour se placer derrière moi : il se saisit une par une de la plante de mes pieds et fit passer ses pouces sur ma blanche peau. Je gémis de bonheur. Il passa ses doigts entre mes orteils ... La bouche ouverte de reconnaissance devant la dextérité de François, un filet de salive glissa le long de mes lèvres. Toute once de stress avait disparu de mon corps. Je n'avais plus envie que cet instant magique ne finisse pas.
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Lundi 25 septembre 1 25 /09 /Sep 12:03
Cette fois, François était en érection maximale et ce que je vis était monstrueux et merveilleux : un mât d'ébène noir jais et circoncis, épais et strié de veines, qui battait au rythme de son coeur. Mais il se retint, tournant le dos pour aller déposer mes bijoux à l'extérieur. Je refermai et renouai ma serviette et me rallongea sur le ventre. Les yeux fermés, j'entendis François revenir et me caresser furtivement les fesses rebondies avant de retourner s'allonger à son tour sur sa table.



Je somnolais au fur et à mesure des minutes qui passèrent. Puis, je fus réveillée par François qui me souleva de la table et, me portant dans ses bras et les miens entourant son cou, nous sortîmes de la cabine de sauna. Je jettais un coup d'oeil au grand miroir du mur d'en face. Je vis l'immense corps noir et brillant de sueur de François qui culminait à deux mètres porter à bout bras mon minuscule corps à la couleur neigeuse, drapé dans sa serviette comme un petit chien. François me déposa sur une grande table de massage que j'avais aperçu en entrant à l'aller. Il retira avec des gestes neutres ma serviette détrempée dénudant mon corps offert, du cou jusqu'aux chevilles. Il m'installa confortablement le visage dans le dossier de la table, percé en son centre pour laisser mon visage libre. Il me tira bien les chevilles pour parfaire ma position allongée. Mon mari était définitivement sorti de mon esprit. Je n'avais plus qu'une idée en tête : continuer à être la chose de ce grand noir inconnu.
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Vendredi 22 septembre 5 22 /09 /Sep 16:29
Je ne relevais pas ... Je sortis un billet le lui tendis puis partis récupérer mon RER. J'en avais pour une semaine normalement à tenir. J'étais accro ... J'éspérais que le lendemain, Abdou aurait la délicatesse d'être discret. Il y allait de ma carrière (médiocre mais carrière tout de même ...). Il le fut. Même bizarrement, il tenait ses camarades ou ses troupes devrais-je dire, de telle sorte que j'eus une paix royale durant le cours où je les avais. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu un cours aussi calme et tranquille. Tout de même, je trouvais qu'Abdou me collait un peu trop dès que l'occasion se présentait : à la sortie de la salle de classe ou dans les couloirs. Personne ne semblait s'en rendre compte sauf moi. Peut-être était-ce mon imagination qui me jouait des tours. Il est hors de question que je le fréquente plus que nécessaire : c'est un élève et je suis sa prof, il avait presque dix ans de moins que moi, j'étais blanche et provinciale et lui, noir et zonard. Une semaine se passa ... Nicolas était repassé comme d'habitude avec tout son linge sale. Il resta avec moi dans la laverie tandis que je lavais leur linge. Comme d'habitude, j'espérais qu'il allait me faire l'amour, je faisais exprès de le frôler. Un moment, il esquissa une caresse sur mes hanches et moi je me laissais faire, implorante mais sadiquement, il n'alla pas plus loin.



J'étais en manque de sexe également mais les trop fréquents passage de Nicolas insinuaient dans mon esprit que je dois lui rester fidèle. Manifestement, il en jouait :

- Tiens, si tu pouvais repasser les chemises de Mélissa, elle a pas mal d'entretiens à passer la semaine prochaine ... Tu seras chou

- Comme tu voudras mon chéri, dis-je en rougissant sous le petit "compliment"

Je repassais voir Abdou toutes les semaines lui acheter mes cachets. Le moins que l'on puisse dire que 5 euros, ce n'était pas cher. Loin de vouloir arrêter, j'augmentais plutôt mes doses. Ce qui au bout de quelque temps me ramenait au problème initial. Trop d'argent ... Voyant ma détresse, Abdou se prit d'affection pour moi. Il tenta de m'inciter à arrêter mais rien n'y faisait. C'était le monde à l'envers : cette racaille tentait de protéger sa prof, l'ennemie de ses propres turpitudes.

- Je peux vous fournir mieux pour pas cher

- Qu'est-ce que ça cache ?

- Rien, juste que vous me promettez d'essayer d'arrêter en échange sinon ...

- OK envoie, dis-je en ignorant la menace

Quelques semaines après, j'augmentais encore mes doses. Un soir, avant le week-end, Abdou parut ennuyé en me voyant :

- Vous m'avez promis d'arrêter M'dmoiselle

- Oui ben ça ne s'est pas fait. Envoye la marchandise ...

- Je ne peux pas, je vous ai fait un prix en espérant qu'il soit temporaire mais je ne peux pas continuer comme ça

- C'est combien le vrai tarif alors ?

- 100 euros

Je faillis m'étrangler :

- Qu ... Quoi ? Mais je ne peux pas payer autant. Refile-moi l'ancienne ...

- Je n'en ai plus, ça ne se fabrique plus à ce tarif là

- File-moi autre chose

- Non, vous devez arrêter maintenant

- Je n'ai pas cet argent là Abdou, fais-moi une faveur

- Moi je ne peux rien mais mon fournisseur pourra peut-être vous faire ça si vous lui en parlez. Mais vous devriez vraiment arrêter avant d'aller trop loin.

- T'occupe, emmène-moi voir ton fournisseur ...

- Kassim

- Emmène-moi voir ce Kassim

- Vous ne devriez pas
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Moi c'est Flower ... Je n'ai pas de talent particulier pour l'écriture mais j'adore la littérature érotique (et le sexe en général mais ça, vous verrez plus tard si vous êtes gentils). Aussi je me lance dans l'aventure du blog avec cette volonté.

Si le blog peut vous paraître décousu, c'est volontaire. J'aimerais le rendre un peu interactif et attractif. Votre mission, cher lecteur, consistera à assembler le patchwork des publications ... Vous verrez, ce n'est pas très difficile :)


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