Vendredi 22 septembre 5 22 /09 /Sep 14:39

Je tournais les talons mais la proposition d'Abdou avait fait son chemin dans ma tête ... C'est vrai que ces calmants ponctionnaient gravement mon salaire. Mais hors de question de négocier avec cette racaille ... Des semaines passaient, j'avais de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, je devenais de plus en plus accro aux calmants.



Je demandais à Nicolas de me pretter de l'argent mais il refusa sous prétexte que Mélissa et lui économisaient pour l'instant. Malgré tous les services qu'ils me forçaient à leur rendre, aucun retour n'était à espérer. Cela aurait dû me remettre dans la réalité mais rien n'y faisait : le souvenir de l'amour avec Nicolas la dernière fois et l'espoir ténu que cela recommence anesthésiaient ma raison. J'aurais pu ... J'aurais pu essayer de refaire ma vie, en rencontrant d'autres hommes mais le passage régulier de Nicolas chez moi m'empêchaient de me reconstruire, même si plus rien ne se passait à mon grand désespoir ... Je me morfondais ... Ma banque m'appella un jour pour me signaler un lourd découvert que je ne saurai combler dans l'immédiat. Je partis négocier avec ma conseillère financière qui accepta d'échelonner les remboursement en ponctionnant mon salaire mais, cela signifiait une réduction drastique de mes dépenses ... en premier lieu de mes calmants. Pourtant, j'étais accro ...

Le lundi suivant, après avoir cogité tout le week-end, j'allais happer discrètement Abdou en lui signifiant que finallement sa proposition m'intéressait "à titre de dépannage" me crus-je obligé de lui dire ... Cela le fit sourire :

- OK, venez me voir derrière le mur du lycée ce soir à 6 heures, ce sera plus discret ...

A 18 heures, je me présentais derrière le mur du lycée comme convenu, sombre, inquiétant mais effectivement discret. Abdou sortit de l'ombre flanqué de deux inconnus que je ne connaissais pas ... pas du lycée ... Dans la pénombre, le sourire d'Abdou faisait ressortir la blancheur de ses dents :

- On va faire affaire ... Pour la première, c'est gratuit

- Non dis-moi le tarif, de toutes façons, ce sera la seule fois, je ne suis pas accro ...

- Elles disent toutes ça ... Ca fera 5 euros alors ...
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Vendredi 22 septembre 5 22 /09 /Sep 14:12
Cela étant, cet intermède avec Nicolas m'a frustré incroyablement. Je m'étais accroché à la main qu'il m'avait tendue et son retrait par la suite m'avait laissée sur le carreau. Comme s'il m'avait quitté une deuxième fois. Chaque fois que je le revoyais repasser à la maison, j'espérais qu'il me fasse l'amour mais, rien ne venait. Le sexe m'obsédait toute la semaine attendant son hypothétique passage le week-end. Mon attitude au lycée s'apparentait à ceux des drogués en manque : je devenais de plus en plus irritable, ce qui excitaient encore plus Abdou et mes autres élèves. Au moins une fois par semaine, je m'isolais dans la salle des profs pour aller pleurer ...



Je devins accro aux calmants pour me faire passer le temps et me déstresser. Un jour, Abdou, me rattrapa dans les couloirs en me tendant une tablette de calmants qui était tombé de mon sac :

- M'dmoiselle, vous avez laissé tomber ça

- Merci Abdou

- C'est du costaud ce que vous prenez là M'dmoiselle

- ...

- Ca doit vous couter cher

- Ca ne te regarde pas

- Moi, c'était pour vous aider ... Je peux vous en fournir pour pas cher

- Non ça ira merci ...
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Vendredi 22 septembre 5 22 /09 /Sep 12:46
Ecarquillant les yeux, il ne comprit pas en voyant que mes oreilles et mon cou en étaient dépourvus.

- Ton alliance ? Mais retire-la et va la poser sur l'étagère dans le couloir. Ca ne craint rien ici.
- Non, ce n'est pas ça ...
- Quoi alors ?
- Je ... Comment te dire ?



Puis, au diable ! Il est temps que je sache ce que je voulais.

Je dénouais alors ma serviette en me relevant et écartant les pans, j'exhibais ma poitrine au géant noir. Ses yeux s'ouvrirent d'étonnement en voyant les anneaux d'or briller au bout de mes seins aux aréoles larges. Instantanément il se releva.

- Ah ouais ... Attends ! Je vais t'aider à les enlever.

Il ne voulait visiblement pas laisser le soin à qui que ce soit d'autre que lui, pas même moi, la responsabilité de cette tâche. Il s'approcha de moi. Je voyais que le spectacle avait fait son petit effet sur le sexe du grand noir. Sans aller au maximum, il semblait déjà être plus consistant que lorsque je suis entrée.



Il se planta devant moi et sans un geste de trop, de la façon la plus neutre qui soit, il saisit l'un des anneaux et dévissa la fermeture. Puis il me saisit le sein dans sa large paume, l'engloutissant presque, alors même que je n'étais pas la plus mal lottie, et de l'autre, il fit tourner l'arceau dans le trou pour le dégager de mon téton, involontairement dressé. Il posa l'anneau sur la table puis recommença avec le deuxième. Ensuite, il me prit l'annulaire gauche et retira mon alliance. Ce dernier geste me débarrassa de mes derniers scrupules : il me sembla que je n'étais plus lié à mon mari jusqu'à ce que je le remette. Il collecta les bijoux puis se dirigea vers la porte lorsque je le retins par le bras :

- Attends ... Ce n'est pas fini ...
- Quoi ?
- Un dernier ...

Je décroisai complètement ma serviette puis écartai mes cuisses : l'anneau qui me traversait le clitoris s'offrait à son tour au regard de plus en plus émerveillé de François. L'anneau semblait entreposé dans le coffret à bijoux que constituait mes grandes lèvres glabres, ouvertes et détendues par la chaleur ambiante, trempées par la transpiration comme si une excitation sournoise les avait mises dans cet état. François, avec un sourire, le premier que je lui vis avoir de la soirée, saisit délicatement de l'index et du pouce, mon minuscule pain de sucre boursoufflé pour l'étirer légèrement et de l'autre main, il dévissa à son tour l'anneau pour le faire glisser et le retirer.

- J'adorerai te les remettre tout à l'heure Flo.
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Vendredi 22 septembre 5 22 /09 /Sep 12:28
Je me levais et alla me changer dans la salle de bain qui faisait presque la taille d'un petit appartement à lui seul. Je me débarrassais de ma chemise et de ma jupe que je pliais soigneusement.



Puis je me débarrassait de mes bottes boueuses. Vêtue uniquement de mes dessous, je regardais autour de moi : des serviettes éponges étaient pliées sur le guéridon près de l'entrée. Un sauna, c'est vraiment un bonheur dans mon état. J'hésitais à peine avant de retirer mon soutien-gorge et mon string. Nue, je m'admirais furtivement dans la glace. Je me satisfaisis du spectacle. Puis je me drappais dans une large serviette blanche. Négligeant les pantoufles mis à disposition, je sortis de la salle pieds-nus et m'engageai dans les escaliers qui me menèrent au sauna. François y était déjà lorsque j'ouvris la porte, les yeux clos, dans la chaleur, allongé complètement nu sur une des tables. J'eus un mouvement de recul en voyant le spectacle mais n'en fit finallement rien. A vrai dire, j'étais fasciné par l'énorme silouette de François, tout enrobé de muscles avec un soupçon de poignées d'amour au dessus de son pubis. Sa peau était noire ébène et semblait être d'un soyeux tel que l'on avait envie de passer ses mains dessus. Sur sa cuisse reposait son pénis qui était aux dimensions que j'ai rarement vues. Je m'en suis déjà rendue compte quelques heures plus tôt lorsque nous dansions. Je l'évaluais à au moins vingt centimètres et d'une largeur proche des huit centimètres alors qu'il était parfaitement au repos. J'eus brusquement une bouffée de chaleur que le sauna n'expliquait pas entièrement. Puis, sans retirer ma serviette, j'allais m'allonger sur la table en face de celle de François, accollé à l'autre mur. La vapeur se diffusait brûlante et bénéfique. Aussi je me mis à transpirer abondamment, collant mes cheveux au visage, à la table.

Après quelques minutes, je hurlais de douleur. Ce qui fit ouvrir paresseusement les yeux à François.

- Qu'est ce qui se passe Flo ?
- Ce sont mes bijoux, ils me brûlent ...
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Jeudi 21 septembre 4 21 /09 /Sep 15:36
François me retira doucement le portable des mains, la main insérée sous ma jupe caressant mon pubis à travers le string. Je tentais de fermer mes jambes mais sans conviction. Sa main large et chaude avait ce on sait quoi de rassurant sur mon intimité encore protégée. Il me chuchota à l'oreille des paroles douces auxquelles je répondis par des hochements de tête entendus, les yeux larmoyants.



- Flo, ma belle Flo. Ne dérange pas ton mari. Laisse-le t'attendre.
- Il ... Il n'est pas là ...
- Alors tu es libre ce soir. C'est pour ça que tu m'a suivi toute la soirée ?
- Je ... Non ... Ce n'est pas ...
- Chuuut

Moi qui ai été une obsédée sexuelle cocue perpétuelle, jamais je n'aurais pensé que la décision de tromper mon mari n'aurait été aussi difficile à prendre.

Il avait coupé la communication mais le portable se remit à sonner. A coup sûr, c'était mon mari qui rappelait. François rejetta l'appel et éteignit définitivement mon portable avant de le glisser dans mon sac à main. Je tendis mes mains désespérément vers mon sac mais un des sbires de François le posa hors de portée de ma détresse. François me chuchotta à l'oreille, le bras musclé tendrement enlaçant mon épaule :

- Ca te dit de prendre un dernier verre chez moi ?
- ... Je ne sais ... pas
- Alors moi je sais. Jo ! Va chercher la caisse.

Je tentais de résister :

- Je suis en voiture, je ne peux pas la laisser ici.
- Pas grave ça. Les clés sont dans ton sac ?
- Oui
- Un de mes potes va la conduire et nous suivre. Ca te va ?
- Ca me va.
- Bien Flo ... On y va alors ?

Il me prit par la main et je le suivis pour me frayer un chemin pour sortir.

Recroquevillée sur le siège arrière de la mercedes de François et lui tranquillement assis à mes côtés, son chauffeur nous conduisit à travers Paris. François se roula un joint. Il se l'alluma et me le tendit sans un mot. Je m'en saisis et le fuma longuement avant de le lui rendre. La tête me tourna un peu. Nous nous dirigeâmes ensuite vers l'Oise. Nous n'arrivâmes dans ce qui sembla être la villa de François que vers trois heures du matin. François m'ouvrit galamment la portière et m'entraina par la main à l'intérieur de sa villa, tandis que son chauffeur et les voitures suiveuses repartirent vers un parking. J'avais l'impression d'être une naine aux côtés de François et de ses deux mètres d'envergure. Les talons de mes bottes s'enfoncèrent dans la boue de la cour que nous traversâmes. Il m'installa dans le salon et me débarrassa de mon manteau.

- Tu veux boire quoi, ma belle Flo ?
- Une vodka.
- Est-ce bien prudent ?

Il m'en servit un néanmoins que je sirotais tandis qu'il se servit un whisky et mit de la musique douce. Il s'installa à côté de moi dans le sofa et me caressa les épaules.

- Tu es tendue Flower. Dure semaine ?
- Oui. Beaucoup de boulot.

Il me retira lentement la veste. La veste tombée au pied du sofa, j'apparus dans ma chemise blanche de smoking, sans manches, laissant mes bras nus.

- J'ai une solution pour ça : on va aller dans mon sauna.
- Tu as un sauna ?
- Hey, je sais accueillir mes invités moi.
- C'est top.
- Allez, va te changer dans la pièce à côté et rejoins-moi au sous-sol. Tu as tout ce qu'il te faut là-dedans.
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Jeudi 21 septembre 4 21 /09 /Sep 14:36
Il avala d'un trait son whisky.

- Tu viens directement du boulot là ?

Je mentis :

- Oui, une amie m'a conseillé cette boîte mais elle m'a fait faux bond en milieu de soirée pour repartir.
- Pourtant, il me semblait que tu es arrivée seule.

Je bafouillais comme une gamine d'être surprise dans mon mensonge. Il continua :

- Tu n'étais pas au bar au coin de la rue, un peu plus tôt ?
- Euhh si ...

Voyant mon embarras, il détourna adroitement la conversation, et la passa dans le surréaliste futile.

- J'adore ta tenue, Flo.
- Pourquoi ? Elle est, on ne peut plus classique.
- En tout cas, pas en boîte.
- Oui, c'est vrai. C'est ma tenue de travail.
- C'est quoi ton job ?
- Je suis commerciale dans une boîte de vente de matériel médical.
- Ah ouais, c'est pour ça.
- Tu fais quoi, toi ?

Il me regarda furtivement avec un air méchant qui me fit peur et qui me fit comprendre qu'il n'aimait visiblement pas parler de son activité. La lueur disparut aussitôt et son regard redevint morne et perçant.

- Flower, c'est de quelle origine ?
- Anglais ... Mon père est anglais. Et toi ?
- Je suis congolais.
- Ah oui, c'est très joli.
- Tu y a été ?
- Oui, il y a quelques années, avec mon mari.
- Tu es mariée ?
- Oui.
- Et ça te dirait de le tromper ?

J'étais interloquée !

- Bien sûr que non !
- (Passant du coq à l'âne) Allez, viens danser ... Tu sais danser ?
- Oui un peu ...

Il se leva et m'entraîna par la main au milieu de la piste bondée : ses sbires firent de la place en bousculant quelques-uns qui s'y trouvaient. La musique était passée, comme généralement, en fin de soirée au zouk-love. Une cuisse coincée entre les miennes, la main droite posée sur mes fesses, et l'autre tenant ma main, François ondula au rythme de la musique, le corps collé tout au long du mien. Il dansait divinement bien et sans un seul instant penser à mettre de la distance entre nous, je me laissais emmener dans le tourbillon. Sa main derrière, quitta mes fesses pour s'insinuer sous ma jupe et se poser sur la couture de mon string. Je ne réagis absolument pas, continuant à danser collée à François.



A vrai dire, sans le savoir concrètement, j'allais tromper mon mari ... En tout cas, la première fois sans qu'il ne le sache et la première fois depuis que je me suis assagie, il y a trois ans. La vue de François, un peu plus tôt dans la soirée et ma frustration de ma vie de couple semblaient se liguer pour me faire fauter. J'étais subitement prise de remords. A ce moment, François posa ses lèvres sur mon cou qu'imperceptiblement je tendis à son baiser. Je fermais les yeux. Ma main quitta son dos pour exhaler mes cheveux blonds en cascade. Sa bouche remonta le long de son cou pour attrapper mes lèvres. Celles-ci s'ouvrirent naturellement pour accueillir sa langue dans ma bouche. Jamais je n'ai cédé aussi vite à un homme. Il ne s'est pas passé dix minutes depuis qu'il m'a invité à sa table. Puis je me réveillais brusquement. Je me détachais assez violemment de François et retournai m'asseoir, prise de remords. Je pensais à mon mari que je trompais d'ores et déjà. J'avais honte ! Comme une automate, je sortis mon portable et recherchai fébrilement le numéro de mon mari, parti trois jours plus tôt pour l'Asie du Sud-Est pour pleurer et me confier à lui. Il répondit, la communication était mauvaise mais sa voix grave résonna dans l'écouteur, rassurante. Par bribes, je réussis à capter quelque peu ce qu'il me dit malgré la musique assourdissante :



- Flo ?
- Mon chéri ... Ohh mon chéri ... Comme je suis heureuse de t'entendre
- Ma chérie, je t'ente ... tr ... mal.
- Je t'aime tu sais ...
- Qu ... t ... dis ?
- Je disais que je t'aime.
- ... t ...
- Je ne t'entends pas
- ... qu ...
- Ce n'est pas grave. Je suis désolée mon chéri ... Ne m'en veux pas.
- ... pas ... Répè ... t ... dis ?
- Je vais rentrer tout de suite. Il ne s'est rien passé.
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Jeudi 21 septembre 4 21 /09 /Sep 14:31
Il sortit le premier de la baignoire et sans s'essuyer, il alla se réinstaller sur le canapé en allumant une cigarette. J'admirais, un peu éblouie par la lumière qui se réverberait dans l'embrasure de la porte de la salle de bain, le corps dénudé de Nicolas. Je pris une serpillère et essuyai les flaques d'eau que Nicolas avait laissé en marchant sur le carrelage. Je tentais ensuite d'aller me blottir entre ses bras en attendant la fin du lavage mais il me repoussa sans ménagement. Finallement, j'allais m'asseoir sur le fauteuil en face, toujours nue, écartant et croisant les jambes pour tenter de susciter à nouveau le désir chez Nicolas avec le spectacle de mon sexe béant mais il resta parfaitement indifférent. Il repartit une heure après, une fois que j'ai rangé et plié leur linge dans son sac de sport.

Jamais ils ne firent l'acquisition d'une machine à laver comme il m'a dit au début. Si bien que je vis régulièrement Nicolas débarquer et me faire faire leur lessive. Mais jamais il ne me refit l'amour durant ses passages. Il prit plutôt ses aises au fur et à mesure que le temps avançait. Les commentaires sur mon "travail" fusaient :



- Tu feras attention avec les slips en dentelle ... Mélissa était furieuse la dernière fois, quand tu en as bousillé une ...

- Oui mon chéri, me contentais-je de répondre

D'autre part, Nicolas se servit parfois dans mon frigo pour récupérer à manger :

- Je peux t'en piquer ? On n'a pas eu le temps de faire les courses samedi dernier ... On s'est fait un week-end baise sans sortir de l'appart

- Oui mon chéri

Aujourd'hui, en y repensant, j'enrage de m'être laissé autant abuser ...
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Jeudi 21 septembre 4 21 /09 /Sep 13:21
Le week-end suivant, je revis Nicolas, mon ex ... Il passa à la maison soi-disant pour me rendre visite. En fait, la réalité était toute autre ... Mélissa, sa nouvelle petite amie, je le savais, était loin d'être une parfaite femme d'intérieur comme je pouvais l'être. Nicolas lorsque nous étions ensemble n'en foutait pas une, côté tâche ménagère. J'ai failli ne pas lui ouvrir. Je commençais, dès le pas de la porte, à l'insulter tout en pleurant ... Il me caressa la joue avec douceur pour me consoler. Je fondis ... Je le fis entrer. Il s'installa sur le fauteuil du salon et nous parlâmes de choses et d'autres. Il me baratina comme quoi, Mélissa et lui n'avaient pas eu le temps d'acheter des appareils et il me demanda de le dépanner pour la machine à laver. J'étais abasourdie ... Je voulais protester comme quoi, je n'étais pas leur boniche mais j'étais dans un tel desarroi depuis son départ que je me résignais : je pris le grand sac de sport. Je me mis moi-même des oeillères ... Je me dis que c'était pour rendre service et que la séparation ne devait pas nous empêcher de rester bons amis. La réalité est que je n'avais toujours pas fait le deuil de notre relation ... Je passais dans la laverie trainant le sac de Nicolas, trop lourd ... Ce salaud ne leva même pas le petit doigt pour m'aider : il lit tranquillement une des BD qu'ils n'avaient pas emporté tout en fumant une cigarette (il savait très bien que je ne supportais pas la fumée) ... Dans la laverie, je fis le tri des frusques de Nicolas et Mélissa avec un pincement au coeur : à côté des T-Shirts, des chemises et des pantalons, il y avait également leurs dessous. Mélissa avait de superbes dessous dont certains neufs, sans doute offerts par Nicolas qui en était friand. Une culotte en dentelle rouge était encore maculée du sperme de mon ex. Plongée dans mes pensées en observant la culotte de ma rivale, je n'entendis pas Nicolas entrer dans la laverie :

- Alors, tu t'en sors ?

Je sursautais ... Rouge de confusion, je remplis précipitamment le tambour et je lui répondis :

- Oui oui ... J'étais en train de réfléchir si tout passait en lavage normal ...

- Tu devrais en profiter pour laver ce que tu mets

Non, mais pour qui il se prenait ? Il poursuivit ...

- Si si je t'assure : tu économiserais un cycle de lavage



Joignant le geste à la parole, il releva ma robe d'intérieur et tira sur l'élastique de ma culotte. Hypnotisée comme une proie devant un python, je ne résistai même pas. Je relevais les jambes l'une après l'autre pour me dégager du carré de tissu à mes chevilles tandis que Nicolas, d'un geste sûr acheva mon effeuillage. Il lança avec désinvolture le carré de coton dans le tambour puis à travers ma robe, il dégrapha le soutien-gorge derrière mon dos. J'écartais les bras pour qu'il puisse le passer sous les bretelles des manches de ma robe. Je me sentais comme libérée d'un joug. Je constatais que la blessure était trop récente pour que je puisse opposer une résistance aux avances de mon ex. J'étais d'autant plus humiliée que je repensais à la culotte de Mélissa que je tenais entre mes mains quelques secondes plus tôt. J'essayais de reprendre mes esprits : je choisis le programme de lavage lorsque Nicolas releva ma robe et mit à nu mes fesses sans que je n'opposais toujours de résistance. Il se dégagea et s'enfonça comme naguère dans mon sexe martyrisé par la promesse de bonheur. Il me prit comme ça en levrette, tandis que j'étais appuyé sur la machine à laver, les larmes aux yeux de cette aumône qu'il m'offrait. Mon sexe l'accueillit avec volupté tandis que sa fausse brutalité m'arracha un grognement sourd de surprise autant que de contentement. Nicolas n'avait aucune délicatesse : il allait et venait avec une brutalité atténuée, mes seins libres, sous le rythme furent expulsés de sous ma robe et cognaient durement sur le haut de la machine à laver sans que mes bras ramenés devant, coudes appuyés, ne puissent les contenir. Mon sexe était béant et recevait son cadeau sans honte. Un filet de bave s'écoula de la commissure de mes lèvres et se mêlait à mes larmes puis tombait sur mon avant-bras droit. Nicolas sans sortir de moi me souleva au niveau des hanches et me porta jusqu'à la salle de bain. Les jambes balantes, je faisais l'effet d'une gargouille accrochée à son support ... Il entra avec moi, toujours accrochée à son pénis profondément enfoncé en moi, dans la baignoire. Je fis passer ma robe par dessus mes épaules tandis que Nicolas faisait couler l'eau de la baignoire. Toujours ainsi soudés, je m'occupai de retirer le T-Shirt trempé de Nicolas tandis qu'il se tortillait pour nous préparer un bain. Son pantalon fut dégagé difficilement. Nous fîmes ainsi l'amour longuement dans la chaleur de l'eau moussante. Ma peau se ramollit autant que ma volonté tandis que Nicolas, engoncé sous mes fesses usait et ré-usait de mon orifice vaginal durant ce qui me paraissait comme une éternité. Je jouis comme jamais je n'avais joui auparavant. Le vieil adage se vérifiait : "On n'appréciait pleinement que ce qu'on avait perdu". Mes yeux se fermaient en se crispant tandis que de la lave en fusion coulait dans mon ventre provoquant le plaisir sur chaque parcelle de ma paroi intime. J'étais heureuse à nouveau même si rien n'était réglé dans ma vie. Nicolas me donna un dernier coup de rein où il acheva de se déverser dans mon ventre, l'inondant encore un peu plus ... Ce faisant, il serra mes épaules graciles de ses mains puissantes, laissant des ecchymoses.
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Jeudi 21 septembre 4 21 /09 /Sep 13:17
Je venais de sortir de la dernière promo de l'IUFM et avais déménagé en compagnie de mon copain, Nicolas pour ma première affectation. J'étais prof de Français mais affectée dans un lycée de la banlieue parisienne, une ZEP (Zone d'Education Prioritaire). D'aucun qualifieraient de difficile de débuter ainsi une carrière de prof dans l'Education Nationale. Pensez donc : moi, jeune fille d'à peine 26 ans, débarquant de ma province du Nord natale affrontant la banlieue nord de Paris comme jeune prof ? Difficile en effet, mais très courant en vérité aussi nous avions été préparés à cette éventualité en dernière année d'IUFM. Non, non : ma rentrée était réellement difficile venant du fait que, coup de théatre, Nicolas m'annonça, la veille de la rentrée, qu'il me quittait après presque huit ans de vie commune. Il partait s'installer avec ma meilleure amie, Mélissa. Je n'avais jamais cru deux êtres si proches capables d'une telle trahison : j'étais KO, incapable de sortir du gouffre dans lequel on m'avait fourré la tête la première. Lorsque Nicolas, son sac de sport contenant ses affaires à l'épaule, partit, je me suis surprise, en pleurs, à genoux, à le supplier de rester. Il demeura inflexible. J'étais trop amoureuse et ça se voyait ... La vie n'avait plus aucun sens. Je me suis aperçue avec horreur que pour la première fois de ma vie, j'allais me retrouver seule et le vide était vertigineux.

Le lendemain, j'affrontais une rentrée particulièrement dure. Aucun signe de faiblesse ne doit transparaître aux yeux de ces élèves, pour la plupart incompétents et à moitié délinquants, sous peine de perdre de façon irrémédiable l'autorité que nous, profs, nous devons d'avoir. Pour moi, minée par ma rupture avec Nicolas, c'était perdu. On ne sait comment, mes élèves l'ont détecté : ils ont commencé fort leur travail de sape ... Lancer de portables, de sacs, d'objets en tous genres entre eux : c'était la pagaille totale. A bout, je suis sortie quelques instants de la salle de classe au bout d'une demi-heure pour aller m'isoler et pleurer dans la salle des profs. Pourquoi toutes les catastrophes de la Terre semblaient s'abattre sur moi ?

Les semaines s'écoulaient et rien ne s'arrangeait pour moi. Je n'avais plus aucune autorité sur quiconque. L'effet devenait même plus pervers que ça. Ces chahuts étaient immanquablement orchestrés par l'un de mes élèves (hélas le plus doué), Abdou, un Noir de 16 ans, taillé comme un athlète grec. C'est lui qui faisait la pluie et le beau temps. Aucun recours n'était à envisager contre lui : il était le plus doué de la classe, ce qui fasait rechigner le proviseur ou le principal à sévir contre lui. Ses notes avoisinnaient le 16/20 quelque soit la matière. Il était conscient de son impunité alors il jouait de son pouvoir sur ses camarades. Les garçons l'adulaient et les filles n'hésitaient pas à se frotter contre lui. Je ne tardais pas à éprouver une profonde antipathie vis-à-vis de cet Noir qui sapait mon autorité. Ces démonstrations de pouvoir ne passaient pas forcément par du chahut. Parfois, quand il jugeait ses camarades suffisamment excités, d'un geste, il les faisait tenir tranquile. C'était encore plus énervant pour moi car, moi, je n'avais aucun de ses pouvoirs. Au contraire, il suffisait que je réclame du calme pour que ça soit un facteur déclencheur de bordel. Dans ces cas, c'était Abdou qui gueulait un bon coup pour terroriser ses camarades et les faisait calmer ...
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Jeudi 21 septembre 4 21 /09 /Sep 13:14
Une histoire de prof ...

Une héroïne : Charlotte, une fille assez quelconque qui se fait entrainer vers les bas-fonds.

Bonne lecture

Flo
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Moi c'est Flower ... Je n'ai pas de talent particulier pour l'écriture mais j'adore la littérature érotique (et le sexe en général mais ça, vous verrez plus tard si vous êtes gentils). Aussi je me lance dans l'aventure du blog avec cette volonté.

Si le blog peut vous paraître décousu, c'est volontaire. J'aimerais le rendre un peu interactif et attractif. Votre mission, cher lecteur, consistera à assembler le patchwork des publications ... Vous verrez, ce n'est pas très difficile :)


Voilà et gros bisous de bienvenue.



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