Mardi 19 décembre 2 19 /12 /Déc 10:30
Je ne me suis pas évanouie mais j'ai sombré dans une sorte d'état catatonique où j'étais consciente de tout ce qui m'arrivait mais il me semblait me trouver complètement détachée de mon corps : j'eus un sourire entendu à chaque fois que le bras de Kassim s'abattait sur moi, jouissant d'une sorte de joie sadique à voir ce corps rebelle se faire corriger et se couvrir d'hématomes ...

Pour parachever son oeuvre de destruction, Kassim, ainsi que je l'avais espéré finit par me baiser comme la dernière des trainées. Commentant son dégoût de tremper son sexe dans ma chatte qu'il disait sentir la pourriture à force d'avoir servi à soulager tous les malades de Paris. Il avait beau affirmer être dégoûté, cela ne l'empêcha pas de faire durer son plaisir longtemps en allant et venant entre mes cuisses.

Il finit par grogner en se déversant abondamment dans mon ventre. Moi, je ne comptais plus mes orgasmes ...

Il se retira de moi en grommelant :

- J'éspère que tu es toujours safe, Charlie. Sinon, je te jure que ta mère ne reconnaitra plus ta sale petite gueule de putain.

Je m'enroulais autour de sa cuisse puis saisit son pénis dans ma bouche pour le nettoyer de nos sécrétions délicieuses. Non sans l'avoir rassuré auparavant :

- Mon dernier test SIDA est toujours négatif, murmurais-je ... Je l'ai fait avant de partir ...

Je lui prodiguais une fellation douce et langoureuse qui le fit encore éjaculer dans ma bouche après de longues minutes.

Enfin satisfait, Kassim m'écarta d'un dernier coup de pied qui m'arracha un jappement surpris :

- Ce n'est pas terminé Charlie ...

Les menaces indéfinies ne présageaient jamais rien de bon de la part de Kassim. Mais que pouvais-je y faire ?
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Vendredi 15 décembre 5 15 /12 /Déc 16:59
Les semaines qui suivirent ne me permirent pas de m'y retrouver.

Lorsque mon mari revient durablement travailler sur Paris, tout allait bien : j'étais l'épouse modèle et aimante qui parvenait à oublier l'existance de son amant. Il se posait bien sûr des questions sur mes activités durant son absence, remarquant que j'étais moins prolixe au téléphone depuis quelque temps mais il ne me soupçonna pas plus, me faisant confiance sur les explications que je lui fournissais.

François, de son côté, ne se soucia pas de me recontacter. Indifférent à mon existence ...

Malgré moi, je fis ce que je n'ai jamais aimé faire : je comparais mon mari et François. Je trouvais mon mari nettement moins séduisant maintenant du haut de ses cinquante-sept ans : ses rides qui me faisaient craquer par dessus tout me paraissaient brusquement pitoyables. Je n'aimais plus toucher sa peau qui me paraissait excessivement rèche et cendrée, comparé à la peau soyeuse de François. Son acharnement et son obsession à me faire l'amour à tout instant sans répit et sans jamais me laisser l'initiative me paraissaient subitement insupportables.

Je pris sur moi pour me raisonner et après quelque temps, il y eut un semblant d'arrangement dans mon esprit.
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Mardi 12 décembre 2 12 /12 /Déc 12:29
Le retour de cette escapade à Marrakech se fit du coup avec une certaine joie de retrouver mon homme. Qu'il était loin le temps où je paniquais rien qu'à l'idée de le voir.

Mais lui, si j'ai changé, ne changea pas. A peine entrée dans son appartement qu'il me tabassa avec rage : ma pommette éclata sous l'effet du premier coup de poing et comme un ver de terre, je rampais pour fuir la sentence. Mon sang se répandit comme une trainée de poudre sur mon passage ...

Il me poursuivit en m'arrachant les vêtements un par un ... Je finis par me retrouver dénudée avec des lambeaux qui jonchaient le sol de l'appartement ...

Il me hurla dessus :

- SALOPE !!! TU CROIS QUE TU PEUX TE CASSER COMME CA ET ME LAISSER EN PLAN ?! REPONDS-MOI SALE PUTE DE MERDE ...
- Je suis désolée, parvins-je à articuler ... Je croyais que ...
- Tu croyais ?! TU CROYAIS ??? TU N'EST PAS LA POUR CROIRE, RADASSE ... TU ES LA JUSTE POUR TON CUL !!! POUR QUE MES CLIENTS PUISSENT SE SOULAGER DEDANS ... TU NE SERS A RIEN D'AUTRE ... T'AS TOUJOURS PAS COMPRIS ?!
- Siii, pleurnichais-je avant de hocqueter sous l'effet d'un coup de pied bien senti au niveau de mes côtes ...
- Où tu as vu que tu pouvais décider d'aller où tu veux ?! Ici, c'est le Nègre qui décide et la Blanche qui est l'esclave ... Sale putain droguée ...

Une bave mousseuse ornait la commissure de ses lèvres tellement il était enragé. Je me soumis pour la énième fois ...

- Je ... j'ai compr ...

La table basse se fracassa sur mon dos, jetée par Kassim. Sa rage ne s'atténua toujours pas pour autant :

- TU AS COMPRIS QUOI, me hurla-t-il en me saisissant à la gorge pour me tirer de sous le sofa en dessous duquel je m'étais réfugiée ?

Seul un gargouillis sortit de ma bouche ... Je commençais à bleuir sous l'effet de la strangulation. Il désserra un peu son étreinte pour me laisser répondre ...

- Tu as compris quoi, répéta-t-il ?
- Je vous appartiens ...

Une gifle me fit voler encore ... Durant de longues minutes qui me parurent être une éternité, il me tapa dessus ... Mon sang gicla dans tous les sens ... Pas un seul moment, je ne hurlais, ayant déjà compris depuis longtemps que ce comportement décuplait sa violence.

J'avais fait la pire erreur de ma vie en partant quelques jours avec mes parents pour échapper quelque peu à la tension que provoquait en moi ce dégoût de la prostitution. Mais en même temps, en parallèle avec ce dégoût, subsistait, dominait, ce sentiment d'avoir Kassim dans la peau. Je ne pouvais plus l'en extraire, quand bien même je le voudrais.

Je lui appartenais : seul ce monstre dont je rêve qu'il calme sa violence au fond de mon ventre déciderait dorénavant de mon comportement au jour le jour ... Il me le fit comprendre durant ces longues minutes ultraviolentes ...
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Mercredi 6 décembre 3 06 /12 /Déc 13:50
L'après-midi fut passé à lézarder sur les plages normandes ... Une fois que l'extase sexuelle fut passé, je me suis remise à me poser des questions sur la viabilité de cette relation que j'aurais aimé être moins complexe ...

Etait-ce moi qui suis seulement volage ? Je n'ai pu m'y résoudre vu l'intensité de nos ébats avec François : ce n'était visiblement pas qu'un plan-cul ... Sinon, n'importe quel beau garçon m'aurait suffit sans que je n'aie besoin de prendre autant de risques ...

Etait-ce une vengeance par rapport à mon mari et ses relations extra ? Peut-être mais là non plus, la raison n'était pas satisfaisante sinon cela m'aurait ramené à la précédente explication ... Et puis, merde ! Je l'aime toujours malgré tout et la dernière chose que je lui infligerais serait une simple vengeance.

Etait-ce lié à François et à sa personnalité complexe faite de glace et de feu, d'indifférence et de passion ? Il est clair que cela m'est insupportable de ne pas le sentir en moi ... Il me surprend à chaque fois, en bien ou en mal mais cela abat mes défenses systématiquement.

Sans un mot, il me déshabilla presque brutalement d'une main. Offusquée, j'émis une protestation mais le vide de ses lunettes de soleil cachant ses yeux sembla rejetter aux oubliettes toute tentative de raison. Il ne se souciait ni du froid qui me saisit brusquement ni du regard ébahi des passants émitoufflés dans leurs manteaux, trop heureux de se repaître du spectacle de cette blanche à la peau bleuïe ou trop heureux de laisser libre cours à leur désapprobation.

Il se mit à me photographier sous toutes les coutures et ce n'est qu'au bout de quasiment une heure lorsque mes dents claquèrent et lorsque je menaçais de tomber en syncope qu'il m'autorisa à me précipiter sous mon manteau. Non sans m'avoir enjoint auparavant d'aller dans l'eau glaciale pour encore quelques clichés ...

Plus tard, je dus être allitée pour une pneumonie pour laquelle je n'arrivais même pas à en vouloir à François ... Pire, je n'osais même pas l'avouer à mon mari toujours absent ...
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Mardi 5 décembre 2 05 /12 /Déc 11:53
Ils m'avaient fait la surprise de m'offrir un voyage à Marrakech pour les accompagner ... A la fois pour m'avoir, chose qui n'est jamais arrivée depuis mon arrivée à Paris, et pour me faire changer les idées. J'acceptais avec joie leur invitation ...

Je sentais une sorte de gêne trouble par rapport à ma décision mais pour satisfaire à mes parents et pouvoir ainsi continuer à vivre ma double vie sans éveiller les soupçons, je savais que j'avais pris la bonne ...

Néanmoins, je n'osais toujours pas ne serait-ce que demander la permission à mon Homme de peur d'essuyer un refus de sa part ... C'est seulement juste avant de monter dans l'avion que, la voie tremblante, je lui annonçais que j'allais arrêter de travailler ... Je commençais à me lancer dans des explications fumeuses mais il me coupa :

-  Pas de problème, ma chérie, me répondit Kassim dans le combiné d'une voix doucereuse. Tu aurais juste dû me prévenir plus tôt que je m'organise ... Mais ce n'est pas grave ... Tiens, passe juste dès que tu reviendras, après tes cours pour qu'on voie avec ta remplaçante comment tu dois rattraper le temps perdu ...



Je raccrochais tellement contente ... Inconsciente de ce paradoxe étrange qui veut que Kassim soit aussi conciliant ...

A oublier les soucis et la peur, j'aurais dû me sentir soulagée mais c'est le contraire qui se produit.

Kassim me manquait ! Terriblement comme jamais ! La nuit, je pleurais toute seule dans ma chambre d'hôtel en pensant à lui.

Sur place, mes parents ne remarquèrent ni les traces de violence ni les piqûres qui marbraient mon corps à mon grand soulagement mais ils remarquèrent l'état de tristesse extrême qui m'avait envahi malgré mon air enjoué.

Je envoyais une carte à Kassim où je lui déclarais ma flamme dévorante : des larmes s'écrasèrent dessus, brouillant mon écriture.
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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 16:35
François écarta le pan de ma robe fendue pour ouvrir mes cuisses et s'y installer. Entretemps, il s'est dézippé le pantalon et avait sorti son arme absolue. Il cala son pénis contre ma vulve et poussa lentement. Mon corps fiévreux et frissonnant l'engloutit et il put profiter enfin de ma chaleur intime, tout au fond de mon vagin. J'entourais sa taille avec mes jambes, posant mes talons aiguille sur ses fesses musclées, clouée comme un papillon. Il m'embrassait la bouche, la joue, le front, obligé de reprendre son souffle entre deux. J'avais la tête renversée en arrière, la bouche ouverte, recherchant mon souffle. Il me besogna longtemps ... Il se releva tout en me relevant en me tenant par le cou. J'eus la vision de ma chatte plissée écartelée par cette matraque noire ce qui m'excita encore plus : je poussais un cri car une jouissance lourde m'emporta, dévastant mon ventre jusqu'au moindre de mes muscles. Je m'effondrais tandis que François se recoucha sur mon corps en reprenant son piston. J'avais mal aux cuisses écartelées par la masse de François mais je voulais qu'il continue. Il me fit encore jouir lourdement ...

Je jouissais sur commande ...

Je jouissais rien qu'à l'idée que François me possède. Mes orgasmes devinrent assez pénibles à avoir : ils devinrent un mélange sulfureux entre douleur et plaisir.

Encore des coups de reins, et encore un orgasme ponctué de hurlement strident qui dut réveiller tout l'hotel ... Personne ne m'avait fait jouir autant et si fortement ...

C'est seulement après une heure de sauvages empoignades que François se déversa enfin dans ma chatte, inondant les jeunes parois de mon vagin de son mâle jus. Moi, je ne suis plus arrivée à compter mes orgasmes. J'avais mal sur tout le corps comme si un rouleau compresseur avait déchiqueté chacun de mes membres.

Des larmes de douleur ruisselaient sur mon visage ... Au regard interrogateur de François, je l'embrassais en le remerciant éperdumment ...
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 11:25
un petit break dans le cheminement des histoires pour vous vanter les mérites d'un site, "L'Erobar" ... je suis allée m'y ballader et j'y ai passé un très bon moment : très complet et très "dépaysant" dirons-nous ... :) et félicitations à sam (le patron, barman ...) de part son concept original de nous parler de la chose ...

voilà, j'éspère que vous vous y plairez autant que j'ai pu l'être ...

allez-y : http://erobar.over-blog.com/
bisous

flower
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Vendredi 1 décembre 5 01 /12 /Déc 16:30
Je me ressaisis à nouveau en revenant à la réalité, au présent ...

Maintenant, plusieurs mois après mes débuts, le train-train m'avait endurci. Et mon statut de "mi-temps" me conféra une meilleure situation que mes consoeurs.

Une violente quinte toux me fit encore cracher du sang et arracher des larmes ... Je me rassurais juste en pensant que mon dernier test de dépistage des MST était, par chance, encore négatif ...

Oui ... Etait-ce rassurant ? On se raccroche à ce qu'on peut ...

"Et puis depuis une semaine, qui sait si parmi ceux qui m'ont essaimé, il n'y en a pas encore un qui porte des crasses dans sa bite ?" ... Je suis devenue aussi vulgaire que mes collègues tapineuses ... Peut-être moins ravagée (pour l'instant !) mais nous nous nourrissons des mêmes immondices sexuelles pour le portefeuille de notre Monstre pour qui je ne peux m'empêcher d'être follement amoureuse ...

Amoureuse malgré tout cela ... Malgré ce qui s'est produit il y a quelques mois ... Lorsque j'avais subi mon "baptême" ...

Un moment, j'avais pris la grosse tête en croyant que, seule parmi mes consoeur à divertir les client VIP de Kassim, j'étais un peu plus libre de sécher mon tapinage sans qu'il ne me tienne trop rigueur.

Je l'avais cru jusqu'à ces fameuses vacances scolaires de février.

Mes parents m'avaient offert une surprise ... Ils savaient que j'avais passé un mauvais moment suite à ma rupture d'avec Nicolas mais rien de plus.

Rien évidemment de ma toxicomanie ni ma nouvelle profession.

C'est d'ailleurs l'une des raisons qui m'a empêché de demander de l'aide, de suivre une cure : il y avait tant de gens à qui cacher ma monstrueuse réalité. Mes parents, mes collègues au lycée ...
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Mercredi 29 novembre 3 29 /11 /Nov 18:23
François réserva une chambre et comme des adolescents en quête de notre première expérience sexuelle, nous grimpâmes les escaliers en vitesse pour nous enfermer dans la chambre. Dès la porte refermée, je sautais au cou de François pour l'embrasser goulûment. Il me portait par mes fesses jusqu'au lit avant de se coucher sur moi.

Nos langues dansaient la gigue tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne. François me dépoitrailla en déboutonnant ma robe longue jusqu'au nombril, à tâtons. Mes seins sautèrent hors du vêtement pour s'écraser contre sa large paume qui en engloutit un. Puis tout en continuant à nous embrasser, il insinua sa main dans la fente de ma robe et me caressa à travers le string que j'avais emprunté à son ex. Un picotement de jalousie me prit au coeur en y pensant puis je levais une jambe pour lui permettre de dégager le fragile tissu hors de son support : il resta accroché à mon autre cuisse mais n'était plus désormais un rempart à ma féminité, prête à être outragée. Je mouillais comme une fontaine. Il abandonna ma bouche pour engloutir un sein. Je soupirais :

- Je t'aime ... Ohhh ... Je t'aime ...

J'étais emportée par la passion qui m'envahissait comme un raz-de-marée.
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 18:00
Le vent m'agressait la peau. Au bout d'une heure, je finis par lui murmurer :

- J'ai froid mon chéri ...

François me souleva du sol et me porta alors dans ses bras jusqu'à la route. Enfin je pus remettre mes chaussures pour marcher sur le bitume. Je ne savais pas où nous allons : je me contentais de suivre François qui me tenait par la main. Mes pieds me faisaient mal à force ... Je le tirais vers l'entrée d'un hotel :

- J'ai envie de toi

Je ne me reconnaissais plus : comment était-il possible que je sois obsédée par le sexe à ce point là ? Ou plutôt, la vraie question est : comment était-il possible que je sois obsédée par un homme à ce point là ? Certes, mon mari et moi sommes obsédés mais sur la coucherie, c'était toujours lui qui était à l'initiative. Et en tout cas, jamais je n'aurais interrompu une balade amoureuse en cours pour tirer un coup. Là, j'avais ce besoin irrépréhensible ; j'avais besoin qu'il me réchauffe dans ses bras, à l'abri des regards ; j'avais besoin d'aimer ; j'avais besoin de jouir pour étouffer ma culpabilité.
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
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Moi c'est Flower ... Je n'ai pas de talent particulier pour l'écriture mais j'adore la littérature érotique (et le sexe en général mais ça, vous verrez plus tard si vous êtes gentils). Aussi je me lance dans l'aventure du blog avec cette volonté.

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