Mercredi 2 avril 3 02 /04 /Avr 12:06
Je me devais de quitter Stan, ce garçon charmant qui partageait ma vie depuis deux ans ...

Je n'avais rien à lui reprocher : c'était une personne attentionnée et aimante dont toute femme rêverait de partager la vie.

Je me rappelle avoir été séduite en premier lieu par sa beauté éblouissante au détour d'un couloir de ma fac. Il m'avait parlé, j'en ai bafouillé. Il m'avait fait une cour assidûe, je n'ai pas été très longue à convaincre.

Je me rappelle les premières causes gauchisantes qui nous avait réunis mais était-ce réellement ces causes ou alors cet amour frais et entrainant, comme on en connait tous quelque part à l'adolescence, qui nous rapprochait tant ? Oui car je me souviens surtout du chavirement de mon coeur chaque fois que nous nous embrassions.

La suite fut également idylique : Stan était le premier à m'avoir convaincue qu'une vie à deux pouvait avoir un avenir, pour moi, tellement meurtrie de la vie.

Cela peut paraître futile mais il est le premier à avoir dompté le volcan qui grondait en moi et qui me poussait à multiplier les aventures destinées à éteindre le feu qui m'embrasait le ventre dès qu'un garçon me plaisait.

Stan était beau, performant, intelligent, cultivé ... N'en rajoutons plus, la coupe est pleine.

Même aujourd'hui, je ne peux m'empêcher de ressentir une nostalgie et une sourde excitation en me remémorant les moments où je me blotissais contre sa peau, où il me possédait sauvagement.

Et il m'aimait follement comme jamais on ne m'a aimée.

Mais sans doute que je n'étais pas faite pour cela ...

Puis mes démons avaient repris le dessus : les infidélités auprès d'hommes aimant me violenter ont refait surface et à nouveau, je suis redevenue accro aux orgasmes qui font mal ...

Puis cet étrange vieillard fantasmant sur mes pieds est apparu également et il est apparu que de lui, je ne pourrais plus m'en passer.

Oui, je me devais de quitter Stan car je ne voulais pas trahir son amour.

Je le lui annonçais un soir.

Je ne lui ai jamais connu une réaction si agressive : il a pleuré ; il m'a insulté ; il m'a frappé. Son désespoir lui brisait le coeur.

Après avoir arrêté de m'étrangler, las de mes supplications, il m'a arraché les vêtements et m'a violée ... longuement ... très longuement ... toute une partie de la nuit ...

J'ai sangloté en le suppliant d'arrêter, il a sangloté, incapable de jouir pour me humilier. Plus d'une fois, j'étais tentée de remiser ma décision ...

Mais au petit matin, bien qu'il m'ait fait jouir une dernière fois, je partis définitivement.
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Mardi 1 avril 2 01 /04 /Avr 13:50
Que pensez-vous de moi, Flower ? Laissez vos commentaires en me disant ce que vous pensez de moi. N'hésitez pas à relater tout ce qui vous passe par la tête à mon propos : appréciations, qualificatifs, questions (qui seront répondues et débattues bien sûr !)
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Mardi 1 avril 2 01 /04 /Avr 13:49
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Mardi 1 avril 2 01 /04 /Avr 13:40
Que pensez-vous de Charlotte, la petite prof, qui je vous rappelle est mon amie d'enfance ? Laissez vos commentaires en me disant ce que vous pensez d'elle. N'hésitez pas à relater tout ce qui vous passe par la tête à son propos : appréciations, qualificatifs, questions (qui seront répondues et débattues bien sûr !)
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Mardi 1 avril 2 01 /04 /Avr 11:44
Richard n'essaya jamais de profiter de la situation pour assouvir ses bas instincts sexuels, même s'il savait qu'il lui en aurait fallu de peu.

Non pas qu'il n'était pas intéressé par la chose ... Non, non !

Il avait le sentiment que faire perdurer cette incertitude érotique ne ferait que rendre plus intense cette relation. Il se contentait de me convaincre à chaque mot, à chaque phrase qu'il me vouait une passion qui allait au-delà du simple amour ou encore de la simple sexualité. Et moi, je me lassais faire petit à petit, même si la culpabilité de trahir mon compagnon, taraudait mon esprit.

Il opérait pour cela par petites touches, me complimentant sur ce qu'il aimait en moi. Cela se manifestait à chaque fois de manière étrange ...


Un jour, il me décrivit tout ce que ma peau, que j'avais très blanche, à la limite de la transparence, pouvait provoquer comme excitation extrême en lui. Ce faisant, je pouvais m'apercevoir de sa sincérité au vu de la bosse qui déformait son pantalon ... J'en étais gênée mais plus tard et de manière inconsciente, je me mis à ne plus porter en sa présence que de courtes robes, jupes ou autres tops à bretelles pour le laisser profiter du spectacle de ma peau albâtre.

Un autre jour, il me reparla de son fétichisme des pieds féminins ainsi que de la "perfection" de mes pieds. Je ne peux pas dire que je me sentais à l'aise ainsi : j'aurais nettement préféré qu'il se jette sur moi et me prenne plutôt que de l'écouter m'inséminer petit à petit ses fantasmes inavoués. Mais là également, sans m'en rendre compte, j'adoptais presque exclusivement sandales, mules afin de le laisser m'admirer encore plus ...

Un jour, il reparla - enfin - du soir où je lui ai offert mon string en plein milieu du resto. Il m'avoua avoir été excité violemment ce jour-là. Je lui souris tendrement.

Il aimait me scruter perpétuellement comme si son oeil était l'objectif d'un appareil photo. Me consommer ne semblait pas l'intéresser : il préférait imprimer chaque aspérité de mon corps dans son cerveau. J'étais déroutée ...

Puis un matin très tôt, alors que nous sortions de boîte de nuit, sous la lueur de l'aube, nous nous sommes assis dans l'herbe trempée par la rosée dans un parc. Notre conversation sombra petit à petit dans cet érotisme ambigü dont nous étions coutumiers maintenant.

- Tu sais que j'aime te mater jusqu'à m'en rendre malade, Flo ?
- Oui, je sais ...
- Ca ne te gène pas ?
- Si un peu ...
- Mais tu le fais quand même ! Et ça t'excite ?
- Je ne sais pas trop ...

Il se tut.

Je savais ce que je devais faire ... Lente et hésitante, je déboutonnais mon short puis le retirais. Ma dentelle s'enroula autour tandis  que je le faisais glisser le long de mes jambes. Une fois débarrassée de ce carcan, je déployais lentement mes jambes devant mon unique spectateur. Je fermais les yeux époustoufflée par mon audace ...
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Lundi 31 mars 1 31 /03 /Mars 16:56
Il s'appelait Richard.

Stoïque, Richard se contenta de caresser furtivement la fragile étoffe, et me lança son regard qui était devenu aussi acéré qu'une lame de rasoir. Puis il la rangea lentement dans la poche de son veston en hochant la tête ...

Il ne se passa rien de plus ce soir là à ma grande gène : je ne savais pas quelles seraient ces intentions futures mais je savais juste que par mon geste, je venais de céder le contrôle de mon sort à une tierce personne.

J'avais le confortable avantage de vivre une relation platonique où je pouvais confiner le rôle de cet homme à celui d'un amoureux transi n'osant franchir une barrière, et en un incroyable tournemain, je venais par mon geste d'accepter de rétrograder ma situation pour me mettre éventuellement sous la coupe de ses volontés ... ou de ses fantasmes.

Plus tard, dans mon lit aux côtés de mon compagnon qui dormait du sommeil du juste, je mesurais petit à petit l'horreur de ce que je venais de faire. Je n'arrivais toujours pas à comprendre la raison de mon geste, plus tôt dans la soirée : tout ce que je savais c'est qu'il m'avait été impossible de faire autrement à ce moment là.

J'aurais voulu lui dire par la suite que je regrettais ce que j'avais fait mais je n'osais pas ! De plus, Richard eut la délicatesse (ou la perfidie ?) de ne plus évoquer le sujet.

Nos relations redevinrent comme elles étaient avec cependant quelques infimes changements : il commença à émettre quelques souhaits quand aux tenues que je devais porter quand je sortais avec lui sans jamais me forcer à obtempérer. Et moi, inconsciemment, je me mis à satisfaire ses exigences tout en m'en défendant intérieurement.

Ses souhaits n'avaient rien de honteux ou d'équivoques pour les non-initiés mais voilà : l'été aidant, mes jeans-baskets furent peu à peu remisés au placard pour faire place aux robes légères et - surtout, pour satisfaire son fantasme secret - sandales ou autres chaussures nus-pieds.

Je le voyais jubiler à chaque fois qu'il jetait un oeil à mes jambes ...

Sans vraiment m'en rendre compte, je deviens une poupée que l'on vêtit à souhait. L'idée en soi me perturbe mais ça n'arrive que quand je suis en crise de conscience ... et ça ne dure que quelques minutes.
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Lundi 31 mars 1 31 /03 /Mars 12:18
Peu à peu, nous dévelopâmes une amitié assez fusionelle et quelque peu ambigüe ...

Les mains s'effleuraient, les bisous devenaient plus appuyés mais pas plus. On feignait de n'y voir que de la coïncidence.

Cette situation ne m'effrayait pas et même plus : les jeux de séduction à fleurets mouchetés me plaisaient.

Je n'ai jamais eu l'intention réelle à ce moment là de passer outre mais un soir, je ne sais pas ce qu'il m'est passé par la tête ...

Etait-ce cette pression des sous-entendus perpétuels ?

Etait-ce parce que ma situation conjugale partait à vau-l'eau ? Mon compagnon était tout ce qu'une femme pouvait désirer mais j'avais l'impression d'être étouffée avec lui ...

Etait-ce par cette volonté de briser un tabou ?

Ou était-ce pour une raison bien plus terre-à-terre, à savoir un état émméché après une soirée plus qu'arrosée ?

Je ne l'ai jamais réellement su ...

Nous étions, mon confident et moi au dessert d'un dîner en tête-à-tête comme nous avions coutume de faire depuis plusieurs mois. J'avais brusquement d'énormes bouffées de chaleur qui m'irradiaient le corps, la tête ...

Comme dans un rêve que je n'ai jamais su expliquer, je me suis levée et partie aux toilettes.


Lorsque je revins, je posais tranquillement sur la table devant lui un symbole qu'il s'était juré d'obtenir en guise de trophée : mon string détrempé que je venais de retirer !
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Jeudi 27 mars 4 27 /03 /Mars 14:34
Cela faisait maintenant un mois que je me suis installée chez François, entrecoupé en cela par un retour au bercail dès que mon mari revenait sur Paris. Mais hélas, ce dernier fait ne pouvait jamais durer car mon mari est tout le temps en voyage à nouveau. Je tentais de persuader mon mari de prendre des vacances pour qu'on puisse partir tous les deux durablement mais c'était particulièrement la mauvaise période. Lui restait toujours ignorant de mes crimes. Ca ne rendait nos ébats que plus passionnés ... enfin pour lui car moi, je le trouvais insipide comparé à François. Il détecta néanmoins une amorce de déprime chez moi et ça ne le rendait que plus triste de devoir partir. Mais il partait ... Et je fus "obligée" d'aller retourner m'installer chez mon amant pour oublier ... pour étouffer ma culpabilité dans ses bras.

Je délaissais Emilie qui s'énerva de ne plus pouvoir passer ne serait-ce qu'une soirée avec moi. Je déclinais tout le temps les soirées entre filles en invoquant de faux prétextes. Elle finit par me coincer en débarquant au bureau un midi : nous déjeunâmes ensemble et sous son insistance, je finis par lui tout lui raconter. Emilie en fut estomaquée ! Elle ne réussit pas à avaler la fin de son repas ... Elle m'embrassa pour me réconforter mais hélas, je devais retourner au travail. Elle repartit en me faisant promettre de se téléphoner pour en discuter plus longuement. Elle se leva pour partir et en m'embrassant :

- Je t'aurais bien proposé de nous voir un soir pour en discuter mais ...
- Je ne peux pas ...
- C'est lui qui t'en empêche ?
- Non, même pas ...
- C'est bien ce qu'il me semblait ... On en discutera demain au téléphone ...

"Demain", c'était samedi. Emilie me téléphona en début de soirée.
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Jeudi 27 mars 4 27 /03 /Mars 11:04
Le temps que mon mari fut absent, je revins chez François tous les soirs et finis par m'installer chez lui lorsque j'étais célibataire, faisant le trajet tous les soirs et tous les matins. Je lui ramenais même mon chat ...

On vivait le bonheur simple d'un couple au summum de l'amour, alternant les balades, l'amour et le quotidien de la vie. Je n'attendais qu'un signal de François pour tout quitter pour lui. Lui se contentait de vivre au jour le jour la jouissance de notre relation, indifférent à mon désarroi, mon attente.

Cela ne fit que rajouter à mon désarroi ... Pleurs, disputes et réconciliations encore plus torrides rythmaient notre vie de couple illégitime. Ces réconciliations brouillaient encore plus les cartes dans mon esprit.

Comment cela va-t-il se terminer ?
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Mercredi 26 mars 3 26 /03 /Mars 11:32
Il ne répondit pas devant le ridicule de ma question. Il finit par s'endormir malgré mon insistance. J'allais fumer une cigarette dans le salon, nue devant la baie vitrée, éclairée par la lune. Cela avait quelque chose de grisant. Puis je retournais m'allonger à ses côtés et dans son sommeil, il m'entoura les épaules de son bras de façon protectrice. Toujours incapable de m'endormir, mon buste posé sur son torse, mes seins écrasés sur ses muscles, je jouais avec ses tétons en balançant les jambes, derrière moi. Il ne se réveilla même pas.

Vers six heures du matin, je me réveillais puis m'habillais sans qu'il ne se réveille. J'hésitais puis je griffonnais rapidement un mot que je lui posais sur sa table de séjour : "je reviens ce soir". Au pire, s'il n'était pas d'accord, il me téléphonerait pour m'envoyer balader ...

Il n'en fut rien.
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Moi c'est Flower ... Je n'ai pas de talent particulier pour l'écriture mais j'adore la littérature érotique (et le sexe en général mais ça, vous verrez plus tard si vous êtes gentils). Aussi je me lance dans l'aventure du blog avec cette volonté.

Si le blog peut vous paraître décousu, c'est volontaire. J'aimerais le rendre un peu interactif et attractif. Votre mission, cher lecteur, consistera à assembler le patchwork des publications ... Vous verrez, ce n'est pas très difficile :)


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