Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 20:00
Brusquement, je m'arrêtais : tout en tenant son pénis de ma main, je me retirais doucement, et baissant la tête, je fus à nouveau assaillie de doutes, me prenant la tête de l'autre main. Avoir un amant ... pourquoi pas ? Emilie les collectionnait bien. Elle semblait les butiner et les oublier aussitôt. Mais moi ? Je sais que je pourrais les collectionner aussi pour peu que je m'en donne la peine ... Et si c'est vraiment ce que je voulais ... Alors pourquoi la première idée qui me venait à l'esprit en Le revoyant est de lui administrer une fellation, chose que je n'aimais pas particulièrement faire, sauf à mon mari et encore, dans des conditions particulièrement propices ? Et puis pour en revenir à la question des amants, est-ce qu'avoir un amant était mon but ? Si oui, alors je n'aurais aucune raison d'être ici : François ou un autre ferait aussi bien l'affaire ... Etait-ce réellement pour me venger de mon mari ? Cela me ramènerait à la question précédente ... et toujours pas de réponse ... La tête me tournait ...



MAIS QU'EST-CE QUE JE FAIS ICI ???

Non ... En fait, QU'EST-CE QUE J'AI A ME POSER AUTANT DE QUESTIONS ?
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
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Mardi 13 mars 2 13 /03 /Mars 19:14
Maintenant, je ne sentais plus rien, je n'entendais plus rien. Je me sentais comme enveloppée par un voile de coton. Même les ronflements à côté semblèrent disparaître, laissant place au lent et régulier bruit humide qui accompagnait chaque lent coup de rein d'Abdou qui s'enfonçait dans mes entrailles ouvertes.

Je fermais les yeux en espérant que sa relative inexpérience puisse rendre mon supplice moral le plus court possible. Mais il n'en était rien : si je le sentais au bord de la jouissance à chaque seconde, il arrivait toujours à se maîtriser. Il m'avait saisi les hanches graciles pour me mettre en position de chienne, à quatre pattes ... Je l'entendais haleter, prêt à rompre mais il ne faisait que plier ...

Ses camarades étaient bouche bée devant ce qui leur semblait toujours impossible : baiser leur prof ... Abdou leur montrait le chemin ... Mon chemin ... Je reconnais cependant à Abdou cette volonté de ne pas me brutaliser, de procéder en douceur ... Il me murmura à l'oreille :

- Vous aimez Mademoiselle Gauthier ? J'aime vous faire l'amour. J'ai envie de vous faire jouir ...

Impossible de lui expliquer ma douleur morale, rendant impossible toute idée de jouissance ... Plus grave encore : impossible de lui expliquer que seul Kassim et sa bestialité sauvage pouvait réussir cet exploit ...

Je voyais mes deux autres élèves s'approcher tout prêt de moi pour observer mon visage, qui redevint du coup sanglottant, terrassé par la honte de n'être plus rien qu'une bête de somme à observée ... C'est la honte de n'être plus rien ...
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Jeudi 15 février 4 15 /02 /Fév 18:53
Je fus tiré de mon lourd sommeil par ...

- Non, murmurais-je ...

Sans voir quoi que ce soit, dans la pénombre de la pièce, je me doutais à qui était cette main douce et juvénile qui me tirait de mon sommeil ...

Une main tira doucement les cheveux ...

Une autre m'écarta les cuisses ...

Etrangement, cette absence de violence me terrorisait plus que tous les viols que j'avais subi et que j'aurai à subir ...

- Non Abdou ... s'il te plait ...

Je lui saisis le poignet dans une attitude ambigüe, croisement entre maternalisme et soumission.

- N'ayez pas peur Mademoiselle Gauthier ...

Le ton contrit de mon élève et le silence de ses camarades rendait touchante la scène. Il poursuivit :

- Je serai plus doux que tous les autres ...

La main se fit plus ferme sur mon épaule ... Rien ne le ferait renoncer à sa proie. L'attrait de ma chair blanche est une récompense trop alléchante pour cela. Rien et moi je n'avais plus aucune force pour me soustraire à ce jeune mâle qui voyait, subconsciemment, en cette occasion la possibilité de défier l'autorité du mâle dominant qu'est Kassim, en ensemençant sa femelle ... Fusse-t-elle la pute la plus hideuse que j'étais devenue ...

Je vivais résignée maintenant cet étrange paradoxe qui faisait de moi à la fois une déesse taboue objet de désir de mes trois élèves et l'esclave de leurs pulsions qu'ils étaient décidés à assouvir ...

J'entendais les ronflements des autres hommes dans la pièce annexe ...

Abdou me maintint allongée sur le ventre tout en se glissant entre mes cuisses ouvertes ... Soyeusement, il s'insinua lentement dans mon ventre. Endolorie par les dizaines d'hommes qui m'ont violée depuis mon arrivée, je ne sentais plus rien ... Seule l'humiliation de subir les assauts d'un élève me faisait sangloter doucement. Nous tombâmes sur la moquette grise et Abdou formait une carapace sur mon corps étalé sur le ventre.

Son rêve se réalisa avec délectation en se sentant profondément fiché au fond de mon ventre ...
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Mardi 13 février 2 13 /02 /Fév 18:36
Je conduisais avec une vitesse folle, ramenant les deux heures de trajet à, à peine, une heure un quart. Dès que j'engageais ma BMW sur la petite route sombre, le portail de chez François s'ouvrit et la cour s'éclaira. Je calais et redémarrais ma voiture avec des insultes vulgaires peu communes venant de ma part. C'est dire si j'étais dérangée ! Des tics de nervosités agitaient mon visage régulier lorsque je vérifiais mon maquillage dans le rétroviseur.

Il m'attendait debout sur le perron. Je me jettais à son cou, le couvrant de baisers auxquels il répondit tant bien que mal. Puis je me laissais glisser par terre, déboutonnant sa chemise sans qu'il ne fasse rien pour m'en dissuader malgré le froid. Je m'accroupis et fébrilement, dégraphais son pantalon, extrayant sa matraque molle, que je me mis à avaler avidement. Avaler ...

Enfin, j'ai un peu présumé de mes capacités : même au repos, il m'était impossible de l'engloutir entièrement dans ma bouche. Il prenait peu à peu vie dans ma bouche. François se laissait toujours faire, satisfait.
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
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Vendredi 2 février 5 02 /02 /Fév 14:56
Merci de votre participation à notre premier sondage sur la dualité des deux séries en cours sur ce blog. Les résultats montrent que vous avez massivement préféré "La Prof" ...

- La Prof : 74%
- Confessions d'une femme adultère : 26%

Je solliciterai néanmoins votre avis pour les plus courageux de nous expliquer à tous les raisons qui ont poussé votre choix (par mail ou en commentaire) et ainsi, je me ferai un plaisir de publier et commenter égelement sur vos choix ...

Bisous

Flower
Par Flower - Publié dans : Flower - En apparté
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Vendredi 2 février 5 02 /02 /Fév 14:51
Mais tout cela, au final, me semblait si peu de chose à côté de ce qui m'attendait.

Le viol collectif, c'est mon quotidien ...

La tournante, c'est pour moi, l'équivalent des gammes pour un pianiste ...

Si des mauvaises pensées dues au désespoir m'assaillent régulièrement, j'ai appris à vivre avec ...

J'avais depuis longtemps accepté d'être l'esclave soumise du pire des proxénètes ... Pire, j'en étais amoureuse à en crever. Je l'avais dans la peau. J'avais accepté, non plus forcée, mais pour mériter sa considération, de mettre mon corps de petite blanche bourgeoise provinciale au service de l'assouvissement de la barbarie sexuellement dominante de ses clients.

Mais la contrepartie tacite était que je puisse maintenir mon vernis social d'enseignante. Kassim faisait peu de cas de cette bouée de sauvetage et je savais, même si je refusais de me l'avouer, qu'opportunément, il me le ferait sauter également ...

C'est vrai au fond ! Quelle crédibilité pouvais-je faire valoir en tant que prof, alors même que tous mes élèves connaissaient ma vie parallèle ? Je sentais les ricanements quand bien même je feignais de les ignorer ...

Mais si Abdou et ses camarades franchissaient le pas ...

Ils allaient le faire même si des hésitations leur taraudaient l'esprit ... L'occasion est trop belle pour eux ... Mon visage strié de larmes et mes fesses rougies, ouvertes étaient un appel à l'éveil de leur sexualité, au franchissement du tabou ... Ils attendaient leur tour.

Et cette éventualité est l'apothéose de ma déchéance : une prof qui va se faire violer par ses élèves, faisant acte de soumission n'en était définitivement plus une ... Et cette finalité me terrorisait ... à en vomir ...

J'aurais préféré continuer à me faire déchirer par un millier des clients de Kassim d'un coup plutôt que ces trois adolescents aux abois puissent me faire l'amour de manière tellement maladroite que je ne ressentirais même pas leur contact physique ...

Plusieurs heures de ces macabres viols ont achevé de m'épuiser. Comme par magie, mes multiples amants ont conjointement choisi de me laisser me reprendre et comme un vieux chien paralytique, je rampais vers un sofa laissé à mon usage ... Sur mon passage, une trainée liquide marqua le sol, comme si je perdais le fluide de ma vie ...

La pièce se vida de tout le monde sauf des trois adolescents toujours acroupis dans un coin comme des hyènes à l'affût du moment où leur proie poserait un genou à terre ...

Je rassemblais mes dernières forces pour leur lancer une supplique :

- S'il vous plait les garçons ... Ne me faites pas ça ...

Je m'interrompis devant le vide de l'expression de leur visage ...

Résignée, je me hissais péniblement sur le sofa et, choisissant de profiter de mon répit, je me laissais gagner par un sommeil peuplé de cauchemards.
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Lundi 15 janvier 1 15 /01 /Jan 17:40
Le viol en réunion fut méthodique.

Déjà dans un état second, je sentis la première épée de chair me transpercer ... J'eus mal ... Je n'eus pas le temps de panser ma douleur car un autre le remplaça bientôt ... Puis encore un autre ...

Seul visage connu, un peu rassurant que mes yeux brouillés de larmes fixaient : Abdou et mes deux autres élèves ... C'était stupide car ils étaient là pour les mêmes raisons que les "grands" ... Ils attendaient seulement leur tour ... Un peu de disponibilité de mon corps ... Ils allaient attendre longtemps car comme dans toute meute, les plus puissants se servaient en premier.

Cela a duré des heures ...

D'autres "amis" de Kassim arrivèrent au fur et à mesure que d'autres repartaient ... Ils ne venaient que pour un seul but : me violer ; vider leur semence dans mes orifices. Des fois me taper ... Comme ça, pour le plaisir ... Puis repartir ... Ils avaient rempli leur mission et moi, je restais ... Je restais pour les autres ...

J'étais malade, épuisée, meurtrie mais ils n'en avaient cure de mes sanglots ... Ils se sont servis de mon corps durant plus d'une journée ainsi ... Dans mon cauchemar second, je dus apercevoir l'affichage d'une horloge murale ... J'ai perdu le fil du temps au bout de la treizième heure ...

Je sanglotais toujours mais mes larmes ne coulaient plus ...

Le suicide ... J'y pensais à chaque fois qu'un objet contondant me forçait l'un ou l'autre orifice mais immobilisée sous les corps de mes violeurs, même cela m'était interdit ... C'était la première fois que j'y pensais ... J'y pensais comme une délivrance mais elle était tellement loin ... D'autant qu'une pudeur ridicule me retint également : j'étais toujours l'enseignante de trois de mes violeurs aussi je ne dois pas leur faire montre de faiblesse ... Ridicule vous disais-je ...

Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Jeudi 11 janvier 4 11 /01 /Jan 17:35
Une ferme ...

La ferme du cauchemar ...

C'était plutôt une grange désaffectée au milieu des champs ... Au milieu de nulle part ... Une voiture nous attendait déjà.

L'un des sbires de Kassim se tourna vers moi, au bord du vomi ...

- Bienvenue chez toi salope ...

J'osais timidement une question ...

- Qu'allez-vous me faire ?
- Kassim veux te corriger et nous on est là pour ça ... Tu n'es pas d'accord ?
- ...

Une giffle ... Forte ! Ma tête pivota sous le choc violent.

- Tu n'es pas d'accord ?
- Si ...
- Bien. Puisque tu le réclames ...

On me déttacha les chevilles.

Je descendis du véhicule. Mon coeur chavira à la vue des occupants de l'autre voiture ... Abdou ! Mon élève ... Son regard plutôt bienveillant habituellement à mon égard était cette fois-ci dur est impitoyable. Il était accompagné de deux de ses camarades, deux autres élèves à moi. Le conducteur de la voiture qui m'a emmené poursuivit.

- Tu ne voulais pas rater tes cours alors on t'a amené tes élèves ...

Si mes élèves franchissaient la barrière que j'avais réussi à tout de même instaurer entre ma profession de prof et leur statut d'élève, alors je suis perdue ... Et ils en avaient l'intention visiblement. Toute once de dignité sociale allait disparaître ce soir quand Abdou verra sa prof se faire torturer et qu'il allait être un de mes bourreaux.

Je hurlais lorsque je vis Abdou s'approcher de moi :

- NOOON ... S'il vous plait ... Pas ça ... Pas ça ...

Je parlais dans le vide : mon sort était déjà scellé depuis longtemps. Les mains toujours ligotées, je vis Abdou me prendre dans ses bras et m'embrasser comme un amoureux transi.

- N'ayez pas peur Mademoiselle Gauthier ... Ca va bien se passer.

Sanglots !

Je sentais déjà son érection juvénile appuyer ostensiblement contre mon ventre. Cette érection symbolisait toute ma déchéance, tout son triomphe, tout le triomphe de Kassim. Abdou bandait d'avoir brisé tout les tabous qui nous séparaient ...

Ca n'a pas tardé, trois semaines entre les mains de ces six mâles en rut allaient commencer.

On m'installa rapidement dans la grange étonnamment aménagée pour un endroit aussi isolé.

Rapidement, des mains me déshabillèrent et on m'embrassait déjà partout ...

Petit à petit, mes vêtements disparurent, en lambeaux ...
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Mercredi 10 janvier 3 10 /01 /Jan 16:22
Mais après plus d'un mois de comportement assagi de ma part à ses côtés, mon mari dut à nouveau repartir pour toute une série de voyages professionnels d'une à plusieurs semaines. Je ne tins bon que le premier week-end. Dès le lundi suivant, j'appellais François qui était aussi calme que si on s'était vus la veille :

- Oui
- Je peux passer ce soir ?
- A partir de dix heures ...

C'était tout. Je raccrochais anéantie comme si un immeuble m'était tombé sur la tête. La journée se passa dans une torture incommensurable. L'anxiété me donnait des colliques ... Mon assistant étudiant, qui sur quelques mots plus ou moins osés avait exprimé son désir pour moi, était aux petits soins avec moi, rattrapant les bêtises que je pouvais faire. Je restais tard au boulot, appellant ma voisine pour lui demander de nourrir mon chat car je n'avais aucune envie de me retrouver seule chez moi ... Il était déjà neuf heures du soir lorsque j'éteignis mon ordinateur. J'avais emporté en prévision une tenue me mettant en valeur, jupe longue fendue et caraco m'évasant la poitrine : j'allais m'enfermer dans les toilettes pour me changer. J'étais dénudée lorsque je me rendis compte ...

Un de mes bas a filé ... Je pris une rechange dans mon sac et pris mon temps pour me le passer.
Je voulais être la plus belle pour Lui ... S'en souciait-Il ? Peu importe, je voulais que mon corps lui fasse honneur lorsque je Lui demanderai de me prendre sauvagement.

Je commençais à remettre ma culotte lorsqu'une crise de nerfs m'emporta, torturée d'être ainsi écartelée entre la Morale et le Plaisir. De rage, je jettais finalement ma culotte dans la cuvette puis tirait la chasse d'eau comme pour annihiler cette vague de pudeur que je voudrais extraire de mon esprit ... Je fis également un tas du tailleur que j'avais porté toute la journée pensant le jetter dans la benne du parking de mon bureau.

Je redevenais midinette et ça m'énervait ...
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
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Jeudi 4 janvier 4 04 /01 /Jan 16:05
Que faire ?

Rien ...

Attendre ...

Kassim passa quelques coups de téléphone tout en me gratifiant de coups de pieds de temps en temps. Il raccrocha enfin ... Son regard insondable se tourna vers moi : vide comme la mort ; insensible à la macabre passion qui me liait à lui.

- Tu vas à la ferme pour trois semaines. Tu pars demain soir ...

Le sol se déroba. Une sorte de centre de redressement pour les prostituées de Kassim. J'en avais entendu parler : une fille n'en est jamais revenue, d'autres littéralement massacrées mais une sorte d'aura de mystère entourait la légende de cette "ferme". Celles qui en sont revenues  Je m'efforçais de gommer le bégaiement terrorisé qui me saisit à la gorge :

- Et mon emploi du temps ? Mes élèves ...

- T'inquiète pas, tu vas les retrouver tes putains d'élèves et plus tôt que tu ne le crois ... Quand au reste, je m'en fous. Démmerde-toi sinon je t'arrache de ton lycée et tu deviendras pute à plein temps. Tu préfères peut-être ?

- Je m'arrangerai ...

Le lendemain, j'avais à peine fini mes cours et je rangeais des affaires dans la salle des profs lorsque trois sbires débarquèrent. Je savais qui les envoyaient et c'est terorisée mais résignée que je me suis laissée ligoter pour être emmenée dans leur limousine. Fort heureusement, plus personne ne hantait mon lycée vu l'heure tardive ...

Toute la nuit, la limousine roula vers le centre de la France ... J'étais coincée entre deus malabars.

Un silence assourdissant envahit la voiture durant toutes ces heures passées.
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Qui suis-je ?

Moi c'est Flower ... Je n'ai pas de talent particulier pour l'écriture mais j'adore la littérature érotique (et le sexe en général mais ça, vous verrez plus tard si vous êtes gentils). Aussi je me lance dans l'aventure du blog avec cette volonté.

Si le blog peut vous paraître décousu, c'est volontaire. J'aimerais le rendre un peu interactif et attractif. Votre mission, cher lecteur, consistera à assembler le patchwork des publications ... Vous verrez, ce n'est pas très difficile :)


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