Jeudi 11 janvier
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17:35
Une ferme ...
La ferme du cauchemar ...
C'était plutôt une grange désaffectée au milieu des champs ... Au milieu de nulle part ... Une voiture nous attendait déjà.
L'un des sbires de Kassim se tourna vers moi, au bord du vomi ...
- Bienvenue chez toi salope ...
J'osais timidement une question ...
- Qu'allez-vous me faire ?
- Kassim veux te corriger et nous on est là pour ça ... Tu n'es pas d'accord ?
- ...
Une giffle ... Forte ! Ma tête pivota sous le choc violent.
- Tu n'es pas d'accord ?
- Si ...
- Bien. Puisque tu le réclames ...
On me déttacha les chevilles.
Je descendis du véhicule. Mon coeur chavira à la vue des occupants de l'autre voiture ... Abdou ! Mon élève ... Son regard plutôt bienveillant habituellement à mon égard était cette fois-ci dur est
impitoyable. Il était accompagné de deux de ses camarades, deux autres élèves à moi. Le conducteur de la voiture qui m'a emmené poursuivit.
- Tu ne voulais pas rater tes cours alors on t'a amené tes élèves ...
Si mes élèves franchissaient la barrière que j'avais réussi à tout de même instaurer entre ma profession de prof et leur statut d'élève, alors je suis perdue ... Et ils en avaient l'intention
visiblement. Toute once de dignité sociale allait disparaître ce soir quand Abdou verra sa prof se faire torturer et qu'il allait être un de mes bourreaux.
Je hurlais lorsque je vis Abdou s'approcher de moi :
- NOOON ... S'il vous plait ... Pas ça ... Pas ça ...
Je parlais dans le vide : mon sort était déjà scellé depuis longtemps. Les mains toujours ligotées, je vis Abdou me prendre dans ses bras et m'embrasser comme un amoureux transi.
- N'ayez pas peur Mademoiselle Gauthier ... Ca va bien se passer.

Sanglots !
Je sentais déjà son érection juvénile appuyer ostensiblement contre mon ventre. Cette érection symbolisait toute ma déchéance, tout son triomphe, tout le triomphe de Kassim. Abdou bandait d'avoir
brisé tout les tabous qui nous séparaient ...
Ca n'a pas tardé, trois semaines entre les mains de ces six mâles en rut allaient commencer.
On m'installa rapidement dans la grange étonnamment aménagée pour un endroit aussi isolé.
Rapidement, des mains me déshabillèrent et on m'embrassait déjà partout ...
Petit à petit, mes vêtements disparurent, en lambeaux ...
Exprimez-vous ...