Mardi 19 décembre
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10:30

Je ne me suis pas évanouie mais j'ai sombré dans une
sorte d'état catatonique où j'étais consciente de tout ce qui m'arrivait mais il me semblait me trouver complètement détachée de mon corps : j'eus un sourire entendu à chaque fois que le bras de
Kassim s'abattait sur moi, jouissant d'une sorte de joie sadique à voir ce corps rebelle se faire corriger et se couvrir d'hématomes ...
Pour parachever son oeuvre de destruction, Kassim, ainsi que je l'avais espéré finit par me baiser comme la dernière des trainées. Commentant son dégoût de tremper son sexe dans ma chatte qu'il
disait sentir la pourriture à force d'avoir servi à soulager tous les malades de Paris. Il avait beau affirmer être dégoûté, cela ne l'empêcha pas de faire durer son plaisir longtemps en allant et
venant entre mes cuisses.
Il finit par grogner en se déversant abondamment dans mon ventre. Moi, je ne comptais plus mes orgasmes ...
Il se retira de moi en grommelant :
- J'éspère que tu es toujours safe, Charlie. Sinon, je te jure que ta mère ne reconnaitra plus ta sale petite gueule de putain.
Je m'enroulais autour de sa cuisse puis saisit son pénis dans ma bouche pour le nettoyer de nos sécrétions délicieuses. Non sans l'avoir rassuré auparavant :
- Mon dernier test SIDA est toujours négatif, murmurais-je ... Je l'ai fait avant de partir ...
Je lui prodiguais une fellation douce et langoureuse qui le fit encore éjaculer dans ma bouche après de longues minutes.
Enfin satisfait, Kassim m'écarta d'un dernier coup de pied qui m'arracha un jappement surpris :
- Ce n'est pas terminé Charlie ...
Les menaces indéfinies ne présageaient jamais rien de bon de la part de Kassim. Mais que pouvais-je y faire ?
Exprimez-vous ...