Charlotte - La Prof

Jeudi 15 février 4 15 /02 /Fév 18:53
Je fus tiré de mon lourd sommeil par ...

- Non, murmurais-je ...

Sans voir quoi que ce soit, dans la pénombre de la pièce, je me doutais à qui était cette main douce et juvénile qui me tirait de mon sommeil ...

Une main tira doucement les cheveux ...

Une autre m'écarta les cuisses ...

Etrangement, cette absence de violence me terrorisait plus que tous les viols que j'avais subi et que j'aurai à subir ...

- Non Abdou ... s'il te plait ...

Je lui saisis le poignet dans une attitude ambigüe, croisement entre maternalisme et soumission.

- N'ayez pas peur Mademoiselle Gauthier ...

Le ton contrit de mon élève et le silence de ses camarades rendait touchante la scène. Il poursuivit :

- Je serai plus doux que tous les autres ...

La main se fit plus ferme sur mon épaule ... Rien ne le ferait renoncer à sa proie. L'attrait de ma chair blanche est une récompense trop alléchante pour cela. Rien et moi je n'avais plus aucune force pour me soustraire à ce jeune mâle qui voyait, subconsciemment, en cette occasion la possibilité de défier l'autorité du mâle dominant qu'est Kassim, en ensemençant sa femelle ... Fusse-t-elle la pute la plus hideuse que j'étais devenue ...

Je vivais résignée maintenant cet étrange paradoxe qui faisait de moi à la fois une déesse taboue objet de désir de mes trois élèves et l'esclave de leurs pulsions qu'ils étaient décidés à assouvir ...

J'entendais les ronflements des autres hommes dans la pièce annexe ...

Abdou me maintint allongée sur le ventre tout en se glissant entre mes cuisses ouvertes ... Soyeusement, il s'insinua lentement dans mon ventre. Endolorie par les dizaines d'hommes qui m'ont violée depuis mon arrivée, je ne sentais plus rien ... Seule l'humiliation de subir les assauts d'un élève me faisait sangloter doucement. Nous tombâmes sur la moquette grise et Abdou formait une carapace sur mon corps étalé sur le ventre.

Son rêve se réalisa avec délectation en se sentant profondément fiché au fond de mon ventre ...
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Vendredi 2 février 5 02 /02 /Fév 14:51
Mais tout cela, au final, me semblait si peu de chose à côté de ce qui m'attendait.

Le viol collectif, c'est mon quotidien ...

La tournante, c'est pour moi, l'équivalent des gammes pour un pianiste ...

Si des mauvaises pensées dues au désespoir m'assaillent régulièrement, j'ai appris à vivre avec ...

J'avais depuis longtemps accepté d'être l'esclave soumise du pire des proxénètes ... Pire, j'en étais amoureuse à en crever. Je l'avais dans la peau. J'avais accepté, non plus forcée, mais pour mériter sa considération, de mettre mon corps de petite blanche bourgeoise provinciale au service de l'assouvissement de la barbarie sexuellement dominante de ses clients.

Mais la contrepartie tacite était que je puisse maintenir mon vernis social d'enseignante. Kassim faisait peu de cas de cette bouée de sauvetage et je savais, même si je refusais de me l'avouer, qu'opportunément, il me le ferait sauter également ...

C'est vrai au fond ! Quelle crédibilité pouvais-je faire valoir en tant que prof, alors même que tous mes élèves connaissaient ma vie parallèle ? Je sentais les ricanements quand bien même je feignais de les ignorer ...

Mais si Abdou et ses camarades franchissaient le pas ...

Ils allaient le faire même si des hésitations leur taraudaient l'esprit ... L'occasion est trop belle pour eux ... Mon visage strié de larmes et mes fesses rougies, ouvertes étaient un appel à l'éveil de leur sexualité, au franchissement du tabou ... Ils attendaient leur tour.

Et cette éventualité est l'apothéose de ma déchéance : une prof qui va se faire violer par ses élèves, faisant acte de soumission n'en était définitivement plus une ... Et cette finalité me terrorisait ... à en vomir ...

J'aurais préféré continuer à me faire déchirer par un millier des clients de Kassim d'un coup plutôt que ces trois adolescents aux abois puissent me faire l'amour de manière tellement maladroite que je ne ressentirais même pas leur contact physique ...

Plusieurs heures de ces macabres viols ont achevé de m'épuiser. Comme par magie, mes multiples amants ont conjointement choisi de me laisser me reprendre et comme un vieux chien paralytique, je rampais vers un sofa laissé à mon usage ... Sur mon passage, une trainée liquide marqua le sol, comme si je perdais le fluide de ma vie ...

La pièce se vida de tout le monde sauf des trois adolescents toujours acroupis dans un coin comme des hyènes à l'affût du moment où leur proie poserait un genou à terre ...

Je rassemblais mes dernières forces pour leur lancer une supplique :

- S'il vous plait les garçons ... Ne me faites pas ça ...

Je m'interrompis devant le vide de l'expression de leur visage ...

Résignée, je me hissais péniblement sur le sofa et, choisissant de profiter de mon répit, je me laissais gagner par un sommeil peuplé de cauchemards.
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Lundi 15 janvier 1 15 /01 /Jan 17:40
Le viol en réunion fut méthodique.

Déjà dans un état second, je sentis la première épée de chair me transpercer ... J'eus mal ... Je n'eus pas le temps de panser ma douleur car un autre le remplaça bientôt ... Puis encore un autre ...

Seul visage connu, un peu rassurant que mes yeux brouillés de larmes fixaient : Abdou et mes deux autres élèves ... C'était stupide car ils étaient là pour les mêmes raisons que les "grands" ... Ils attendaient seulement leur tour ... Un peu de disponibilité de mon corps ... Ils allaient attendre longtemps car comme dans toute meute, les plus puissants se servaient en premier.

Cela a duré des heures ...

D'autres "amis" de Kassim arrivèrent au fur et à mesure que d'autres repartaient ... Ils ne venaient que pour un seul but : me violer ; vider leur semence dans mes orifices. Des fois me taper ... Comme ça, pour le plaisir ... Puis repartir ... Ils avaient rempli leur mission et moi, je restais ... Je restais pour les autres ...

J'étais malade, épuisée, meurtrie mais ils n'en avaient cure de mes sanglots ... Ils se sont servis de mon corps durant plus d'une journée ainsi ... Dans mon cauchemar second, je dus apercevoir l'affichage d'une horloge murale ... J'ai perdu le fil du temps au bout de la treizième heure ...

Je sanglotais toujours mais mes larmes ne coulaient plus ...

Le suicide ... J'y pensais à chaque fois qu'un objet contondant me forçait l'un ou l'autre orifice mais immobilisée sous les corps de mes violeurs, même cela m'était interdit ... C'était la première fois que j'y pensais ... J'y pensais comme une délivrance mais elle était tellement loin ... D'autant qu'une pudeur ridicule me retint également : j'étais toujours l'enseignante de trois de mes violeurs aussi je ne dois pas leur faire montre de faiblesse ... Ridicule vous disais-je ...

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Jeudi 11 janvier 4 11 /01 /Jan 17:35
Une ferme ...

La ferme du cauchemar ...

C'était plutôt une grange désaffectée au milieu des champs ... Au milieu de nulle part ... Une voiture nous attendait déjà.

L'un des sbires de Kassim se tourna vers moi, au bord du vomi ...

- Bienvenue chez toi salope ...

J'osais timidement une question ...

- Qu'allez-vous me faire ?
- Kassim veux te corriger et nous on est là pour ça ... Tu n'es pas d'accord ?
- ...

Une giffle ... Forte ! Ma tête pivota sous le choc violent.

- Tu n'es pas d'accord ?
- Si ...
- Bien. Puisque tu le réclames ...

On me déttacha les chevilles.

Je descendis du véhicule. Mon coeur chavira à la vue des occupants de l'autre voiture ... Abdou ! Mon élève ... Son regard plutôt bienveillant habituellement à mon égard était cette fois-ci dur est impitoyable. Il était accompagné de deux de ses camarades, deux autres élèves à moi. Le conducteur de la voiture qui m'a emmené poursuivit.

- Tu ne voulais pas rater tes cours alors on t'a amené tes élèves ...

Si mes élèves franchissaient la barrière que j'avais réussi à tout de même instaurer entre ma profession de prof et leur statut d'élève, alors je suis perdue ... Et ils en avaient l'intention visiblement. Toute once de dignité sociale allait disparaître ce soir quand Abdou verra sa prof se faire torturer et qu'il allait être un de mes bourreaux.

Je hurlais lorsque je vis Abdou s'approcher de moi :

- NOOON ... S'il vous plait ... Pas ça ... Pas ça ...

Je parlais dans le vide : mon sort était déjà scellé depuis longtemps. Les mains toujours ligotées, je vis Abdou me prendre dans ses bras et m'embrasser comme un amoureux transi.

- N'ayez pas peur Mademoiselle Gauthier ... Ca va bien se passer.

Sanglots !

Je sentais déjà son érection juvénile appuyer ostensiblement contre mon ventre. Cette érection symbolisait toute ma déchéance, tout son triomphe, tout le triomphe de Kassim. Abdou bandait d'avoir brisé tout les tabous qui nous séparaient ...

Ca n'a pas tardé, trois semaines entre les mains de ces six mâles en rut allaient commencer.

On m'installa rapidement dans la grange étonnamment aménagée pour un endroit aussi isolé.

Rapidement, des mains me déshabillèrent et on m'embrassait déjà partout ...

Petit à petit, mes vêtements disparurent, en lambeaux ...
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Jeudi 4 janvier 4 04 /01 /Jan 16:05
Que faire ?

Rien ...

Attendre ...

Kassim passa quelques coups de téléphone tout en me gratifiant de coups de pieds de temps en temps. Il raccrocha enfin ... Son regard insondable se tourna vers moi : vide comme la mort ; insensible à la macabre passion qui me liait à lui.

- Tu vas à la ferme pour trois semaines. Tu pars demain soir ...

Le sol se déroba. Une sorte de centre de redressement pour les prostituées de Kassim. J'en avais entendu parler : une fille n'en est jamais revenue, d'autres littéralement massacrées mais une sorte d'aura de mystère entourait la légende de cette "ferme". Celles qui en sont revenues  Je m'efforçais de gommer le bégaiement terrorisé qui me saisit à la gorge :

- Et mon emploi du temps ? Mes élèves ...

- T'inquiète pas, tu vas les retrouver tes putains d'élèves et plus tôt que tu ne le crois ... Quand au reste, je m'en fous. Démmerde-toi sinon je t'arrache de ton lycée et tu deviendras pute à plein temps. Tu préfères peut-être ?

- Je m'arrangerai ...

Le lendemain, j'avais à peine fini mes cours et je rangeais des affaires dans la salle des profs lorsque trois sbires débarquèrent. Je savais qui les envoyaient et c'est terorisée mais résignée que je me suis laissée ligoter pour être emmenée dans leur limousine. Fort heureusement, plus personne ne hantait mon lycée vu l'heure tardive ...

Toute la nuit, la limousine roula vers le centre de la France ... J'étais coincée entre deus malabars.

Un silence assourdissant envahit la voiture durant toutes ces heures passées.
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Mardi 19 décembre 2 19 /12 /Déc 10:30
Je ne me suis pas évanouie mais j'ai sombré dans une sorte d'état catatonique où j'étais consciente de tout ce qui m'arrivait mais il me semblait me trouver complètement détachée de mon corps : j'eus un sourire entendu à chaque fois que le bras de Kassim s'abattait sur moi, jouissant d'une sorte de joie sadique à voir ce corps rebelle se faire corriger et se couvrir d'hématomes ...

Pour parachever son oeuvre de destruction, Kassim, ainsi que je l'avais espéré finit par me baiser comme la dernière des trainées. Commentant son dégoût de tremper son sexe dans ma chatte qu'il disait sentir la pourriture à force d'avoir servi à soulager tous les malades de Paris. Il avait beau affirmer être dégoûté, cela ne l'empêcha pas de faire durer son plaisir longtemps en allant et venant entre mes cuisses.

Il finit par grogner en se déversant abondamment dans mon ventre. Moi, je ne comptais plus mes orgasmes ...

Il se retira de moi en grommelant :

- J'éspère que tu es toujours safe, Charlie. Sinon, je te jure que ta mère ne reconnaitra plus ta sale petite gueule de putain.

Je m'enroulais autour de sa cuisse puis saisit son pénis dans ma bouche pour le nettoyer de nos sécrétions délicieuses. Non sans l'avoir rassuré auparavant :

- Mon dernier test SIDA est toujours négatif, murmurais-je ... Je l'ai fait avant de partir ...

Je lui prodiguais une fellation douce et langoureuse qui le fit encore éjaculer dans ma bouche après de longues minutes.

Enfin satisfait, Kassim m'écarta d'un dernier coup de pied qui m'arracha un jappement surpris :

- Ce n'est pas terminé Charlie ...

Les menaces indéfinies ne présageaient jamais rien de bon de la part de Kassim. Mais que pouvais-je y faire ?
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Mardi 12 décembre 2 12 /12 /Déc 12:29
Le retour de cette escapade à Marrakech se fit du coup avec une certaine joie de retrouver mon homme. Qu'il était loin le temps où je paniquais rien qu'à l'idée de le voir.

Mais lui, si j'ai changé, ne changea pas. A peine entrée dans son appartement qu'il me tabassa avec rage : ma pommette éclata sous l'effet du premier coup de poing et comme un ver de terre, je rampais pour fuir la sentence. Mon sang se répandit comme une trainée de poudre sur mon passage ...

Il me poursuivit en m'arrachant les vêtements un par un ... Je finis par me retrouver dénudée avec des lambeaux qui jonchaient le sol de l'appartement ...

Il me hurla dessus :

- SALOPE !!! TU CROIS QUE TU PEUX TE CASSER COMME CA ET ME LAISSER EN PLAN ?! REPONDS-MOI SALE PUTE DE MERDE ...
- Je suis désolée, parvins-je à articuler ... Je croyais que ...
- Tu croyais ?! TU CROYAIS ??? TU N'EST PAS LA POUR CROIRE, RADASSE ... TU ES LA JUSTE POUR TON CUL !!! POUR QUE MES CLIENTS PUISSENT SE SOULAGER DEDANS ... TU NE SERS A RIEN D'AUTRE ... T'AS TOUJOURS PAS COMPRIS ?!
- Siii, pleurnichais-je avant de hocqueter sous l'effet d'un coup de pied bien senti au niveau de mes côtes ...
- Où tu as vu que tu pouvais décider d'aller où tu veux ?! Ici, c'est le Nègre qui décide et la Blanche qui est l'esclave ... Sale putain droguée ...

Une bave mousseuse ornait la commissure de ses lèvres tellement il était enragé. Je me soumis pour la énième fois ...

- Je ... j'ai compr ...

La table basse se fracassa sur mon dos, jetée par Kassim. Sa rage ne s'atténua toujours pas pour autant :

- TU AS COMPRIS QUOI, me hurla-t-il en me saisissant à la gorge pour me tirer de sous le sofa en dessous duquel je m'étais réfugiée ?

Seul un gargouillis sortit de ma bouche ... Je commençais à bleuir sous l'effet de la strangulation. Il désserra un peu son étreinte pour me laisser répondre ...

- Tu as compris quoi, répéta-t-il ?
- Je vous appartiens ...

Une gifle me fit voler encore ... Durant de longues minutes qui me parurent être une éternité, il me tapa dessus ... Mon sang gicla dans tous les sens ... Pas un seul moment, je ne hurlais, ayant déjà compris depuis longtemps que ce comportement décuplait sa violence.

J'avais fait la pire erreur de ma vie en partant quelques jours avec mes parents pour échapper quelque peu à la tension que provoquait en moi ce dégoût de la prostitution. Mais en même temps, en parallèle avec ce dégoût, subsistait, dominait, ce sentiment d'avoir Kassim dans la peau. Je ne pouvais plus l'en extraire, quand bien même je le voudrais.

Je lui appartenais : seul ce monstre dont je rêve qu'il calme sa violence au fond de mon ventre déciderait dorénavant de mon comportement au jour le jour ... Il me le fit comprendre durant ces longues minutes ultraviolentes ...
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Mardi 5 décembre 2 05 /12 /Déc 11:53
Ils m'avaient fait la surprise de m'offrir un voyage à Marrakech pour les accompagner ... A la fois pour m'avoir, chose qui n'est jamais arrivée depuis mon arrivée à Paris, et pour me faire changer les idées. J'acceptais avec joie leur invitation ...

Je sentais une sorte de gêne trouble par rapport à ma décision mais pour satisfaire à mes parents et pouvoir ainsi continuer à vivre ma double vie sans éveiller les soupçons, je savais que j'avais pris la bonne ...

Néanmoins, je n'osais toujours pas ne serait-ce que demander la permission à mon Homme de peur d'essuyer un refus de sa part ... C'est seulement juste avant de monter dans l'avion que, la voie tremblante, je lui annonçais que j'allais arrêter de travailler ... Je commençais à me lancer dans des explications fumeuses mais il me coupa :

-  Pas de problème, ma chérie, me répondit Kassim dans le combiné d'une voix doucereuse. Tu aurais juste dû me prévenir plus tôt que je m'organise ... Mais ce n'est pas grave ... Tiens, passe juste dès que tu reviendras, après tes cours pour qu'on voie avec ta remplaçante comment tu dois rattraper le temps perdu ...



Je raccrochais tellement contente ... Inconsciente de ce paradoxe étrange qui veut que Kassim soit aussi conciliant ...

A oublier les soucis et la peur, j'aurais dû me sentir soulagée mais c'est le contraire qui se produit.

Kassim me manquait ! Terriblement comme jamais ! La nuit, je pleurais toute seule dans ma chambre d'hôtel en pensant à lui.

Sur place, mes parents ne remarquèrent ni les traces de violence ni les piqûres qui marbraient mon corps à mon grand soulagement mais ils remarquèrent l'état de tristesse extrême qui m'avait envahi malgré mon air enjoué.

Je envoyais une carte à Kassim où je lui déclarais ma flamme dévorante : des larmes s'écrasèrent dessus, brouillant mon écriture.
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Vendredi 1 décembre 5 01 /12 /Déc 16:30
Je me ressaisis à nouveau en revenant à la réalité, au présent ...

Maintenant, plusieurs mois après mes débuts, le train-train m'avait endurci. Et mon statut de "mi-temps" me conféra une meilleure situation que mes consoeurs.

Une violente quinte toux me fit encore cracher du sang et arracher des larmes ... Je me rassurais juste en pensant que mon dernier test de dépistage des MST était, par chance, encore négatif ...

Oui ... Etait-ce rassurant ? On se raccroche à ce qu'on peut ...

"Et puis depuis une semaine, qui sait si parmi ceux qui m'ont essaimé, il n'y en a pas encore un qui porte des crasses dans sa bite ?" ... Je suis devenue aussi vulgaire que mes collègues tapineuses ... Peut-être moins ravagée (pour l'instant !) mais nous nous nourrissons des mêmes immondices sexuelles pour le portefeuille de notre Monstre pour qui je ne peux m'empêcher d'être follement amoureuse ...

Amoureuse malgré tout cela ... Malgré ce qui s'est produit il y a quelques mois ... Lorsque j'avais subi mon "baptême" ...

Un moment, j'avais pris la grosse tête en croyant que, seule parmi mes consoeur à divertir les client VIP de Kassim, j'étais un peu plus libre de sécher mon tapinage sans qu'il ne me tienne trop rigueur.

Je l'avais cru jusqu'à ces fameuses vacances scolaires de février.

Mes parents m'avaient offert une surprise ... Ils savaient que j'avais passé un mauvais moment suite à ma rupture d'avec Nicolas mais rien de plus.

Rien évidemment de ma toxicomanie ni ma nouvelle profession.

C'est d'ailleurs l'une des raisons qui m'a empêché de demander de l'aide, de suivre une cure : il y avait tant de gens à qui cacher ma monstrueuse réalité. Mes parents, mes collègues au lycée ...
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Lundi 27 novembre 1 27 /11 /Nov 17:54
Pour "oublier", je me suis piquée à l'héro avec une dose qui m'a laissée hébétée et bavante pour le reste la nuit.

Le propriétaire de la chambre d'hotel voulut me virer sans ménagement mais Omar plus altruiste que son patron avait payé de sa poche la chambre pour le reste de la nuit. Il avait caché la situation à Kassim et j'avais prétexté une mauvaise nuit pour justifier le manque à gagner de mon amant.

Kassim, circonspect, m'avait néanmoins accordé le bénéfice du doute.

Je suis perdue ... Jamais je ne m'en sortirai ...

Nicolas (Je pense à nouveau à lui ... comme à chaque fois qu'une dure épreuve m'assaille), pourquoi m'as-tu quitté ? Quand je pense qu'on aurait pu être heureux ensemble. Je serais enceinte et on se préparerait à être mutés en province, dans le petit pavillon qu'on se serait acheté ... Bah ...
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Moi c'est Flower ... Je n'ai pas de talent particulier pour l'écriture mais j'adore la littérature érotique (et le sexe en général mais ça, vous verrez plus tard si vous êtes gentils). Aussi je me lance dans l'aventure du blog avec cette volonté.

Si le blog peut vous paraître décousu, c'est volontaire. J'aimerais le rendre un peu interactif et attractif. Votre mission, cher lecteur, consistera à assembler le patchwork des publications ... Vous verrez, ce n'est pas très difficile :)


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