Charlotte - La Prof

Dimanche 1 octobre 7 01 /10 /Oct 12:55

Tout un week-end en étant stone, c'était impossible !!! Non Nico, ce n'est plus possible mais il ne m'entendait plus ...

 

Je me tortillais dans mon lit tellement l'état de manque me rongeait le corps. Je me déshabillais, me rhabillais, lisais, écoutais de la musique, regardais la télé sans jamais pouvoir me débarrasser de cette souffrance latente.

Je pris un bain mais rien n'y changea. En sortant de la baignoire, comme une automate, je me saisis des produits à maquillage dans l'armoire de la salle de bain et commençais à me farder les yeux. Je me maquillais excessivement le visage ...

 

Puis les ongles ...

 

A vernir comme si ma vie en dépendait ...

 

En rouge écarlate ...

 

Comme mon sang que je vomissais sous les affres du manque.


Lorsque je vis le résultat dans la glace, j'eus un choc : je me faisais belle pour faire de mon corps une offrande ! 

 

Mais il était sans doute trop tard pour les regrets : tout mon corps se décomposait ...

 

J'avais besoin d'une dose ... tout de suite ! Je dois le rejoindre ... Je dois retrouver le monstre ... Lui seul pouvait me soulager ...

 

Je me mis à farfouiller maladroitement dans mon armoire et sortis une robe de soirée chic. Je tentais une dernière fois de me soustraire à mon sort en distrayant mon esprit. Mais je fus à nouveau prise de tremblements ... Je vomis un peu de sang à nouveau en constatant tristement que plus rien ne pouvait m'empêcher de sombrer dans l'inéluctable.

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Samedi 30 septembre 6 30 /09 /Sep 13:00

Le lendemain, ça allait mieux et je pus aller travailler.

Abdou me lança un regard interrogateur, inquiet, visiblement mis au courant de mon escapade de la veille dans sa cité. Je soutins son regard pour la première fois depuis longtemps ... D'un regard plein de défi comme pour exorciser ma culpabilité. Mais lui y lut un désarroi abyssal ...

 


Réellement inquiet, il dit juste qu'il allait m'aider sans plus de précision. Quand et comment ? Je ne tardais pas à le savoir : si auparavant je me faisais écraser par mes élèves sous l'influence perverse d'Abdou, il s'en servit cette fois-ci pour leur imposer de me laisser tranquille. Dès lors, je devins la prof qui eut le moins de problème de tout le lycée. Finallement, à chaque chose, malheur est bon dit-on ...

 

Le jeudi soir, je téléphonais à Nicolas : je n'eus que son répondeur. Je lui dis que j'avais besoin de lui, que j'avais besoin d'aide. C'était la première fois que je me confiais. Le lendemain, ce fut Mélissa qui me rappella : elle me dit de laisser Nicolas tranquille, que c'était fini entre nous. Tous les reproches que j'avais à faire à mon ex-meilleure amie sortirent sans que je ne puisse y faire grand chose. Je savais que c'était le meilleur moyen de me couper de Nicolas définitivement mais cet appel fut la goutte qui fit déborder le vase. Je lui reprochais d'avoir régulièrement piqué mes rares petits amis. Il faut dire que Mélissa avait un physique de mannequin auprès duquel je ne pouvais m'aligner. Le seul qui ait échappé durablement à ses appétits de mecs fut Nicolas, jusqu'à il y a quelques mois. Lorsque je raccrochais violemment, mon appart résonna de mes sanglots en continu tout le reste de la nuit.

 

Dès le jeudi soir, j'avais terminé la demi-tablette de calmants que Kassim m'avait fourni. Je commençais à ressentir les affres du manque. La nuit fut insomniaque pour moi. Je ne pus aller au lycée le vendredi. Mon corps fut à nouveau saisi de tremblements et une nausée perpétuelle me vint jusqu'au bord des lèvres. Je ne tiendrais pas longtemps. J'étais résolue à oublier Kassim et son commerce sordide mais à 20 heures, je fus saisie d'une série de vomissements qui accentuaient encore plus mon état de manque. "Pas question de céder" hurlais-je toute seule dans mon appartement comme pour tenter de faire reculer l'inéluctable. Je n'en pouvais plus. Le téléphone sonna : c'était cette fois-ci Nicolas. Je lui racontais tout, absolument tout. Il compatit mais il était parti en mission dans le sud de la France. Il ne pouvait pas venir m'aider à tenir :


- Essaie de tenir bon jusqu'à lundi soir, je serai de retour et je t'aiderai ...
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Vendredi 29 septembre 5 29 /09 /Sep 11:41
- Tu t'appelles comment, demanda-t-il ?

- Charlotte

- Eh bien Charlotte, tu es bonne

- ...

- Si ça te dit, tu peux repasser vendredi soir à 22h, j'organise une soirée avec des potes. Tu es invitée et il y en aura beaucoup plus pour toi, m'annonça Kassim en ne me jetant qu'une demi-tablette de mes calmants sur ma poitrine.

Je m'habillais, à nouveau honteuse et humiliée de cette aumône. Les larmes me remontaient aux yeux mais je me forçais néanmoins à sourire tandis qu'il me déposa un bisou paternel sur le front, accentuant encore mon humiliation.

Combien de temps cette aumône allait-elle me durer ? Je trouvais tout de même le courage de lui rétorquer :

- Non non, c'était juste pour me dépanner. Je ne suis pas accro ...

Un sourire carnassier barra ses rides surprises par ma résistance. Il passa furtivement sa langue sur ses lèvres avant de me répondre, contenu :

- Pas de problème ... Si tu changes d'avis, fais-toi belle et passe me voir ...

Je rentrais à la maison puis commençai à me gaver de calmants. Je pris un bain dans lequel je me frottais tout le corps comme pour me nettoyer d'une saleté morale.  Mais il est des salissures qui ne partiront jamais ... JAMAIS ... JAMAIS ...
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Vendredi 29 septembre 5 29 /09 /Sep 10:45

Mais je ne veux pas aimer ça, protestais-je en mon for intérieur. Il opéra un va-et-vient avec ses hanches, explorant largement mon appareil génital. J'étais emplie de souffrance autant physique que psychologique, humiliée et réduite à l'état de déchet.

Je pleurais ... Je pleurais ... J'avais l'impression que ça durait des heures et des heures.

Puis il éjacula ... me clouant au fond du sofa. Sa puissance me balaya, ses lourds jets de sperme furent autant de salves qui firent abdiquer mes dernières résistances. J'étais en nage malgré la fraicheur de cette nuit printanière. Je n'étais plus qu'un animal craintif en plein milieu de cette jungle urbaine qu'est la zone. Mon prédateur, inconnu encore quelques jours auparavant, venait de m'ensemencer avec l'assurance d'un loup dévorant l'agneau ... J'étais sa victime, j'étais cet agneau et c'est comme si je regardais me faire dévorer le corps ... et de façon résignée ...

Il se retira tout aussi brusquement de moi, laissant un désagréable courant d'air frapper ma paroi vaginale béante de laquelle dégoulinait son récent plaisir. J'étais exténuée.

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Vendredi 29 septembre 5 29 /09 /Sep 10:24
Je me deshabillais. Ma veste ... puis mon T-Shirt ... puis mon pantalon tombèrent sur la moquette. Je fis une pause une fois en sous-vêtements, espérant une clémence de sa part. Elle ne vint pas : il tapa d'impatience du pied sur le plancher en continuant à s'astiquer pour maintenir son érection au maximum. Je dégraphais mon soutien-gorge en me cambrant involontairement. Mes seins laiteux tombèrent légèrement quand leur support fut retiré. La fraicheur fit friper mes tétons roses. Je me levais pour retirer ma culotte. J'étais nue tandis que Kassim était toujours en peignoir. Ce n'était pas gênant pour lui. Je me rassis : il me retourna sur le ventre en se positionnant sur mon corps dénudé, me forçant à m'allonger sur le sofa.

Si mes parents voyaient leur petite fille prête à se faire enfiler par un Noir ... Eux qui, bien que n'étant pas trop racistes, excluaient tout mélange des races en amour !!!

Il s'enfonça dans mon vagin.

- J'ai l'habitude de baiser ainsi, me souffla-t-il, comme un animal ...

Je n'étais pas préparée à le recevoir : j'eus mal comme jamais. Mais il atteignit le fond de ma matrice sans peine. Mon deuxième partenaire sexuel après Nicolas était un sordide dealer Noir. Quelle déchéance !

- Détends toi, tu vas aimer, me dit Kassim
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Mercredi 27 septembre 3 27 /09 /Sep 10:44
J'avalais finallement, non sans mal non plus. Enfin, il me permit de me relever mais saisit à nouveau mon bras pour m'empêcher de me lever du sofa.
Il reprit son souffle durant de longues minutes. Puis :

- Ranime-le, je vais te sauter

J'ouvris des yeux exorbités, terrorisée. Kassim me "rassura" :

- T'inquiète ... Cette fois, tu prendras ton pied. Je n'ai jamais déçu mes meufs.

C'était censé me rassurer !!! Mais j'étais toujours coincée, aussi j'obtempérais à nouveau. Je repris son sexe en bouche et il ne tarda pas à bander à nouveau. Je me relevais quand il fut au maximum à en faire mal. Puis il saisit un flacon rempli d'huile et enduit son pénis :

- Vire tes frusques !
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Mercredi 27 septembre 3 27 /09 /Sep 10:16
J'eus les larmes aux yeux ... J'hésitais encore mais l'état de manque était trop douloureux ... Il me fallait mes cachets. Je relevais une mèche qui masquait ma bouche lorsque je me penchais puis commençais à poser des petits bisous sur le gland circoncis de Kassim. Il me tapotta la tête d'impatience :

- Dépêche, je n'ai pas que ça à foutre

J'avalais fermement alors l'appendice qui commençait à prendre vie. Kassim releva lui-même mes cheveux jais qui masquaient le spectacle pour pouvoir en profiter. Ma bouche menue eut du mal à engloutir la totalité du pénis rugueux de Kassim. Ma langue eut du mal à se mouvoir, plaquée entre mon maxilaire inférieur et le pénis remplissant ma bouche. Durant une éternité, ma tête fit des va-et-viens, guidée par Kassim qui me tenait toujours les cheveux dans sa main. Je le sentais venir ... Je n'avais pas envie qu'il jouisse dans ma bouche, mais rien à faire : la poigne de fer noire plaqua ma tête contre son pubis. J'eus à peine la liberté de ne pas m'étouffer par la longueur de son pénis au fond de ma gorge. La première giclée, lourde et puissante se déversa directement au fond de ma gorge. La seconde me tapissa le palais puis le reste inonda ma langue. Je pleurais d'humiliation, craintive : je ne savais pas ce qui trainait comme cochonnerie chez ce Noir alors qu'il se déversait sans aucune précaution dans ma bouche.

J'étais coincée ! Une fois achevé, il maintint sa pression pour que ma tête reste en position. J'eus du mal à recracher sa semence, son pénis, à peine dégonflé bouchait toujours mon orifice buccal.

- Avale, sinon tu restes comme ça.

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Mardi 26 septembre 2 26 /09 /Sep 11:47
Je retrouvais enfin l'entrée, légèrement calmée par les litres de café que je bus toute la fin d'après-midi. Je frappais à la porte qui s'ouvrit aussitôt sur le visage inquiétant de Kassim. Aussitôt un sourire barra ses cicatrices :

- Entre, je te prépare ton paquet ...



Je m'assis sur le même fauteuil tandis qu'il s'afférait en cuisine. Quelques minutes plus tard, il revint, ayant troqué son costume contre un peignoir. On y était !!! Il me saisit le bras, toujours souriant et me força à me lever.



Ensuite il me fit asseoir sur le grand sofa, à côté de lui. Les pans de sa robe de chambre s'écartèrent, laissant apparaître son entrejambe nu.

- Je ne couche jamais qu'avec des Blanches me dit-il. Tu sais pourquoi ?

Je secouais la tête en baissant la tête de honte, hésitante.

- Ce sont les seules qui savent sucer. Chez les Noires, y a comme un tabou ...

Je dégluttis avec difficulté. Nicolas adorait ça mais jamais je n'aurais imaginé le faire avec quelqu'un d'autre. Kassim dénoua la ceinture de sa robe de chambre et mit à l'air un sexe à la taille impressionnante, même au repos :

- Allez, bouge, il commence à avoir froid.

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Lundi 25 septembre 1 25 /09 /Sep 14:46
Il eut l'air dubitatif mais ne me contredit pas. Il me raccompagna sagement jusqu'à la gare de RER. A cette heure-ci je ne risquais plus de rencontrer des collègues. Le week-end fut atroce. Il ne me restait plus de cachets, Nicolas ne passa pas comme à l'accoutumée alors que je pensais que rien que sa présence m'aurait réconfortée.



Durant deux jours, je fus en proie à des tremblements, des insomnies et des délires. Je pleurais, hurlais ma souffrance.



Je restais prostrée dans mon sofa. Le lundi, mon état ne s'améliora pas.



Je ne pouvais pas aller travailler. Je téléphonais au proviseur, ayant du mal à produire une voix normale. Je n'en pouvais plus.



Il me fallait quelque chose : je retournais à la cité d'Abdou. Je l'attendis à l'entrée de la cité, sachant qu'il passait par là en revenant du lycée. Il ne vint pas ... J'enchainais café sur café mais tout mon être se déglinguait à l'intérieur. Je me résolus à aller voir directement Kassim. Je retrouvais difficilement le chemin dans le dédale des immeubles de la cité. Je ne vis pas grand monde si tard le soir mais les quelques-unes personnes que je croisais (des adolescents) me sifflèrent copieusement. Une blanche sur leur territoire était une attraction !
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Lundi 25 septembre 1 25 /09 /Sep 14:32
Il obtempéra néanmoins. Nous traversâmes les ruelles sombres de la cité et dans un immeuble, Abdou frappa à une porte. Un grand Noir d'une quarantaine d'années ouvrit, le visage scarifié et ridé. Il portait un bermuda et T-Shirt. Sans qu'il ne soit menaçant de quelque manière que ce soit, une peur primale me saisit à sa vue. Abdou lui expliqua mon problème. Kassim, après l'avoir écouté lui aboya quelque chose comme : "C'est bon, je m'en occupe ... Va attendre en bas". Abdou me dit qu'il m'attendait en bas, le regard plein d'inquiétude. Je ne l'avais jamais vu dans cette attitude là au lycée. Kassim me fit entrer et asseoir dans un fauteuil.



Il jeta sur la table un sac plastique duquel s'échappaient plusieurs boîtes de mes cachets favoris :

- Je peux te les vendre au même prix qu'avant mais je veux autre chose en échange

- Quoi ? Dis-je, l'air faussement empreint de défi

- Tu sais bien, il faudra juste être très gentil avec moi

Je me levai d'un bond et me précipitai à la porte :

- Jamais

Kassim sourit et me lança, sans chercher à me retenir :

- Reviens quand tu seras décidée ... Mon offre tient toujours.

Sans me retourner, je descendis quatre à quatre les marches de l'escalier de service. Abdou m'attendait en bas, l'air interrogateur.

- Rien, lui dis-je avant qu'il n'ait articulé le moindre son. Tu as raison, je vais arrêter.

- Vous avez raison, mais ça ne va pas être facile. Allez voir un médecin.

- Pas question, je m'en sortirai seule.
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