Des claques me réveillèrent aussitôt, me replongeant dans mon cauchemar de torture. Je sentais le sang s'écoulé de mon anus déchiré. Je sanglotais de longues minutes qui semblèrent des heures, cherchant juste à me détendre pour que les pénis énormes qui me labouraient les orifices sans discontinuer paraissent plus supportables. Ils aimaient me voir souffrir mais ils voulaient aussi que de cette souffrance éclose une jouissance qui affirmeraient leur pouvoir sur moi : mon supplice et ma soumission ne leur suffisaient pas.

Las, au bout d'une ère infinie, ils finirent par sortir de moi, me gifflant à tour de bras :

- Tu vas jouir salope de blanche ? Tu vas jouir sale pute ?

Je hocquetais :

- Je ne peux pas ... Il faut que vous continuez ... Encore ... Ca viendra, je t'assure ...

Ils se concertèrent pendant que je restais affalée comme un grotesque pantin privé de squelette, toujours sanglottante ...

- Mon Dieu, faites-moi jouir, soupirais-je en mon for intérieur ...

Etais-ce pour que le supplice s'arrête ? Ou bien étais-ce réellement pour prendre un plaisir qui me fuyait mais que je voulais ressentir comme jamais ? Ma chatte me chauffait comme rarement ... Oui, je voulais vraiment ressentir un de ses orgasmes qui me vident autant le corps que l'esprit de ma soif coquine et morbide.