Flower - Confessions d'une femme adultère

Mercredi 11 octobre 3 11 /10 /Oct 10:15
Mais il repartit de nouveau après une semaine de bonheur. Cette fois-ci pour le Moyen-Orient ... Et François, comme par magie, revint hanter mon esprit. Je m'acharnais à téléphoner à tout moment à mon mari mais celui-ci n'était pas en mesure de répondre à mes appels à chaque fois ce qui me fit lâcher prise. Je tentais de rallier Emilie à ma détresse en lui demandant de passer le week-end en ma compagnie mais par manque de chance, elle avait elle-même cédé aux sirènes de son nouvel amoureux qui l'avait invitée à aller à Marrakech. Parfois j'enviais l'insoucience d'Emilie ... Du coup, je n'ai pas osé lui parler de François ...

Mais qu'est ce qu'il m'arrivait d'être obsédée par cet inconnu ? Inconnu intime mais inconnu tout de même ! Je ne connaisais ni son nom de famille ni ses coordonnées et j'étais à peine vaguement capable de savoir où il habitait mais je lui avais déjà ouvert mon corps et mon âme : il m'avait baisée, il m'avait éjaculé dessus, il m'avait profondément sodomisée et pire, il m'avait arraché le meilleur orgasme de ma vie. Et par dessus tout, il avait colonisé mon esprit ce qui est la pire chose qui puisse arriver à une femme. Oui, que m'arrivait-il ?

Il se passa ainsi trois semaines : trois semaines de doute et de folie parfois destructrice. Mon mari revint, puis repartit ... comme d'habitude ... Cette fois-ci trois semaines durant. Je maudissais cette actualité internationale qui faisait tourner à plein l'activité de mon mari ! Avant, chaque départ était pondéré par le futur bonheur du retour mais aujourd'hui, chaque départ générait une peur panique de rester seule à devoir combler le vide de mon corps. Le premier week-end fut un prétexte à aller voir mes parents mais dès le jeudi suivant, je pétais les plombs ! Mon supérieur me conseilla adroitement de prendre mon vendredi : j'obtempérais.

Peut-être pas la meilleure idée finallement : pour tromper mon ennui habituellement, il y avait le travail. Aujourd'hui, le shopping, la télé, le téléphone ne suffisaient plus. J'essayais mes achats mais ça ne suffsait pas non plus. Puis toute raison m'abandonna !
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Mardi 10 octobre 2 10 /10 /Oct 13:10
Durant la semaine, je me surpris à attendre que la sonnerie de mon portable sonne, mais ce n'était jamais LUI. Ce qui est parfaitement stupide car François non plus ne s'est pas soucié de récupérer mes coordonnées. J'aurais été plus à l'aise sans doute pour le rayer de mes pensées s'il avait été plus attentionné comme le faisaient tous les hommes qui me courtisaient mais son indifférence étaient autant de drogue qui alimentaient mon manque. Je ne voulais parler à personne d'autre : je refusais systématiquement les communication d'Emilie, ma meilleure amie et, pire, même mon mari vit ses appels, une fois ou deux, rester sans réponse. Lorsque je daignais prendre ses appels, comme pour conjurer le mauvais sort qui semblait s'acharner à me tourmenter, je faisais des excès de démonstration d'amour en lui disant que je l'aimais à n'en plus finir. Surpris, mon mari répondit avec bonheur à mes câlins vocaux en me répondant la même chose sans se poser des questions sur les raisons.

Son retour de Thaïlande, le jeudi soir fut comme une bouchée d'oxygène qui me maintint en "vie". Nous vécûmes un week-end torride comme rarement ce fut le cas depuis quelque temps. Oui mais j'étais d'une humeur exécrable avec lui. Il me semblait que rien n'allait dans ce qu'il faisait. Lui de son côté voulait se faire pardonner ses longues absences et était une crème. Il semblait avoir perdu son côté macho qui le caractérisait.

Etrangement, nous profitions excessivement de notre sauna personnel plus que d'habitude. D'une part, mon mari n'était pas tellement adepte (ce fut un caprice de ma part !) et puis vu la dernière fois que j'avais pratiqué ... Je me surpris à le prendre pour François lorsque nous faisions l'amour ... Fort heureusement, aucune gaffe ne vint me trahir ...
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Mardi 10 octobre 2 10 /10 /Oct 10:40
Je ne suis rentrée que le dimanche soir, à la fin du week-end. Mon chat n'avait pas mangé depuis trois jours et miaulait violemment à mon arrivée pour marquer son mécontentement. J'avais honte ... honte ... tellement honte ... Je me fis couler un bain et durant des heures, je barbotais dans l'eau, pleurant de honte, criant toute seule dans notre grand appartement vide ... J'aurais tellement voulu que mon mari soit là mais il en avait encore pour une semaine avant de rentrer.

En même temps, la simple pensée de François me troublait et me faisait mouiller toute seule dans notre grand appartement vide.

Je m'aperçus avec horreur que j'avais oublié un de mes anneaux mammaires et mon alliance chez François. Ce petit symbole certi de diamants était tellement important pour empêcher ma raison de basculer définitivement. Mais le destin semble vouloir s'acharner pour me faire fauter : malgré moi, j'étais libérée de l'attache matrimoniale. Car évidemment, il était hors de question que je puisse le récupérer : je n'avais pas récupéré les coordonnées de François comme pour conjurer ce sort néfaste. Je m'ôtais les piercings restants et les jettais dans la cuvette des toilettes. Le bruit de la chasse d'eau sembla me soulager de mes tourments momentanément. Mais ça ne dura pas : quelqu'un obsédait mes pensées perpétuellement et ce n'était pas mon mari ... Je suis folle !!!
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Lundi 9 octobre 1 09 /10 /Oct 13:10
Nous nous écroulâmes de concert sur le sofa mais François ne s'est pas retiré de mon cul. Il me serrait dans ses bras, nous gardant collés pendant que son pénis perdait peu à peu vie dans mes entrailles. J'avais les larmes aux yeux. Je n'avais jamais joui aussi fort ... et ça me faisait peur car mon mari était loin, très loin d'être maladroit dans nos rapports sexuels ... Bien au contraire ...

La lumière du jour filtrait à travers les rideaux mais n'arrivait pas à altérer la rassurante pénombre qui régnait dans la bâtisse. Un coup d'oeil sur la pendule murale m'indiqua déjà neuf heures du matin. Je voulus me lever mais les bras musclés de François somnolant me serraient toujours la taille comme un étau. Je tournais la tête et lui volais un baiser sur la bouche qui ne le réveilla même pas. Il s'endormit et je m'endormis également non sans sentir dans un demi-sommeil son pénis devenu inconsistant s'échapper de mon anus. Du sperme commença à s'écouler en continu de mon ouverture laissée béante ...
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Vendredi 6 octobre 5 06 /10 /Oct 16:13
J'eus une pensée coupable pour mon mari cocu mais j'avais François dans la peau et rien ne semblait pouvoir l'en extraire durablement maintenant. Ce dernier retira le pan de cire complètement déformé par la pression de mes sphincters puis il le jeta au loin, dans la cheminée qui produit un mouvement de flamme menaçant. Maintenant l'écartement de mes fesses, François y posa alors son propre pénis puis s'enfonça facilement dans l'ouverture préparée par son jouet. C'est quasiment sans effort qu'il installa son doux pénis au fond de mes entrailles.

Je poussais un soupir de soulagement de ne pas avoir eu mal. Désormais, il avait lâché mes fesses qui se refermèrent maternellement sur la base poilue de son sexe et il tint mes hanches comme s'il domptait un cheval. Il me sodomisa à une profondeur jamais atteinte et je me sentais tout simplement bien d'être fraichement explorée aussi loin. C'est comme un dépucelage dans ma tête. Le côté romantique de la chose me fit alors jouir d'une manière aussi brutale que soudaine. Ma tête s'affala sur le sofa et je râlais comme jamais pour accompagner les soubresauts qui me secouaient le vagin pourtant vide ... François s'arrêta pour me laisser consommer mon plaisir et, une fois mon corps apaisé, il recommença à faire ses allers-retours incessant dans mes entrailles délicieusement martyrisés. Le miroir me renvoya l'image de ce noir donnant des coups de reins dans mon corps albâtre comme s'il jouait au flipper. Je lâchais un quasiment inaudible "je t'aime" que je regrettais aussitôt. Mais François l'entendit néanmoins et en reconnaissance, il me caressa la tête paternellement tout en continuant à me gratifier de ses coups de reins violents et dévastateurs. A chaque effort, ses muscles ressortaient comme s'il soulevait des haltères. Je sentais à nouveau mon plaisir poindre tout au fond de mon ventre comme si mon corps ne voulait jamais arrêter de se repaître de ce pénis généreux qui le possédait.

Je lâchais des suppliques larmoyantes :

- Je vais venir ... je vais venir ... laisse-moi jouir ... ne t'arrête pas ... Aaaahhhhh

La vague déferla à nouveau dans mon vagin avec une violence encore plus forte. Et François me couvrit complètement, me serrant les épaules comme s'il voulait briser mes frêles os et souffla bruyamment. Il se crispa et se projeta le plus loin possible dans mon intestin et éjacula longuement, noyant mon tube de sa semence abondante. Il me mordit le cou en maintenant sa femelle sous sa domination comme sous un joug. Je me sentis saigner mais la douleur n'arrivait même pas à déranger la fin de mon orgasme qui se prolongeait indéfiniment.
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Vendredi 6 octobre 5 06 /10 /Oct 11:49
Il m'abandonna tandis que je me délectais de ma douleur, les yeux mi-clos. Un picotement de plaisir sourdait lentement au fond de mon ventre ... Il revint avec de solides cordages. J'eus un sursaut mais sans me laisser le temps de réagir plus, il avait déjà entrepris de me ligoter les cuisses et le corps. Je me laissais faire avec un petit sourire entendu qu'il ne releva même pas ...

Lorsque je fus immobilisée, il me retourna sur le dos lentement pour dégager mes fesses qu'il connaissait déjà si bien ... Puis il écarta d'une main, mes globes fessiers pour dégager le passage de ma rose intime. Il y posa tout contre l'ouverture crispée le bout effilé de la bougie et commença à la tourner tout en l'enfonçant fermement. Je me mis à participer à ma propre souffrance en me détendant, soumise à la déviance de cet inconnu. Je me décrispais, me détendis au fur et à mesure que la bougie conquit mes entrailles. Durant de longues minutes l'objet conique dans les mains du grand noir prit peu à peu possession de moi tel un prédateur. Au fur et à mesure que le bout éffilé conquit ce territoire inconnu, la base elle, plus large écartelait mes sphincters presque à m'en faire mal. Je gémis autant de douleur que de plaisir. François commença alors à opérer un va-et-vient lent dans mes intestins, achevant de m'ouvrir complètement. La bougie ne rencontra plus aucune résistance dans mon intestin : il glissait aussi sûrement que si mes boyaux étaient moulés autour de ce corps étranger.
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Mercredi 4 octobre 3 04 /10 /Oct 17:54
François se contenta de me fixer avec ses yeux perçants sans daigner me répondre. Pour toute réponse, il me saisit les hanches et m'allongea confortablement sur le dos. Je le laissais faire les yeux interrogateurs ...

Porter mes quarante-cinq kilos ne semblait pas lui réclamer plus d'effort que si je n'avais pesé que quelques grammes. Il me cala alors un coussin sous le dos pour surélever mon bassin. François par quelques mouvements écarta mes cuisses et se cala entre de ses larges hanches. Je pouvais assister à notre coït sur l'immense miroir mural. J'y voyais François se saisir d'une bougie tout proche du sofa. Il le pencha lentement au dessus de mon dos. Je devinais où il voulait en venir : je commençais enfin à me remettre en osmose avec lui. La première goutte de cire brûlante éclata entre mes seins : je me mordis les lèvres devant la souffrance. Plusieurs gouttes tapissèrent ensuite mes tétons, agréablement picotant.

Ca faisait longtemps que je n'avais ressenti du plaisir dans la souffrance. C'était notre jeu avec mon mari il y a quelques années mais nous avions fini par abandonner l'idée.
 
Puis il me fit retourner et opéra de même sur tout mon dos jusqu'à l'intérieur de la raie de mes fesses et la cire s'écoula un peu dans mon sillon creux, diffusant sa brûlure avant de se figer. Je le vis tapoter les mares de cire sur mon dos avec son pénis toujours aussi fortement dressé.

Ce contact doux me sembla être une bénédiction de la nature.
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Mercredi 4 octobre 3 04 /10 /Oct 15:52
Mais il se leva et m'arracha les doigts de ma douceur intime. Puis il pinça fortement mon clitoris dressé comme minuscule un pain de sucre, ce qui m'arracha un cri de douleur et annihila mon élan orgasmique. Je compris alors ce qu'il voulait : il se satisfait de constater que mon clitoris n'avait rien perdu de sa dureté. Il fit apparaître dans sa main un autre de mes anneaux de piercing. Assis en tailleur entre mes jambes posées sur ses genoux, François avec des doigts de fée qu'on ne lui soupçonnait aucunement, me caressa longuement le clitoris. Il tâtonna à peine pour loger mon bijou dans l'artificiel canal creux de mon clitoris. Il le ferma et le fit glisser longuement comme pour me caresser avec le bijou. Seul mon mari savait faire ça ... avant François et sans que je ne lui ai exprimé, il détecta que cet acte intime qui consistait à me masturber avec mon anneau. Je rejettais ma tête en arrière ne voulant pas donner le spectacle de ma jouissance aux regards de François imperturbable. Il me lissa encore et encore le clitoris. Je pris ses mains dans les miennes pour accompagner son mouvement, le guider. Je me sentis à nouveau venir petit à petit mais lorsque je crus atteindre le point de non retour, François pinça à nouveau mon clitoris et un cri de douleur sortit de ma bouche ... Je le regardais offusquée !

- Mais qu'est-ce qu'il te prend ?
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Mercredi 4 octobre 3 04 /10 /Oct 11:11
De son autre main, François me prit l'autre main puis l'emmena à se poser sur ma chatte béante dans une invite tacite. Je compris ce qu'il voulait : je commençais à me caresser longuement le clitoris, dans un mouvement de masturbation.

Mes doigts s'affairèrent longuement sur ma chair la plus intime et François se détacha de moi pour se caler à l'autre bout du sofa, assis tranquillement en train de se rouler un joint qu'il sortit du tiroir à côté. Ainsi positionné, il avait une vue magnifique sur mes jambes écartées, mon sexe béant à peine masqué par mes doigts qui y opposaient un va-et-vient incessant. François n'avait pas besoin de me parler : nous étions tellement en symbiose que chacune de ses pensées se transmettait à mon esprit instantanément. Il leva un sourcil et alors, je portais mes doigts actifs à ma bouche et me dégustais la mouille. Jamais je ne me suis autant délectée de mon ambroisie de secrétion. Puis je me remis à me masturber ... Le sexe ramolli de François reprit bientôt de la vigueur devant le spectacle. Moi de mon côté je sentais un plaisir sourd remonter du fond de mes entrailles, torturant mes hanches graciles. Je halletais à nouveau crescendo. François ne perdait pas une miette et par simple télépathie semblait guider mon corps vers l'orgasme. Je me sentais venir ... Ce n'est plus qu'une question de secondes ...
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Lundi 2 octobre 1 02 /10 /Oct 15:38
François clipsa le bijou et le lâcha puis se rallongea à mes côtés sans même daigner me répondre. Ma conversation sembla profondément l'ennuyer aussi il se contenta de faire glisser son index sur l'amas de sperme qui couvrait maintenant la base de mon piercing, puis il le remonta ...

 Je persistais néanmoins à lui parler :

- Non ? C'était super-marrant ...

Il ne m'écoutait toujours pas : avec son index, il badigeonna ma bouche de sa semence. Je me tus interloquée puis, me prenant au jeu, je le laissais recouvrir copieusement mes lèvres de cette substance gélatineuse blancheâtre en me taisant et en fermant les yeux ...

Au final, lorsqu'il eut terminé, je passais doucement ma langue autant par excitation intense que pour lui donner un gage de ma soumission ...

C'était fou : habituellement, je détestais cela mais j'étais en train de me repaitre du sperme d'un homme dont je ne me doutais pas de l'existence il y a quelques heures ...
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