Les histoires érotiques d'une Fleur
Je ne me suis pas évanouie mais j'ai sombré dans une
sorte d'état catatonique où j'étais consciente de tout ce qui m'arrivait mais il me semblait me trouver complètement détachée de mon corps : j'eus un sourire entendu à chaque fois que le bras de
Kassim s'abattait sur moi, jouissant d'une sorte de joie sadique à voir ce corps rebelle se faire corriger et se couvrir d'hématomes ...Pour parachever son oeuvre de destruction, Kassim, ainsi que je l'avais espéré finit par me baiser comme la dernière des trainées. Commentant son dégoût de tremper son sexe dans ma chatte qu'il disait sentir la pourriture à force d'avoir servi à soulager tous les malades de Paris. Il avait beau affirmer être dégoûté, cela ne l'empêcha pas de faire durer son plaisir longtemps en allant et venant entre mes cuisses.
Il finit par grogner en se déversant abondamment dans mon ventre. Moi, je ne comptais plus mes orgasmes ...
Il se retira de moi en grommelant :
- J'éspère que tu es toujours safe, Charlie. Sinon, je te jure que ta mère ne reconnaitra plus ta sale petite gueule de putain.
Je m'enroulais autour de sa cuisse puis saisit son pénis dans ma bouche pour le nettoyer de nos sécrétions délicieuses. Non sans l'avoir rassuré auparavant :
- Mon dernier test SIDA est toujours négatif, murmurais-je ... Je l'ai fait avant de partir ...
Je lui prodiguais une fellation douce et langoureuse qui le fit encore éjaculer dans ma bouche après de longues minutes.
Enfin satisfait, Kassim m'écarta d'un dernier coup de pied qui m'arracha un jappement surpris :
- Ce n'est pas terminé Charlie ...
Les menaces indéfinies ne présageaient jamais rien de bon de la part de Kassim. Mais que pouvais-je y faire ?
Mar 19 déc 2006
1 commentaire
Pourquoi ne pas publier cette histoire sur : http://worldpleasure.net/StoriesX/
MarieChristine - le 28/12/2006 à 21h48
pourquoi ne pas publier sur un autre site ? et bien après l'avoir fait sur d'autres et ayant subi diverses censures de la part des administrateurs choqués par
l'immoralité des sujets, j'ai choisi de les publier moi-même sur un support de blog (celui que vous êtes en train de consulter). au moins, j'aurais plus de liberté pour parler des sujets qui me
tiennent à coeur sans être obligée de reformater mes propos ou tout simplement, me faire rejeter.
ainsi, je n'aurais de compte à rendre qu'à moi-même et aux lecteurs qui apprécient mon style. les autres peuvent évidemment passer leur chemin et aller voir ailleurs : je les y encourage ...
ce que je trouve dommage, c'est que si l'immoralité ne se situe plus sur le sexe à proprement parler, elle s'est déplacée vers la pertinence de son utilisation : y souscrire, même si je comprends la volonté de protection des gens, ce serait brider mon imagination et ma prose ...
voilà, en espérant avoir répondu à votre question.
flower
ainsi, je n'aurais de compte à rendre qu'à moi-même et aux lecteurs qui apprécient mon style. les autres peuvent évidemment passer leur chemin et aller voir ailleurs : je les y encourage ...
ce que je trouve dommage, c'est que si l'immoralité ne se situe plus sur le sexe à proprement parler, elle s'est déplacée vers la pertinence de son utilisation : y souscrire, même si je comprends la volonté de protection des gens, ce serait brider mon imagination et ma prose ...
voilà, en espérant avoir répondu à votre question.
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