Les histoires érotiques d'une Fleur
Seule une phrase sortit de ma bouche, dans un souffle :
- Vas-y doucement ... doucement ...
Il se mit à genoux derrière mon bassin et de ses doigts, il commença à écarter doucement mes globes fessiers, puis il se pencha pour me lécher doucement la raie des fesses, insistant bien sur ma fente, encore béante puis mon trou ferme et anxieux dans l'attente de son sort. C'était étrange comme sensation ... Rares sont les hommes qui ont aimé me faire ça ... Même mon mari y répugnait même s'il s'y prétait volontiers pour me faire plaisir ... Sa langue me titilla longuement l'anus, détendant lentement ce dernier. Ses doigts, au fur et à mesure que ma plus fragile intimité s'ouvrait, s'avancèrent en faisant des ronds, de plus en plus loin. Je me tenais sur les coudes, les poings ramenés sous le menton en attendant mon sort. Mon bassin était toujours offert aux manipulations douces et légères de mon amant, qui sortit enfin sa langue de mon anus, puis elle remonta le long de ma raie, puis elle remonta le long de ma colonne vertébrale. En même temps, je sentais se poser sur mon oeillet le bout massif du pénis de François. Par petit coups de reins, il poussa pour s'insérer en moi lentement. Il savait détecter quand le coup de rein était trop brutal et me faisait mal : je jappais à chaque fois. Néanmoins, milimètre par milliètre il finit par me conquérir les entrailles entièrement. Comme c'était bon de se sentir remplie complètement : aucun mouvement n'était plus possible sans bouger François et son quintal.
- Vas-y doucement ... doucement ...

Il se mit à genoux derrière mon bassin et de ses doigts, il commença à écarter doucement mes globes fessiers, puis il se pencha pour me lécher doucement la raie des fesses, insistant bien sur ma fente, encore béante puis mon trou ferme et anxieux dans l'attente de son sort. C'était étrange comme sensation ... Rares sont les hommes qui ont aimé me faire ça ... Même mon mari y répugnait même s'il s'y prétait volontiers pour me faire plaisir ... Sa langue me titilla longuement l'anus, détendant lentement ce dernier. Ses doigts, au fur et à mesure que ma plus fragile intimité s'ouvrait, s'avancèrent en faisant des ronds, de plus en plus loin. Je me tenais sur les coudes, les poings ramenés sous le menton en attendant mon sort. Mon bassin était toujours offert aux manipulations douces et légères de mon amant, qui sortit enfin sa langue de mon anus, puis elle remonta le long de ma raie, puis elle remonta le long de ma colonne vertébrale. En même temps, je sentais se poser sur mon oeillet le bout massif du pénis de François. Par petit coups de reins, il poussa pour s'insérer en moi lentement. Il savait détecter quand le coup de rein était trop brutal et me faisait mal : je jappais à chaque fois. Néanmoins, milimètre par milliètre il finit par me conquérir les entrailles entièrement. Comme c'était bon de se sentir remplie complètement : aucun mouvement n'était plus possible sans bouger François et son quintal.
Mer 16 mai 2007
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A bientôt
K-ress