Les histoires érotiques d'une Fleur

A tour de bras, il se défoula sur ma tête ...

J'acceptais comme d'habitude : je tendais toujours ma joue à la prochaine trouvant normal de me faire corriger ...

Le goût de sang dans la bouche, après qu'il eût arrêté, je ne me déparrais plus de mon regard brûlant. Le feu s'est embrasé dans mon ventre et plus rien ne pouvait l'éteindre sauf me faire violer encore par ces brutes ... La drogue n'est pas un aphrodisiaque pour moi : c'était la violence et la souffrance ...

Mr Black décontenancé se reprit très vite en appelant ses camarades :

- Ho ... Les gars ! Venez ! Pain de mie veut de la bite ! Beaucoup de bites !

Les trois autres se précipitèrent ...

- Putain ! On va se la faire ...

- On va la faire hurler ... de plaisir !

Mr Black se tourna vers Abdou et ses deux camarades, blêmes devant la tournure des évènements :

- Elle vous a dit ? Elle veut des vrais mecs ... Cassez-vous dehors petits cons ...

Dans un silence surréaliste, les trois adolescents violeurs quittèrent la pièce que l'un des copains de Mr Black (appellons-le Mr Pink) verrouilla derrière eux.

Le but était toujours de mater ma dernière résistance à mon sort : je ne l'avais pas oublié malgré mes gargouillis de chienne en chaleur réclamant son viol addictif. Les quatre sbires, Mr Black, Mr Pink, Mr White et Mr Brown, voulaient juste prendre du bon temps. Plus de rebéllion si je voulais survivre mais en l'état actuel des choses, c'est moi qui réclamais ma punition.

Le premier me déchira ou presque la chatte. Sans préliminaires et sans vaseline, je souffrais toujours malgré la centaine pénis que Kassim avait fourrés dans ma chatte depuis que je suis sa chose ... Son VIP-Room ... C'est ainsi que Kassim qualifiait mon puits fécond comme si c'était une vulgaire entrée de boîte de nuit dont il filtrait l'entrée ... Etait-ce vraiment éloigné de la réalité ? Le premier malabar, Mister White, me défonça la chatte et entrepris un va-et-vient lourd qui élargissait mes parois de moins en moins intimes à chaque passage. Sans un mot ni autre démonstration de tendresse, il me défonça ainsi durant presque une demi-heure.

Malgré mon excitation, je ne pus retenir l'expression d'un cri de douleur ...

Mr Black, attendant son tour, me l'éteignit d'une puissante giffle ...
Jeu 5 avr 2007 2 commentaires

toujours autant de trouble dans tes mots...et de tes mots


bisous tout plein

ergad - le 22/04/2007 à 10h20
bisous :)
Flower
salut , joli blog que tu as , si t'es ok pour des echanges de liens avec www.hentaibdd.com  laisse moi un commentaire ou fais moi un mail quand tu m'auras rajouté que je fasse pareil
nicky larson - le 03/05/2007 à 11h41