Les histoires érotiques d'une Fleur

François conscient de mon trouble, se tint néanmoins coi. Il savait adroitement par sa discrétion dans notre relation me laisser franchir chaque étape de ma réflexion. C'est ainsi qu'il obtient de moi la quintescence. Il le savait et moi aussi je le savais : je savais qu'il me manipulait et j'en redemandais. Doucement, je repris dans ma bouche son pénis agité des battements de sa pulsation. Je léchais le bout, me délectant de sa mouille puis tentant à nouveau d'englober le Monstre.

Je le fis passer le long de mon palais le plus loin possible ... jusqu'à ce qu'un haut-le-coeur me saisisse ... Ma langue goûtait avec délice à sa peau fragile et tendre ... Un frisson me parcourut l'échine puis remonta le long de mon ventre jusqu'à électriser le bout de mes seins qui me firent délicieusement mal : les piercings avaient cette faculté d'avoir rendu hyper-sensibles mes tétons. François me releva en me saisissant une touffe de cheveux puis me saisit par les fesses pour me porter : je fis passer mes jambes autour de sa taille, ma jupe longue était repliée jusqu'en haut de ma ceinture. François avait toujours son pantalon baissé jusqu'aux cuisses, aussi, il sentit s'appuyer contre la peau de son abdomen ma chatte libérée de sa culotte quelques heures plus tôt.
Ven 16 mar 2007 Aucun commentaire