Les histoires érotiques d'une Fleur

Je conduisais avec une vitesse folle, ramenant les deux heures de trajet à, à peine, une heure un quart. Dès que j'engageais ma BMW sur la petite route sombre, le portail de chez François s'ouvrit et la cour s'éclaira. Je calais et redémarrais ma voiture avec des insultes vulgaires peu communes venant de ma part. C'est dire si j'étais dérangée ! Des tics de nervosités agitaient mon visage régulier lorsque je vérifiais mon maquillage dans le rétroviseur.

Il m'attendait debout sur le perron. Je me jettais à son cou, le couvrant de baisers auxquels il répondit tant bien que mal. Puis je me laissais glisser par terre, déboutonnant sa chemise sans qu'il ne fasse rien pour m'en dissuader malgré le froid. Je m'accroupis et fébrilement, dégraphais son pantalon, extrayant sa matraque molle, que je me mis à avaler avidement. Avaler ...

Enfin, j'ai un peu présumé de mes capacités : même au repos, il m'était impossible de l'engloutir entièrement dans ma bouche. Il prenait peu à peu vie dans ma bouche. François se laissait toujours faire, satisfait.
Mar 13 fév 2007 1 commentaire
Quel belle manière de réchauffer l'ambiance... Satisfait, la suite n'en sera que meilleur
sam... de leroBar - le 18/02/2007 à 15h53
Et oui ... Quel chanceux ce François ! :)
Flower