Les histoires érotiques d'une Fleur

Le viol en réunion fut méthodique.

Déjà dans un état second, je sentis la première épée de chair me transpercer ... J'eus mal ... Je n'eus pas le temps de panser ma douleur car un autre le remplaça bientôt ... Puis encore un autre ...

Seul visage connu, un peu rassurant que mes yeux brouillés de larmes fixaient : Abdou et mes deux autres élèves ... C'était stupide car ils étaient là pour les mêmes raisons que les "grands" ... Ils attendaient seulement leur tour ... Un peu de disponibilité de mon corps ... Ils allaient attendre longtemps car comme dans toute meute, les plus puissants se servaient en premier.

Cela a duré des heures ...

D'autres "amis" de Kassim arrivèrent au fur et à mesure que d'autres repartaient ... Ils ne venaient que pour un seul but : me violer ; vider leur semence dans mes orifices. Des fois me taper ... Comme ça, pour le plaisir ... Puis repartir ... Ils avaient rempli leur mission et moi, je restais ... Je restais pour les autres ...

J'étais malade, épuisée, meurtrie mais ils n'en avaient cure de mes sanglots ... Ils se sont servis de mon corps durant plus d'une journée ainsi ... Dans mon cauchemar second, je dus apercevoir l'affichage d'une horloge murale ... J'ai perdu le fil du temps au bout de la treizième heure ...

Je sanglotais toujours mais mes larmes ne coulaient plus ...

Le suicide ... J'y pensais à chaque fois qu'un objet contondant me forçait l'un ou l'autre orifice mais immobilisée sous les corps de mes violeurs, même cela m'était interdit ... C'était la première fois que j'y pensais ... J'y pensais comme une délivrance mais elle était tellement loin ... D'autant qu'une pudeur ridicule me retint également : j'étais toujours l'enseignante de trois de mes violeurs aussi je ne dois pas leur faire montre de faiblesse ... Ridicule vous disais-je ...

Lun 15 jan 2007 1 commentaire

Te voir

 




 



Comme j’aime te voir

 



Cuisse ouverte, chatte offerte

 



Ton doigt agile te branlant

 



Te voir

 



Tendue, hanche qui roule

 



Reins tendus comme pour que je te baise

 



Tu fermes les yeux m’écoutant

 



Te voir

 



Ton sexe rasé de prés

 



Lèvres écarlates qui s’ouvrent

 



Ton doigt rentrant et émergeant

 



Te voir

 



Tu t’agites plus

 



Ton souffle devient court

 



Tu mouilles bruit de succion

 



Te voir

 



Tu te tends en arrière

 



Tes seins dressés sont durs

 



Tes doigts s’inondent de foutre

 



Te voir

 



Te détendre apaisé

 



Ton doigt calme ton clitoris

 



Laissant calmer ta jouissance

 



Te voir te branler

 




 




 



Yannick janvier 2007




yannick40@hotmail.com

 


yannick - le 25/01/2007 à 23h06
merci yannick,

je suis heureuse de t'inspirer ainsi. à mon tour de te faire plaisir en perpétuant ce blog où (même sous forme romancée), je livre mes états d'âme
Flower