Les histoires érotiques d'une Fleur
Le viol en réunion fut méthodique.
Déjà dans un état second, je sentis la première épée de chair me transpercer ... J'eus mal ... Je n'eus pas le temps de panser ma douleur car un autre le remplaça bientôt ... Puis encore un autre ...
Seul visage connu, un peu rassurant que mes yeux brouillés de larmes fixaient : Abdou et mes deux autres élèves ... C'était stupide car ils étaient là pour les mêmes raisons que les "grands" ... Ils attendaient seulement leur tour ... Un peu de disponibilité de mon corps ... Ils allaient attendre longtemps car comme dans toute meute, les plus puissants se servaient en premier.
Cela a duré des heures ...
D'autres "amis" de Kassim arrivèrent au fur et à mesure que d'autres repartaient ... Ils ne venaient que pour un seul but : me violer ; vider leur semence dans mes orifices. Des fois me taper ... Comme ça, pour le plaisir ... Puis repartir ... Ils avaient rempli leur mission et moi, je restais ... Je restais pour les autres ...
J'étais malade, épuisée, meurtrie mais ils n'en avaient cure de mes sanglots ... Ils se sont servis de mon corps durant plus d'une journée ainsi ... Dans mon cauchemar second, je dus apercevoir l'affichage d'une horloge murale ... J'ai perdu le fil du temps au bout de la treizième heure ...
Je sanglotais toujours mais mes larmes ne coulaient plus ...
Le suicide ... J'y pensais à chaque fois qu'un objet contondant me forçait l'un ou l'autre orifice mais immobilisée sous les corps de mes violeurs, même cela m'était interdit ... C'était la première fois que j'y pensais ... J'y pensais comme une délivrance mais elle était tellement loin ... D'autant qu'une pudeur ridicule me retint également : j'étais toujours l'enseignante de trois de mes violeurs aussi je ne dois pas leur faire montre de faiblesse ... Ridicule vous disais-je ...
Déjà dans un état second, je sentis la première épée de chair me transpercer ... J'eus mal ... Je n'eus pas le temps de panser ma douleur car un autre le remplaça bientôt ... Puis encore un autre ...
Seul visage connu, un peu rassurant que mes yeux brouillés de larmes fixaient : Abdou et mes deux autres élèves ... C'était stupide car ils étaient là pour les mêmes raisons que les "grands" ... Ils attendaient seulement leur tour ... Un peu de disponibilité de mon corps ... Ils allaient attendre longtemps car comme dans toute meute, les plus puissants se servaient en premier.
Cela a duré des heures ...
D'autres "amis" de Kassim arrivèrent au fur et à mesure que d'autres repartaient ... Ils ne venaient que pour un seul but : me violer ; vider leur semence dans mes orifices. Des fois me taper ... Comme ça, pour le plaisir ... Puis repartir ... Ils avaient rempli leur mission et moi, je restais ... Je restais pour les autres ...
J'étais malade, épuisée, meurtrie mais ils n'en avaient cure de mes sanglots ... Ils se sont servis de mon corps durant plus d'une journée ainsi ... Dans mon cauchemar second, je dus apercevoir l'affichage d'une horloge murale ... J'ai perdu le fil du temps au bout de la treizième heure ...
Je sanglotais toujours mais mes larmes ne coulaient plus ...

Le suicide ... J'y pensais à chaque fois qu'un objet contondant me forçait l'un ou l'autre orifice mais immobilisée sous les corps de mes violeurs, même cela m'était interdit ... C'était la première fois que j'y pensais ... J'y pensais comme une délivrance mais elle était tellement loin ... D'autant qu'une pudeur ridicule me retint également : j'étais toujours l'enseignante de trois de mes violeurs aussi je ne dois pas leur faire montre de faiblesse ... Ridicule vous disais-je ...
Lun 15 jan 2007
1 commentaire
merci yannick,
je suis heureuse de t'inspirer ainsi. à mon tour de te faire plaisir en perpétuant ce blog où (même sous forme romancée), je livre mes états d'âme
je suis heureuse de t'inspirer ainsi. à mon tour de te faire plaisir en perpétuant ce blog où (même sous forme romancée), je livre mes états d'âme
Flower
Te voir
Comme j’aime te voir
Cuisse ouverte, chatte offerte
Ton doigt agile te branlant
Te voir
Tendue, hanche qui roule
Reins tendus comme pour que je te baise
Tu fermes les yeux m’écoutant
Te voir
Ton sexe rasé de prés
Lèvres écarlates qui s’ouvrent
Ton doigt rentrant et émergeant
Te voir
Tu t’agites plus
Ton souffle devient court
Tu mouilles bruit de succion
Te voir
Tu te tends en arrière
Tes seins dressés sont durs
Tes doigts s’inondent de foutre
Te voir
Te détendre apaisé
Ton doigt calme ton clitoris
Laissant calmer ta jouissance
Te voir te branler
Yannick janvier 2007
yannick40@hotmail.com