Les histoires érotiques d'une Fleur

François écarta le pan de ma robe fendue pour ouvrir mes cuisses et s'y installer. Entretemps, il s'est dézippé le pantalon et avait sorti son arme absolue. Il cala son pénis contre ma vulve et poussa lentement. Mon corps fiévreux et frissonnant l'engloutit et il put profiter enfin de ma chaleur intime, tout au fond de mon vagin. J'entourais sa taille avec mes jambes, posant mes talons aiguille sur ses fesses musclées, clouée comme un papillon. Il m'embrassait la bouche, la joue, le front, obligé de reprendre son souffle entre deux. J'avais la tête renversée en arrière, la bouche ouverte, recherchant mon souffle. Il me besogna longtemps ... Il se releva tout en me relevant en me tenant par le cou. J'eus la vision de ma chatte plissée écartelée par cette matraque noire ce qui m'excita encore plus : je poussais un cri car une jouissance lourde m'emporta, dévastant mon ventre jusqu'au moindre de mes muscles. Je m'effondrais tandis que François se recoucha sur mon corps en reprenant son piston. J'avais mal aux cuisses écartelées par la masse de François mais je voulais qu'il continue. Il me fit encore jouir lourdement ...

Je jouissais sur commande ...

Je jouissais rien qu'à l'idée que François me possède. Mes orgasmes devinrent assez pénibles à avoir : ils devinrent un mélange sulfureux entre douleur et plaisir.

Encore des coups de reins, et encore un orgasme ponctué de hurlement strident qui dut réveiller tout l'hotel ... Personne ne m'avait fait jouir autant et si fortement ...

C'est seulement après une heure de sauvages empoignades que François se déversa enfin dans ma chatte, inondant les jeunes parois de mon vagin de son mâle jus. Moi, je ne suis plus arrivée à compter mes orgasmes. J'avais mal sur tout le corps comme si un rouleau compresseur avait déchiqueté chacun de mes membres.

Des larmes de douleur ruisselaient sur mon visage ... Au regard interrogateur de François, je l'embrassais en le remerciant éperdumment ...
Lun 4 déc 2006 Aucun commentaire