Les histoires érotiques d'une Fleur

Des larmes de honte commençaient à s'écouler de mes yeux mais avaient peu d'effets sur la houle qui commençait à me tarauder le ventre de manière régulière. François fit un gros plan sur mon visage et arrêta de me tourmenter. Puis il posa sa caméra et de ses deux mains, tout en me maintenant empalée sur son sexe, il me souleva et me fit tourner le bassin pour que je m'asseye en lui tournant cette fois-ci le dos : je fis passer mes jambes par dessus ses cuisses et bientôt me retrouvai à califourchon à nouveau, son sexe encore confortablement enfoncé dans le mien dans un lien que rien ne semblait pouvoir briser. François me poussa alors par terre et je me retrouvais à quatre pattes sur le carrelage à avancer sous le choc de ses coups de reins tandis qu'il me chevauchait à l'arrière. Je finis par me au creux de son bas-ventre et, enfin, chaque coup de rein de François me transperça de la manière la plus efficace, m'arrachant à chaque fois un gémissement de délectation.

La houle qui me taraudait le ventre reprit de plus belle, lente mais croissante dans son intensité. Lorsque l'orgasme me faucha, je m'affalais recroquevillée tandis que François se couchait sur moi, le pénis se calant immobile au fond de ma fécondité, en train d'éjaculer tout le sperme de son corps, me le léguant comme un trésor. Je me mordis le pouce puis l'index, toujours agitée de soubresauts incontrôlables agrémenté de cris interminables. Cet orgasme était encore plus fort que la précédente que j'avais acquise entre les cuisses de François.

Il se leva et moi, anéantie et sanglottante, je restais prostrée en position foetale ...
Mer 8 nov 2006 Aucun commentaire