Les histoires érotiques d'une Fleur
Il me dévorait le corps, puis recrachait le déchet qui en restait. Ce déchet fut parfois encore digéré par ses amis. Moi, il ne me restait plus que l'humiliation à vivre.
Pire, à chaque passage, comme érodé par ses coups de reins que je subissais avec une violence haineuse, il me dévorait également l'âme.
Par la force ... puis par habitude ... puis par l'envie, je devais perpétuellement afficher une attitude de soumission complète face à lui ... Je ne pouvais faire certes faire autrement mais en plus, chaque unité temporelle qui passait me convainquit que j'étais à lui et que, même sans entraves, je ne disposais plus de ma liberté de penser ni même de vivre sans lui.
Pire, à chaque passage, comme érodé par ses coups de reins que je subissais avec une violence haineuse, il me dévorait également l'âme.
Par la force ... puis par habitude ... puis par l'envie, je devais perpétuellement afficher une attitude de soumission complète face à lui ... Je ne pouvais faire certes faire autrement mais en plus, chaque unité temporelle qui passait me convainquit que j'étais à lui et que, même sans entraves, je ne disposais plus de ma liberté de penser ni même de vivre sans lui.

Mar 17 oct 2006
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