Les histoires érotiques d'une Fleur

Nous nous écroulâmes de concert sur le sofa mais François ne s'est pas retiré de mon cul. Il me serrait dans ses bras, nous gardant collés pendant que son pénis perdait peu à peu vie dans mes entrailles. J'avais les larmes aux yeux. Je n'avais jamais joui aussi fort ... et ça me faisait peur car mon mari était loin, très loin d'être maladroit dans nos rapports sexuels ... Bien au contraire ...

La lumière du jour filtrait à travers les rideaux mais n'arrivait pas à altérer la rassurante pénombre qui régnait dans la bâtisse. Un coup d'oeil sur la pendule murale m'indiqua déjà neuf heures du matin. Je voulus me lever mais les bras musclés de François somnolant me serraient toujours la taille comme un étau. Je tournais la tête et lui volais un baiser sur la bouche qui ne le réveilla même pas. Il s'endormit et je m'endormis également non sans sentir dans un demi-sommeil son pénis devenu inconsistant s'échapper de mon anus. Du sperme commença à s'écouler en continu de mon ouverture laissée béante ...
Lun 9 oct 2006 1 commentaire

c'est beau...ma position préférée...et avec une femme aussi belle...huummm...que d'envie d'un coup...

sorce - le 21/07/2010 à 16h04