Les histoires érotiques d'une Fleur

De son autre main, François me prit l'autre main puis l'emmena à se poser sur ma chatte béante dans une invite tacite. Je compris ce qu'il voulait : je commençais à me caresser longuement le clitoris, dans un mouvement de masturbation.

Mes doigts s'affairèrent longuement sur ma chair la plus intime et François se détacha de moi pour se caler à l'autre bout du sofa, assis tranquillement en train de se rouler un joint qu'il sortit du tiroir à côté. Ainsi positionné, il avait une vue magnifique sur mes jambes écartées, mon sexe béant à peine masqué par mes doigts qui y opposaient un va-et-vient incessant. François n'avait pas besoin de me parler : nous étions tellement en symbiose que chacune de ses pensées se transmettait à mon esprit instantanément. Il leva un sourcil et alors, je portais mes doigts actifs à ma bouche et me dégustais la mouille. Jamais je ne me suis autant délectée de mon ambroisie de secrétion. Puis je me remis à me masturber ... Le sexe ramolli de François reprit bientôt de la vigueur devant le spectacle. Moi de mon côté je sentais un plaisir sourd remonter du fond de mes entrailles, torturant mes hanches graciles. Je halletais à nouveau crescendo. François ne perdait pas une miette et par simple télépathie semblait guider mon corps vers l'orgasme. Je me sentais venir ... Ce n'est plus qu'une question de secondes ...
Mer 4 oct 2006 Aucun commentaire