Les histoires érotiques d'une Fleur

Lorsque François grimpa les escaliers pour nous ramener au salon, moi accrochée à son bras et son pénis pronfondément enfoui au fond de mon vagin, je fus quelque peu balottée. Il m'élargit involontairement les parois.

Puis il me déposa avec une délicatesse que mon poids n'altéra absolument pas sur le large sofa, tout en restant penché au dessus, le pénis toujours en possession de ma cavité vaginale. Nous étions nus et détrempés par la sueur animale qui nous faisait briller le corps : j'avais toujours les yeux mi-clos lorsque je sentis la bouche de François m'embrasser le cou puis sa main me saist la tête et il posa à nouveau ses lèvres sur ma bouche ma lançant un langoureux et passionné baiser. Il se saisit de mes longs cheveux comme pour s'essuyer le front, s'imprégner de mon odeur de sexe qui me suintait à travers les pores de ma peau.

Tout en continuant à m'embrasser, il me prodigua des coups de reins lents, faisant glisser son pénis dans mon fourreau sexuel. C'en était trop pour moi, je sentis instantanément un orgasme me secouer. François me saisit la poitrine et de ses doigts, il pinça doucement mes mamelons roses et durcis comme du granit. Je gémis sans pouvoir m'arrêter. La notion du temps devint quelque chose de particulièrement difficile à évaluer pour moi : il me sembla que François me pistonna durant des heures ...

Je me sentais ramollir de partout en subissant le rythme lent et régulier de François : chaque caresse de son pénis sur mes parois vaginales étaient une douceur fabuleuse. Je halletais puis me calmais mais François semblait vouloir me maintenir dans cet état pré-orgasmique pour longtemps, ralentissant le rythme encore plus dès qu'il me sentait monter. Puis il finit par se retirer sans qu'aucun de nous n'ait eu un orgasme une fois de plus.
Lun 2 oct 2006 Aucun commentaire