Les histoires érotiques d'une Fleur

Conquise, je saisis la main de François qui me maintenait l'épaule en signe de soumission. Mon corps disparaissait sous sa masse noire. Seules mes jambes battirent l'air furtivement pour reprendre l'équilibre. Déjà, mon mâle amant commençait à me pistonner le bassin pour m'élargir. Je tendis mon bassin en offrande. Je voudrais me retenir mais mes lèvres ne purent empêcher de lâcher des suppliques gémissantes ...

François toujours drappé dans son silence méprisant continuait imperturbable à me gratifier de ses coups de hanches réguliers et puissants. Ses mains crochées comme des serres sur mes épaules ou griffant mon dos me faisaient mal mais je n'en avait cure.

A cet instant, mon pauvre mari n'était plus qu'un vague souvenir. Je haletais sans discontinuer tandis que François, toujours à son allure de métronome, me labourait les reins. Il n'y avait aucune tendresse dans on acte mais je n'en voulais plus : je voulais juste être la chose dont il se servait pour masturber sa bite. De toutes manières, il n'avait pas l'intention de m'en offrir plus. Je l'entendis marmonner des mots sans suite, à peine audibles :

- Vas-y petite ... vas-y ...

Je poussais des petits cris en sentant mon orgasme arriver.
Sam 30 sep 2006 Aucun commentaire