Les histoires érotiques d'une Fleur

Je lâchais, dans un souffle :

- Viens ...

François ne répondit même pas, m'affichant son air méprisant du conquérant vainqueur devant sa proie le suppliant de l'épargner. Il continua à m'élargir de ses pouces. Je coulais comme une fontaine. Je gémis de frustration à nouveau.

- Prends-moi ... Hhhh ...

François continuait toujours à me masser les parois internes, lisses de ma mouille. Je n'en pouvais plus. Je tentais de reprendre le dessus sur mon indécence.

- Non ... Tu vas trop loin, laisse-moi.

Mon corps esclave trahit mon desarroi : mes jambes s'écartèrent au maximum et je faillis tomber de la table si ce n'était François solidement assis sur mes épaules, me calant de ses cents kilos, m'écrasant tout contre la table de massage.



 Il se releva comme pour obtempérer à mes suppliques. Je poussais un soupir autant de soulagement que de frustration. Mais lorsque je tentais de me relever, décidée à échapper aux mains du grand noir, il me saisit fermement aux épaules puis se coucha sur mon dos pour m'immobiliser : je sentis à nouveau son pubis armé de son braquemart appuyer sur mes fesses, se moulant dans son creuset ... Je poussais à nouveau un soupir, plus résigné cette fois-ci.
Jeu 28 sep 2006 Aucun commentaire