Les histoires érotiques d'une Fleur

Cette fois, François était en érection maximale et ce que je vis était monstrueux et merveilleux : un mât d'ébène noir jais et circoncis, épais et strié de veines, qui battait au rythme de son coeur. Mais il se retint, tournant le dos pour aller déposer mes bijoux à l'extérieur. Je refermai et renouai ma serviette et me rallongea sur le ventre. Les yeux fermés, j'entendis François revenir et me caresser furtivement les fesses rebondies avant de retourner s'allonger à son tour sur sa table.



Je somnolais au fur et à mesure des minutes qui passèrent. Puis, je fus réveillée par François qui me souleva de la table et, me portant dans ses bras et les miens entourant son cou, nous sortîmes de la cabine de sauna. Je jettais un coup d'oeil au grand miroir du mur d'en face. Je vis l'immense corps noir et brillant de sueur de François qui culminait à deux mètres porter à bout bras mon minuscule corps à la couleur neigeuse, drapé dans sa serviette comme un petit chien. François me déposa sur une grande table de massage que j'avais aperçu en entrant à l'aller. Il retira avec des gestes neutres ma serviette détrempée dénudant mon corps offert, du cou jusqu'aux chevilles. Il m'installa confortablement le visage dans le dossier de la table, percé en son centre pour laisser mon visage libre. Il me tira bien les chevilles pour parfaire ma position allongée. Mon mari était définitivement sorti de mon esprit. Je n'avais plus qu'une idée en tête : continuer à être la chose de ce grand noir inconnu.
Lun 25 sep 2006 Aucun commentaire