Les histoires érotiques d'une Fleur

Ecarquillant les yeux, il ne comprit pas en voyant que mes oreilles et mon cou en étaient dépourvus.

- Ton alliance ? Mais retire-la et va la poser sur l'étagère dans le couloir. Ca ne craint rien ici.
- Non, ce n'est pas ça ...
- Quoi alors ?
- Je ... Comment te dire ?



Puis, au diable ! Il est temps que je sache ce que je voulais.

Je dénouais alors ma serviette en me relevant et écartant les pans, j'exhibais ma poitrine au géant noir. Ses yeux s'ouvrirent d'étonnement en voyant les anneaux d'or briller au bout de mes seins aux aréoles larges. Instantanément il se releva.

- Ah ouais ... Attends ! Je vais t'aider à les enlever.

Il ne voulait visiblement pas laisser le soin à qui que ce soit d'autre que lui, pas même moi, la responsabilité de cette tâche. Il s'approcha de moi. Je voyais que le spectacle avait fait son petit effet sur le sexe du grand noir. Sans aller au maximum, il semblait déjà être plus consistant que lorsque je suis entrée.



Il se planta devant moi et sans un geste de trop, de la façon la plus neutre qui soit, il saisit l'un des anneaux et dévissa la fermeture. Puis il me saisit le sein dans sa large paume, l'engloutissant presque, alors même que je n'étais pas la plus mal lottie, et de l'autre, il fit tourner l'arceau dans le trou pour le dégager de mon téton, involontairement dressé. Il posa l'anneau sur la table puis recommença avec le deuxième. Ensuite, il me prit l'annulaire gauche et retira mon alliance. Ce dernier geste me débarrassa de mes derniers scrupules : il me sembla que je n'étais plus lié à mon mari jusqu'à ce que je le remette. Il collecta les bijoux puis se dirigea vers la porte lorsque je le retins par le bras :

- Attends ... Ce n'est pas fini ...
- Quoi ?
- Un dernier ...

Je décroisai complètement ma serviette puis écartai mes cuisses : l'anneau qui me traversait le clitoris s'offrait à son tour au regard de plus en plus émerveillé de François. L'anneau semblait entreposé dans le coffret à bijoux que constituait mes grandes lèvres glabres, ouvertes et détendues par la chaleur ambiante, trempées par la transpiration comme si une excitation sournoise les avait mises dans cet état. François, avec un sourire, le premier que je lui vis avoir de la soirée, saisit délicatement de l'index et du pouce, mon minuscule pain de sucre boursoufflé pour l'étirer légèrement et de l'autre main, il dévissa à son tour l'anneau pour le faire glisser et le retirer.

- J'adorerai te les remettre tout à l'heure Flo.
Ven 22 sep 2006 Aucun commentaire