Les histoires érotiques d'une Fleur

- NOON NON NOOOON, hurla-t-il

Mais c'était trop tard, mes lèvres étaient désormais soudées à son pubis. Les larmes me vinrent à nouveau aux yeux mais uniquement provoquées par les hoquettements provoqués par l'embout qui violait ma luette, qui se moulait directement dans ma gorge.

J'étais une sangsue.

J'étais une gorge profonde, pas peu fière de pouvoir enfin appliquer à un vrai homme toutes ces techniques éprouvées auprès d'adolescents de mon âge, mais tellement plus enfantins que moi ... J'étais certaine maintenant que toute ma vie sexuelle n'a été qu'une grande répétition pour atteindre ce moment-là.

J'avais l'impression que son sexe grossissait encore un plus au fond de ma gorge. Il me fit encore plus mal : une violente contraction de mon diaphragme faillit me faire vomir sur lui mais je réussis à me contenir. Mais, paradoxalement, il me fit infiniment plus de bien : c'était la preuve éclatante que j'étais une adulte, capable d'exciter un vrai mâle ...

Ses ruades violentes et désordonnées ne pouvaient m'atteindre car j'étais hors d'atteinte, calée confortablement au plus près de son entre-cuisses. Il tenta de me repousser de ses mains mais l'exiguïté de la cabine restreignait ses mouvements. Il serra ses cuisses autour de ma poitrine pour tenter de me faire lâcher prise sous l'effet de la douleur mais ça ne faisait que m'exciter d'avantage.

- ARRÊTE ... ARRÊTE ...

Il hurlait, mais j'ai tenu bon.

Peu à peu, je sentis son corps se ramollir, sa résistance défaillir. C'était comme dompter un cheval sauvage et son pénis monolithique logé dans la douceur tendre de mes chairs buccales me servait de rennes pour cela. Ce n'était plus qu'une question de minutes pour que mon cheval sauvage soit foulé et se laisse aller dans mon corps.

Ses hurlements se transformèrent bientôt en gémissements :

- Arrête ... Arrête ... On ne peut pas ... Lâche-moi ... Tu es une gamine ...

Gamine ? Moi ? il n'avait gagné qu'à décupler mon acharnement en me traitant ainsi.

Il tenta encore de me repousser mais sa volonté n'était plus que de pure forme et ses doigts nerveux s'entortillèrent autour de la bretelle de mon pyjama. Bientôt, l'une de ses mains crochèrent mes cheveux. Son dos s'arqua petit à petit pour me faire l'offrande de son pénis plus profondément encore.

Bientôt, il se laissa complètement aller. Ses mains caressaient maintenant mes cheveux comme pour m'encourager à poursuivre. Je jubilais.

Et je pus enfin le libérer de ma gorge et plus subtilement entretenir à coups de langues l'objet de mes désirs.

Durant de longues minutes, je lui prodiguais ma technique éprouvée de la fellation, jusqu'à ce qu'il soit proche du point de non-retour.

Il voulut se retirer, de peur de me souiller mais je ne l'entendais pas ainsi.

Je voulais qu'il me souille.

Je voulais être une catin.

Depuis plus d'un an maintenant, je me suis préparée pour atteindre cet instant alors il est hors de question qu'il me prive de ma récompense.

Il voulut se retirer mais c'était trop tard. Alors il se laissa aller avec un râle sourd et se déversa à torrents dans mon corps. J'avalais avec délices le mets le plus précieux au monde.

Dim 21 déc 2008 3 commentaires
c'est une très jolie histoire très excitante !!
Je te souhaite de très bonnes fêtes, bizzzz....
jbp - le 23/12/2008 à 01h01
Et bien j'espère que les fêtes n'ont pas atténué ton excitation
Flower
Très bon texte encore une fois. Personnellement, je n'avale pas, mais j'apprécie beaucoup le côté libertin de votre personnage.
Aurélie - le 05/01/2009 à 18h59
très sympa votre blog... je suis nouveau sur ce site, et j'ai commencé mon blog d'histoires... venez jettez un oeil à l'occasion ! et donnez moi votre avis ! :)
l'artiste libertaire - le 07/12/2009 à 17h20