Les histoires érotiques d'une Fleur

Enfin, nous étions seuls pour consommer notre nuit de noces. C'est comme un cadeau au pied d'un sapin qu'on peut enfin ouvrir. Sauf que mon réveillon a duré des mois entiers.

J'essayais de garder mon sang-froid lorsque je retirais ma robe de mariée mais mes mains tremblaient.

Quand les doigts agiles de Richard me parcoururent le corps, je fus comme parcourue d'une décharge électrique de cinq mille volts. Je gémis sans discontinuer.

Richard passa sa main furtivement sur mon bas-ventre. Ma vulve s'ouvrit spontanément, éclatée comme un fruit trop mûr. De la mouille s'en échappa abondamment. Il fit encore durer mon calvaire de longues minutes, de longues heures. Je le suppliais d'arrêter de me torturer. Je le suppliais de me donner à manger. Mais sadiquement, il fit comme s'il n'entendais rien, gardant son sourire fantômatique, satisfait de me voir sombrer dans la folie.

J'entendais la trotteuse de l'horloge égrenner les secondes, les minutes et les heures avec son claquement caractéristique qui ne faisait qu'accentuer ma frustration. Je n'arrivais pas à comprendre comment un homme de cet âge avancé, si friand de jeunettes pouvait rester insensible à une qui s'offrait à lui, une qui avait rendu les armes depuis des lustres, qui avait satisfait à tous ses caprices.

Ce ne fut qu'au petit matin, après une longue nuit de frustration que Richard s'allongea enfin sur moi pour me couvrir. Je sentis son pénis se glisser soyeusement entre mes lèvres déjà abondamment huilées. Je soupirais de soulagement. Enfin, mon homme prenait possession de mon corps nubile.

Ce fut long, très long et délicieux. Plusieurs fois, je jouis ... Je ne comptais plus le nombre de fois où des hurlements avaient filtré de ma bouche.

Ce ne fut que bien plus tard, au milieu de la matinée que Richard éjacula dans mon ventre. Je jouis une ultime fois, serrant de mes bras et mes jambes son corps épuisé.
Mer 9 avr 2008 1 commentaire

Cette série est vraiment ma préférée...
Richard est sans nul doute bien plus patient que moi...Je n'imaginerai pas résister à ta vulve ouverte et si humide....l'envie d'y glisser ma langue pour goûter à ce "fruit ouvert"...humm. A défaut, je me régale de tes récits.
Bisous Coquins.

Ptitlu - le 10/04/2008 à 20h41