Les histoires érotiques d'une Fleur

Il me laissait patiemment m'adapter à sa présence dans mon corps qui finit par se détendre complètement. Il me gratifia alors de coups de reins de plus en plus amples ce qui me fit griffer le matelas pour ne pas m'éjecter. Il ressortit lentement, presque totalement avant de pousser à nouveau pour me remplir. Je sentais son pubis velu me chatouiller les fesses. Il serrait mes hanches dans l'étau de ses mains. Une trouble délectation me saisit pourtant j'ai rarement joui en étant sodomisée. Avec François, c'était seulement la deuxième fois et à chaque fois, j'arrivais sans peine à prendre du plaisir. François opérait des mouvements de plus en plus amples : si je ne me cramponnais pas au mur en face, il m'y ferait cogner. Je subissais ses coups de reins comme une frêle génisse sous les assauts d'un taureau. Il me saisit les seins sous ses mains et comme un tic, il se remit à jouer avec mes anneaux mammaires ... Je ne pouvais que subir halletante lorsque la houle de mon plaisir se fit plus violente. Je poussais un cri lorsque l'orgasme me submergea. François semblait ne pouvoir jouir qu'en me sentant jouir : mon cri provoqua son propre orgasme et je sentis son sexe opérer des contractions témoignant qu'il était en train d'éjaculer en moi.

Lorsque nos corps se séparèrent, nous achevâmes notre coït en nous embrassant longuement avant de nous endormir du sommeil du juste.
Mer 26 mar 2008 Aucun commentaire